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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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JE T'AMUSE A GAUCHE PENDANT QUE J'AVANCE A DROITE

L'aile française de Xavier. Elle va subir la pression autrichienne Pendant ce temps là, l'état-major rédige la liste des commissions La cavalerie autrichienne joue les amuseurs Les Français font face. Mais la vraie menace est ailleurs Et boum, l'infanterie ostrogothe s'apprête à cogner

L'aile française de Xavier. Elle va subir la pression autrichienne
L'aile française de Xavier. Elle va subir la pression autrichienne 

L'autre jour, face à Xavier Jaiduruskof de Chezfrontank, qui commandait les Français, une stratégie vieille comme le monde a été utilisée par le retors général autrichien Vivian voin Labelleoasi, s assisté par un aide de camp sans scrupules. J'ai nommé le non moins pervers commandant Olivier de Quoijailaire (sur Adour). Un teigneux comme on n'en fait plus.

Tenant à la fois du miroir aux alouettes,  du tour de passe-passe et de l'embrouille béarnaise, cette manoeuvre consistait à amuser à gauche  les Français avec un petit bout de cavalerie, tandis que le gros des bataillons ostrogoths avançaient sur la droite. Bataillons  soutenus au passage par ces espèces de sabarcanes à boulettes de papier que sont les pièces d'artillerie de 3 livres. Redoutables !

Apparemment, ça a payé. Et heureusement que le gong de fin de partie a sonné. Car un peu plus, et  les masses teutonnes transformaient les franchouillards en bretzels.

Il est vrai queJaiduruskof  avait été victime ce jour là  d'une ignoble forfaiture.

Les renforts de cavalerie lourde  que je lui avais promis en soutien étant restés taper le carton sur la paille de leurs écuries miteuses. Du coup, le pauvre n'a rien vu venir d'autre à l'horizon que le soleil qui fambloyait , la poussière qui poudroyait, et les Autrichiens qui rigoloyaient.

Désolé, mon pote. J'ai failli.

Mais après tout, qui aime bien, trahit bien. Hi, hi, hi.

 

LA LANDWEHR DE GIFHORN

Le bataillon, posé pour le moment sur un socle de fortune Des vestes anglaises, des casquettes allemandes Les havresacs jaunes sont spécifiques au Hanovre Un super drapeau. Je ne regrette pas cet achat là Le sapeur passe les troupes en revue

Le bataillon, posé pour le moment sur un socle de fortune
Le bataillon, posé pour le moment sur un socle de fortune 

Tout vient à point à qui sait attendre sa chope de bière. Mon bataillon de landwehr hanovrienne de Gifhorn est terminé.

Gifhorn est une ville d'Allemagne  située à l'Est de Hanovre et à l'ouest de Berlin.

Les épaulettes en ailes de pigeon des figs métal 28 mm de Perry ont été retaillées pour ressembler à des épaulettes classiques de l'infanterie britannique dont ce bataillon portait l'uniforme à Waterloo.

Par contre les casquettes rouges sont bien teutonnes, et les havresacs jaunes typiques de cette troupe.

Quant au drapeau, acheté chez GMB Designs, j'en suis pas mécontent.

Un autre bataillon (Bremen) de landwehr va suivre. Avec les "wings" sur l'épaule cette fois-ci. Et toujours en casquette.

 

T'AS UNE BELLE COLLINE, TU SAIS

La cavalerie éclaire et protège. L'artillerie s'installe Entre les deux batteries, un bataillon prêt à se mettre en carré Le choc , avec un max de soutien... et l'empereur ! A gauche de la colline, 4 bataillons vont assaillir les Pruskos Les mousquetaires  retraitent, en foutant le souk à la landwehr

La cavalerie éclaire et protège. L'artillerie s'installe
La cavalerie éclaire et protège. L'artillerie s'installe 

Lorsqu'une grosse colline occupe le centre d'un champ de bataille, il n'y a pas à tergiverser : il faut la prendre, nom d'un blaireau !

1 - Parce qu'on est toujours mieux installé en haut qu'en bas, comme le dirait cet ahuri de Séguéla avec ses phrases à la con sur ceux qui portent une Rolex et les scrofuleux qui n'en ont pas.

2 - Parce que ça donne une meilleure vision des choses. Et les troupes qui montent à l'assaut sont obligées de baisser la tête pour vérifier si elles ne marchent pas dans une bouse de chamois.

3 - Parce que, surtout,  ça permet à l'artillerie d'avoir un angle de vue (et de tir) dégagé.

Commandant les troupes françaises, au centre de la mega baston, c'est donc ce que j'ai fait l'autre samedi .

Après avoir expérimenté une tactique il est vrai un peu alambiquée : de la cavalerie précédant les troupes à pied, avant de dégager commeelle le pouvait une fois ces troupes installées

Cet envoi de centaures sur la colline présentait un avantage : il évitait à la cavalerie adverse d'en faire de même en empêchant mes batteries de canons de s'installer tranquillement sur Hamburger Hill.

Qui plus est, il pouvait inciter l'infanterie ennemie à faire preuve d'un peu plus de prudence. D'autant plus qu'en l'occurence, l'ennemi, c'était essentiellement du Suédois. C'est à dire des troupes classées vétérans ou élite, pas moins. Du gros qui tache, quoi.

Une fois mes canons à pied d'oeuvre (c'est à dire capables de balayer toute la colline), je me suis toutefois heurté à un problème : mes fantassins n'avaient plus la place pour investir la dite colline. Sauf à passer devant les canons en question.

C'était con. J'aurai pu y penser plus tôt. Mais c'était comme ça.

J'ai donc du changer mon fusil d'épaule, et rabattre le gros de mes troupes à pied, non plus vers la colline et les Suédois. Mais vers une brigade prussienne qui avançait sur la droite des Vikings (donc sur ma gauche).

Bien m'en a pris , finalement.

 Car, soutenus, dopés même, par la présence de Napoléon et de son état major, qui leur apportaient un + 5 au moral dans le calcul du test de charge, mes franchouillards  ont traversé les pruskos comme un gros doigt pas propre dans une motte de beurre trop molle.

Résultat : trois bataillons de mousquetaires prussiens ont retraité en plein centre allié, et traversé trois bataillons de landwehr qui les soutenaient. Landwehr, réduite au triste état d'unité "sans formation", et que mes gaillards tricolores ont percuté dans la foulée. En tuant au passage un général de division ennemi sur un glorieux 6 exécuté par l'un de mes célèbres dés limés. Alléluia ! Goute donc cette bastos là, mon lapin.

Comme le dirait Lafumée, la messe était dite, les carottes cuites, et les kartoffeln pressées en purée.

Raaaahhhhh lovely....

Certes, heureusement que l'empereur était là. Sinon l'affaire se serait avérée plus coriace.

Mais pourquoi bouder son plaisir ?  comme le susurrerait Rita-la-coquine en s'attaquant avec gourmandise  à son vingt-troisième grenadier

 (A suivre)

 

 

LE PATE DE CARRE, FACON LAFUMEE (recette slave)

L'aile bavaroise, en carrés, attend l'arrivée des cavaliers ruskofs La cavalerie légère replie devant les gros talons moujiks La menace se précise. C'est le carré de gauche qui va morfler Et il morfle, méchamment. Hildepute ! La prochaine fois, je mettrai du canon, se dit le Français

L'aile bavaroise, en carrés, attend l'arrivée des cavaliers ruskofs
L'aile bavaroise, en carrés, attend l'arrivée des cavaliers ruskofs 

Une aile défendue par des carrés, c'est bien. Mais c'est mieux quand il y a aussi  un canon pour la conforter. Faute de quoi, l'aile, hé ben elle bat de l'aile, mon pote.

Le féroce général Loïc de Sauteladessessus, commandant en chef d'une division française assaisonnée de Bavarois, en a fait l'expérience samedi.

Le gaillard avait en face de lui un rude adversaire : l'onctueux mais teigneuxJP de Lafumée, archevêque de Gujan Mestras. Un prélat qui te fait avaler comme si de rien n'était ton acte de contrition, dès que tu as le malheur de le regarder de traviole. Puis qui, d'un coup de crosse, t'envoie voir chez Belzébuth voir si tu n'y es pas.

Ce jour là, le saint homme commandait des Ruskofs. Toute une cavalerie lourde,  subtile et poétique comme un chevalier garde bourré grave à la Smirnoff.

Après avoir balayé  d'un revers de sabot la cavalerie légère française (des chevau-légers bavarois et des lanciers de la Vistule qui n'ont pas tardé à tourner les talons devant tant de méchanceté gratuite), Lafumée s'est rué avec gourmandise sur le premier carré d'infanterie qui lui tombait sous le goupillon.

Ca n'a pas trainé. En deux pater et trois avé la messe fut dite, le Français excommunié , et ses sbires envoyés retraiter au paradis des biffins.

Si le temps lui en avait été laissé, Lafumée aurait sans doute volontiers passé au pal les survivants. Une manière de conclure une discussion que les habitants des steppes apprécient grandement, et que les cosaques ont baptisé "l'esquimau de Vladivostok " .

La technique en est simplissime : tu enfiles un grenadier, tu mets une rondelle d'oignon, tu enfiles un voltigeur, tu mets une rondelle de kiwi, tu renfiles un grenadier , tu décores avec une rondelle de citron. Puis tu fais griller le tout à la vodka.

Lafumée, lui, préfère l'Armagnac. C'est à ça qu'on reconnait les gourmets.

 

LEIPZIG : VENI, VIDI, RIGOLI ET BARBECUI

La scène du drame. Atroce , n'est-il pas ? L'odieux Didier van B. immortalise ce spectacle lamentable Les Autrichiens et les Suédois montent  à l'assaut La colline sur laquelle mes artilleurs ont bien rigolé L'aile française tenue par Xavier, le satrape du bassin d'Arcachon

La scène du drame. Atroce , n'est-il pas ?
La scène du drame. Atroce , n'est-il pas ? 

"Ah que coucou, la table de samedi dernier ! " comme dirait le ch'ti père Johnny.

8,50 mètres de long, et des figurines comme s'il en pleuvait .

La méga baston organisée à l'école des troupes aéroportées de Pau a tenu ses promesses.

Et le barbecue maitrisé en artiste par notre hôte, le féroce Loïc, en a fait de même sur les coups de midi. A l'heure bénie où le bruit des bouchons ôtés des goulots de boutanches bordelaises remplace avantageusement le sinistre chuitement des ordres en carton que l'on pose , avec des regards de sadiques, derrière nos unités d'infanterie et de cavalerie.

Un compte rendu suivra, comme d'hab.

Pas eu le temps hier soir : j'ai emmené madame au resto. Pas eu le temps non plus ce matin : j'avais tout un hangar à désaraignéniser.

Mais d'abord, quelques photos .

 

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