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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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EN DIRECT DES POLDERS

Désolé pour les chauvins , mais le bleu, le blanc et le rouge ne sont pas l'apanage des Français. Ces trois couleurs constituent aussi le drapeau néerlandais, pas dans le même ordre, voilà tout.

Dès lors, rien d'étonnant à les retrouver dans l'uniforme des Dragons légers hollandais.

Ceux là vont très prochainement combattre sur une table au château de Pau, autrement dit la maison natale de Monsieur Henri, quatrième du nom. Un sacré gaillard qui aimait les chevaux, les femmes, la bouteille et la rigolade. Un Béarnais, quoi.

 

UN COUP POUR RIEN

Les Ricains de 1812. De bric, de broc, mais bons tireurs Pas solide, l'indien, mais bigrement enquiquinant Ca chauffe à tous les étages Au centre, personne ne passera Les Espagnols vont mettre la tannée aux Français.

Les Ricains de 1812. De bric, de broc, mais bons tireurs
Les Ricains de 1812. De bric, de broc, mais bons tireurs 

Non seulement Manuela Dos Santos y Croupion y Corason est une coquine, mais elle a aussi oublié d'être conne.

 Car cette bougresse, qui préside d'une main experte aux destinées lubriques du Blue Parrot, une maison bien achalandée du Kentucky,  sait ce qu'elle fait lorsqu'elle décide d'installer son claque au beau milieu d'une table de wargame .

Comme de bien naturel, toutes les armées miniatures qui l'occupent vont chercher à s'en emparer. Car on a beau être plombé jusqu'à la moëlle, une virée chez les drôlesses, ça ne se refuse jamais.

C'est bien ce qui se passe , l'autre samedi, lorsque les Ricains et les Franchouillards de Yapudo et Mister X d'un côté déboulent face aux anglo-porto-espagnols de Sir Jack et de Lafumée.

Le Blue Parrot se trouve à égale distance de chaque camp belligérant : les soldats des deux bords s'y ruent comme des morpions sur la tête d'une cantinière.

Le résultat ne se fait pas attendre : tombant nez à nez (  je me limiterai pudiquement à ce seul appendice), les belligérants passent la majeure partie de la journée à se fusiller, et pas que du regard.

Résultat : statu quo et match nul au centre. Bref, une séance de radada tendue, mais sans réelle conclusion, comme dirait Jean-Claude Dusse. 

En fait, les combats les plus torrides ont lieu aux ailes.

A la droite des  anglo-ibériques,  les dragons espagnols et leurs potes garrochistas, mal emmanchés, finissent par retraiter devant des dragons légers US bien décidés à leur tomber sur le rable comme la vérole sur le bas clergé .

Situation inverse de l'autre côté de la table, où la cavalerie US et quelques hordes d'indiens dépenaillés se mettent à jouer à cache-cache avec la cavalerie anglaise, en mêlant à tire-larigo les ordres d'avance et de sauve-qui-peut. Déconcertant, mais finalement efficace.

Et très agaçant pour le général de division grand breton (ma pomme) chargé de commander les Ligth dragoons et autres centaures d'outre Manche dont les charges répétées tapent dans le vide . L'Anglais craque :  "Quand j'avance, si tu recules, comment veux-tu que je te bouscule ? " lance-t-il en sanglotant nerveusement à un adversaire rigolard (Mister X).

Heureusement,  les Espagnols  sont là pour rétablir l'équilibre.

Avançant en masse face à quelques bataillons français, les hidaldgos finissent  par réduire à l'état de tapas pré-machés leurs homologues napoléoniens. Et faire céder l'aile droite franco-US . Oooolééé !

Cerise sur le gâteau: les boulets anglais font passer de vie à trépas pas moins de quatre généraux adverses.

Bref, la moisson est belle. Mais pas suffisante. Faudra donc remettre ça.

Autre victime de cet affrontement titanesque : Manuela Dos Santos y Croupion y Corason, qui n'a pu accueillir aucun client dans son boudoir rose et bleu.

 Allez, te pèle pas la couenne, Manu. La brouette d'Albany, ça sera pour un autre jour .

 

 

LA HONTEUSE ATTAQUE DU "BLUE PARROT"

Mister X et Rocco Yapudo, Je sais. C'est une vision insoutenable. Quelques secondes avant d'essayer la "brouette du Kentucky" La brigade anglo-espagnole qui s'en va conter fleurette aux Français Lafumée et Ma pomme : discrets, humbles, mais efficaces (hi,hi,hi) Les pensionnaires du "Blue Parrot" attendent le pigeon

Mister X et Rocco Yapudo, Je sais. C'est une vision insoutenable.
Mister X et Rocco Yapudo, Je sais. C'est une vision insoutenable. 

Hé ben, mon cochon ! En voilà une histoire pleine de stupre et de fornication !

Une forte odeur de phéromones flottait samedi au dessus du champ de bataille sur lequel se sont affrontés des Américains, des Français, des Anglais, des Portos et des Espingouins.

Un gros paquet de combattants en rut qui n'avaient qu'une obsession : être les premiers à s'emparer du "Blue Parrot", une discrète maison tenue au milieu de la table  par une mère maquerelle répondant au doux nom de Manuela dos Santos y Croupion y Corason.

Mais avant d'entrer dans le détail de cette partouze napo, jetons d'abord un oeil coquin sur les obsédés qui y ont participé.

Côté Franco-ricain : Philipp R. (pour Rocco) Yapudo, un gros fabricant girondin d'images pieuses ; et Mister X, qui a fait fortune outre-Garonne dans l'impression de bouquins interdits aux moins de 18 ans.

Côté anglo-porto-espagnol : l'onctueux Lafumée, archevêque de Gujan-Mestras, dont le confessionnal a accueilli les chaudes confidences de toutes les pécheresses du Haut-Médoc ; et votre serviteur, Sir Jack l'éventreur, la honte du Béarn, réputé pour sa façon de découper fin, fin, fin au rasoir l'instestin grèle des fleurs du trottoir qui ont le malheur de lui tomber sous la main, un soir de pleine lune.

Une belle bande de libidineux .

(A SUIVRE)

 

NAPO...CHEZ LES RICAINS

Les amateurs de bière tiede, de morue et  de tapas jouent groupés
Les amateurs de bière tiede, de morue et de tapas jouent groupés 

En 1812, les Anglais et les Américains parlaient la même langue. Ca ne les a pas empêchés d'avoir des mots.

Avec l'infame Yapudo et quelques autres, on va reconstituer cette guerre dont on ne parle pas souvent.

En lui donnant un peu de piment : pour compléter nos budgets, les Amerloques - qui seront épaulés par des pirates (Lafitte, ça vous dit quelque chose ?) - recevront aussi le soutien d'une brigade française.

Tandis que les Anglais seront épaulés par des Espagnols et des Portugais.

Un peu de science-fiction, ça n'a jamais fait de mal à personne.

 

LE DECOR DES QUATRE BRAS

Un premier essai de décor. Je vais élargir un peu au delà du bois
Un premier essai de décor. Je vais élargir un peu au delà du bois 

Jai commencé à préparer le décor de la bataille des Quatre Bras qui sera présentée en mars au château de Pau : 2,10 m sur 4,80 mètres.

Ca va m'aider à placer correctement les troupes et les routes. Je vais notamment agrandir la distance qui sépare le bois de Bossu de l'étang Materne. Car, comme on peut le voir sur la photo, malgré la longueur de la table, je suis en effet un peu "court".

Après, il faudra trouver une adaptatation ludique de la bataille.

Par expérience, je sais que la reconstitution trop pointilleuse d'un scénario historique rend les parties très casse-pied, voire sans suspense.

Je vais donc opter pour une autre solution : sans doute le placement en bord de table de l'ensemble des unités engagées dans la bataille vers 16 heures ou 17 heures , le 16 juin. Puis, ce sera  à chaque camp de manoeuvrer.

Je sais que c'est moins historique.

Mais ça reste un jeu, nom de d'là ! . Et comme le disait le ch'ti père Louis XVI en montant sur la "veuve", on n'est pas là pour se prendre la tête.

 

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