blogit.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

jjnapo

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGIT

Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

Blog dans la catégorie :
Divertissement

 

Blogs favoris

 




Signaler un contenu illicite

 

jjnapo

OUPS !

Milliards de vingt de d'chiu ! J'avais oublié ce détail scrabreux, mais néanmoins héroïque.  Ca doit être  ça, les premiers effets de la vieillerie.

Je rectifie donc illico mon récit.

 Car,effectivement, comme me le fait remarquer le ch'ti père Olivier, en poursuivant sa charge de lanciers polonais contre les innocents Portugais, Sébastien le malveillant a vu ces mêmes  lanciers  subir une charge de flanc menée  par un escadron de Ulhans brunswickois qui veillait au grain, et qui a profité de cette belle opportunité.

Décontenancés par tant d'audace et de perversion (perversitude, comme dirait la mère Royal ) , les Polaks ont retraité à leur tour .

Las ! Dans leur mouvement de fuite, ils ont contacté une batterie d'artillerie anglaise... qui s'est fait un plaisir de les réduire à l'état, non pas de bortch, mais de prisonniers. Avec, en prime, un galonné transformé en compote slave sur un heureux lancer de dé.

Car , ainsi le dicte la règle : toute troupe qui recule, retraite ou déroute et contacte un autre ennemi que celui qui a provoqué ce mouvement, se retrouve prisonnière.

Comme dirait mon fiston, "c'est ballot, ça ". Hi,hi,hi.

 

LES CELEBRES BROCHETTES DE PORTOS, FACON TUMEVEUMEVLA

A la droite des Ecossais, les Portos vont morfler Les lanciers polonais se ruent sur leur "dessert" Dans les rangs des tueurs girondins, ça calcule sec Et pendant ce temps-là, les Français de Jaiduruskof avancent en masse Impressionnant.

A la droite des Ecossais, les Portos vont morfler
A la droite des Ecossais, les Portos vont morfler 

Bon, me vl'a revenu du grand Nord (le vrai), où je suis , entre autres aventures,  allé rejoindre les supporters du Losc pour fêter leur double titre en foot. Sacrée ambiance, ma foi ! Et ça fait toujours plaisir de retrouver le pays.

Cela dit, le sud-ouest, c'est pas mal non plus. Surtout avec ses bastons infernales.

Retour sur celle de l'autre jour, avec un oeil torve jeté sur l'un des épisodes les plus sanglants de la journée : celui qui a opposé le féroce général Sébastien de Tumeveumevla au très déterminé Olivier de Quoijailair (sur Adour).

Sébastien, cruel descendant d'une lignée de rôtisseurs girondins,  ne connait qu'une tactique, souvent efficace, soit dit en passant : j'te rentre dans le lard, j'te plume,  j'te fais griller  à la broche. Et j'te bouffe en ricanant.

Il a aussi une autre qualité, ce sadique : il a l'oeil, et le bon. Même poché.

L'aut'samedi, il n'a donc pas tardé à repérer deux ch'tites faiblesses dans le dispositif anglo-allié du Landais retors  qui lui faisait face : un bataillon de Portugais un peu faiblard (Ligne 2, autrement dit aussi solide qu'une purée de morue délayée dans le vieux porto) , et une batterie d'artillerie qui, envisageant d'aller s'installer sur une crète de colline, constituait une proie très tentante pour un régiment de cavalerie tant soit peu audacieux.

Le Sébastien, farouche représentant d'une tribu de sauvages dont j'ai déjà eu l'occasion de conter les sanglants exploits (celle des Girondins-têtes-de-chien) n'a fait ni une ni deux. Il a envoyé deux unités de lanciers contre les Portos qui, déjà affaiblis par le tir de deux batteries, ont décidé d'aller voir ailleurs s'ils n'y étaient pas, et ont retraité.

Par contre, un autre assaut lancé contre la batterie d'artillerie s'est terminé en eau de boudin. Mais Sébastien, l'Attila des vignobles, s'en moquait comme de sa première baïonnette. Cette attaque étant destinée à masquer l'avance massive de toute une brigade franchouillarde placée sous le commandement de l'impitoyable Xavier Jaiduruskof. Bref, en un mot comme en cent, le centre anglo-portugais était mis à rude épreuve.

En homme prompt à saisir la balle au rebond (c'est aussi un joueur de basket), Olivier de Quoijailair (sur Adour) a retenu la leçon. La prochaine fois, sa purée de morue, il la bétonnera avec un peu plus de soutiens. Te bile pas. C'est comme ça qu'on apprend, mon pote .

 

 

UNE NOUVELLE REVUE : GUERRES ET HISTOIRE

C'est toujours bon à savoir. Pour passer le temps, dans le train, en allant de Pau à Lille, j'ai acheté une nouvelle revue : "Guerres et histoire" qui n'est pas mal faite. Dans une maquette assez moderne, en tout cas sortant de la routine, elle présente toute une série d'articles sur des conflits de différentes époques.

Le reportage principal pour ce numéro 1 est, bien sur, consacré à Napoléon , sur le thème : était-il le génie militaire que l'on a dit ? C'est plutôt bien mené, avec notamment un résumé des différentes campagnes qu'il a effectuées, de Toulon à l'Egypte, de l'Espagne à Wagram et à la retraite de Russsie, puis à Waterloo. Certaines d'entre elles sont zappées, et juste évoquées en deux lignes, comme la campagne de France.

Mais l'ensemble est intéressant.

D'autant plus que l'on y présente aussi les principaux généraux, adversaires de Napoléon. Ainsi que les défauts qui ont conduit l'empereur  à sa chute : l'orgueil n'étant pas le moindre.

Bien entendu, j'ai oublié la revue dans le train à l'arrivée dans le Nord. Mais bon, on est un gros  bourrin ou on ne l'est pas. 

PS : la même revue présente, entre autres sujets, un reportage photo sur l'attaque d'un hélicoptère ricain pendant la guerre du Vietnam, et un article fort intéressant sur la nature et la tactique déployées jadis par les célèbres "tiercos" espagnols, que je connaissais mal.

5,90  € quand même. Ca rigole pas.

 

SUR LES ROTULES

Chaud devant. Les tests de charge étaient bouillants
Chaud devant. Les tests de charge étaient bouillants 

Désolé pour mes absences, ô vénérés lecteurs.

 Mais trop de travail et trop de fatigue en ce moment. En fait, j'chuis sur les rotules. Et, demain, je prends le train pour Lille.

Donc la suite de la baston viendra dans les jours prochains. Avec l'odieuse attaque de l'innommable (et pourtant nommé ) Tumeveumevla contre le centre tenu par Olivier de Quelboisjemechauffe. Et ses retournements de situation.

Comme quoi, même quand tu crois mordre la poussière, y a toujours un moyen de s'en sortir. La preuve ! DSK vient d'être libéré  .

 

A BOURRIN, BOURRIN ET DEMI

L'une des tentatives de contournement de Durino du Sabot A l'aile gauche alliée, les Anglais de Jean-Luc se positionnent Polonais contre Espagnols. Ca rigole pas. La colline en question. Ah ça, y a de la masse !

L'une des tentatives de contournement de Durino du Sabot
L'une des tentatives de contournement de Durino du Sabot 

Si les Espagnols et les Polonais n'avaient pas le goût de la baston, ça se saurait.

Samedi midi. Ivres morts et placés sous les ordres d'un général monomaniaque qui ne connait qu'un seul ordre ( "On leur rentre dans le lard") , les bataillons d'infanterie de la Fistule commandés par ce pyschopathe de Sébastien de Tumeveumevla décident de gravir une colline pour aller discuter le bout de gras, avec des hordes  espagnoles shootées à la Manzana, et benoitement installées de l'autre côté de la protubérance napoléonique.

Titubant moi aussi, mais tout aussi déterminé, bourrin, et amateur d'hémoglobine que mon vis à vis, je décide de faire face avec mes hidalgos. Il ferait beau voir qu'un vampire, même Béarno-ch'ti, mette de l'eau dans sa Gueuze Lambic, nom d'une tireuse à bière !

L'heure est grave .

D'autant plus que , sur nos flancs, deux sérial-killers sont, eux aussi, bien décidés à en venir aux mains.

 J'ai nommé le général Jean-Luc de Causetoujourstumintéresse , illustre rejeton d'une vieille famille girondine tombé dans la décrépitude de la vie militaire.

Et le maréchal Claudio Durino du Sabot qui a du être cheval dans une  vie antérieure tant son art de manier la cavalerie est subtil, insistant et casse-bonbons au possible. Bref, un gaillard qui a de la ressource. Même si, à la suite d'une discussion hargneuse avec un chirurgien, il ne regarde ce jour là la bagarre que d'un oeil.

A nous quatre, on occupe une moitié de la table autour de laquelle s'agitent  d'autres excités de la baïonnette et sur lesquels j'aurai l'occasion de revenir, comme le dirait Dominique Strauss-Kahn en sortant,  sabre au clair, de sa salle de bains.

Que pensez-vous qu'il se passa , braves gens ?

Fidèle à sa tactique du " Un coup j'avance, un coup je recule, et à la fin, je ... t'opercule",   Durino du Sabot a escagassé  J-L de Causetoujours avec ses manoeuvres de harcèlement avant de lui faire passer un carré britannique à la moulinette. 1-0

Têtu, le même homme a essayé de faire pareil avec mes carrés espingouins, sans réellement obtenir le même résultat (hin, hin, hin) et avant d'assister avec horreur et consternation à la décapilotade de sa cavalerie lourde, réduite à l'état de tapas par mes  carabiniers montés espagnols. Des gros retors qui possèdent un art consommé de vous planter la banderille dans l'occiput.

1 partout.

Quant aux Polonais ? Inscroyab' ! Arrivés au sommet de la colline, et découvrant la masse ibérique qui - pas folle, la guêpe -  les attendaient de pied ferme, ils se sont grattés, ont pété un coup, dégluti, vomi leur quatre heures , et décidé finalement d'en rester là. Histoire de piquer un roupillon bien mérité. Bref, ils n'ont pas bougé.

Ben quoi, Sébasto-les-gros-poings ? On hésite ? On suppute ? On tergiverse ?

Sangre y fuego und hildepute !  Y a vraiment des jours où, quand ça veut pas, hé ben ça veut pas, comme le dirait le même DSK en essayant maladroitementde remonter son falzar avec des menottes aux poignets. Un exercice qui, j'en conviens, demande un certain entrainement.

Bon, c'est pas tout ça. V'la les premières photos de la rumba.

 

 

Minibluff the card game

Hotels