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LES ANGLAIS REMETTENT CA
Les bataillons de la garde ouvrent la marche |
Aujourd'hui, leurs descendants achètent des maisons à tire-larigo au sud de la Garonne (quitte, par endroits ,à sacrément faire grimper les prix) .
Mais, en 1815, beaucoup plus au nord, ils ont mis une rouste à l'armée française, avec l'aide de leurs copains Prussiens (en fait, ce sont à mon avis ces derniers qui sont les vrais vainqueurs de Waterloo).
Voilà l'armée anglaise qui se prépare à livrer bataille le samedi 25 avril à Carbon-Blanc . Budget : 6682.5 points
L'ordre de bataille est le suivant :
1 général de corps d'armée: 90
INFANTERIE
1 général de division 60
1ere brigade : 1035
1er et 3e Garde (Garde) 730 pts
1 bat. légers anglais (Vétéran) 275
1 gal de brigade 30
2e brigade: 1220
42 e Royal Highland (Elite) 340
Gordon et Cameron Highlanders (Vétérans) 500
Légers écossais 71 st (Elite) 350
1 général de brigade 30
3e brigade : 1147
3 bataillons de ligne anglais (vétéran) 807
1 bat. rifles (vétéran) 310
1 général de brigade 30
4e brigade : 813
1 bat ligne KGL (vétéran) 269
1 bat.léger KGL (vétéran 245)
1 bat. ligne anglais (vétéran) 269
1 général de brigade 30
CAVALERIE
1 général de division 60
1ere brigade : 590;75
6 hussard (vétéran) 91.5
9 hussards KGL (élite) 164.25
20 dragons légers (vétéran) 305
1 général de brigade 30
Demain, je reviens sur l'ordre de bataille français
2e brigade : 669.75
9 dragoon guards (élite) 205,25
9 Life guards (garde) 227,25
9 horse guards (garde) 227.25
1 général de brigade
Artillerie : 612
2 batteries de 9 livres à cheval KGL à 4 artilleurs (élite) 336
1 batt. 9 livres à pied à 4 art. (vétéran) 128
1 batt. 9 livres à cheval à 4 art. (élite) 148
Soutien Brunswick : 385
1 bataillon de légers à 16 figs (Ligne 1) 168
1 bataillon d'infanterie du Corps à 17 figs (vétéran) 187
1 général de brigade 30
Comment on dit "y a plus qu'à" en anglais ?
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L'ARMEE FRANCAISE, EN ORDRE DE MARCHE
Le train de munitions pour l'artillerie sera aussi de la partie |
Voici l'armée que je vais proposer d'aligner pour la bataille napo qui se déroulera le samedi 25 avril à Carbon-Blanc.
De type 1815 (Waterloo), elle comprend quatre brigades d'infanterie (ligne et légers) ainsi que trois brigades de cavalerie composées de chasseurs-à-cheval, hussards, dragons, cuirassiers, carabiniers, chevau-légers-lanciers, ainsi que de la garde (chasseurs à cheval et lanciers).
L'artillerie comprend des batteries de 8 livres à pied et une batterie de 6 livres à cheval. Le tout commandé par un général de corps d'armée, deux de division et sept de brigade. Pour 6676 points.
Du sérieux, quoi. Mais demain, je vous parlerai aussi de leurs adversaires anglais (et écossais) et brunswickois. Et, ne vous leurrez pas, c'est pas parce qu'ils aiment la bière tiède et les gâteaux à la gelée rose que c'est rien que des petzouilles.
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LES GENERAUX DE CORPS D'ARMEE
D'Erlon, en train de scruter les lignes anglaises |
Ca y est ! Les généraux de corps d'armée 1815 sont terminés.
D'Erlon, Reille et Lobau (qui salue ses copains) sont prêts à affrontter les troupes de Wellington. Ce qui devrait se produire pas plus tard que le samedi 25 avril à Carbon-Blanc, dans la banlieue bordelaise si les copains sont d'accord pour un scénario Waterloo.
Affaire à suivre. De toutes façons, comme d'hab, ca va saigner sur la table. Miam !
LES GALONNES MONTENT AU FRONT
Aujourd'hui, ils sont gris. En 1815, ils étaient verts... de rage |
La machine à peindre continue à tourner à un bon régime au sud du gave de Pau. Tandis qu'un bataillon d'infanterie de ligne prend des couleurs, trois généraux de corps d'armée s'apprêtent aussi à passer à l'atelier de maquillage.
Il s'agit de figurines Perry Miniatures, à la gravure excellentissime. De gauche à droite, on reconnait d'Erlon, Reille et Lobau.
On est le 17 juin 1815, veille de Waterloo. Ils ne savent pas ce qui les attend.
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LE RICAIN, CA CRAINT
Le mortier Karl, objet de ce déchainement de haine |
Il faisait un peu frisquet dans le hangar, mais l'ambiance était chaude sur la table.
Les ignobles généraux JP, le boucher de Toulouse, son collègue Vincent , le Charcutier du Béarn , et leur voisin de palier Adrien , l'Equarisseur palois ont osé jeté leurs gants miteux dimanche à la figure de votre serviteur, JJ le vampire du Béarn, ainsi que de son rejeton, Laurent, apprenti mordilleur, la chauve-souris du gave.
Le terrain était un Blitzkrieg, 2e guerre mondiale.
Nous avions le choix des armes. On a choisi du subtil, du délicat, du romantique : des panzer-grenadiers teutons accompagnés de pionniers élite ostrogoths. Du genre qui cogne avant même de dire bonjour. Des poètes, quoi.
L'affaire fut rondement menée.
Les Allemands étaient embusqués dans un village , protégeant un engin pris pour cible par les troupes alliées : le terrible mortier lourd allemand Karl.
Dans un permier temps, les trois zigotos d'en face nous ont sérieusement chatouillé les côtes - c'est à dire l'aile droite et l'aile gauche - à grands renforts de chars M 10 et de commandos anglais. Ces derniers se payant même le luxe de lancer un bel assaut contre un Panzer, et de détruire son équipage à grands coups de théière sur la tronche.
Les Allemands tremblaient donc. Jusqu'à ce que les Pieds Nickelés du Montana - qui avaient eu l'idée de tremper leurs chewing-gums dans une cuve de diesel pour leur donner un peu plus de goût - perdent l'esprit et décident ,de manière inopinée , d'organiser un défilé militaire au centre, juste devant nos mitrailleuses lourdes, sniper et fusils d'assaut planqués dans le village.
Admiratifs devant un spectacle comme seuls savent en organiser les Americains(il ne manquait en fait que les majorettes), et fins connaisseurs des traditions militaires, les Allemands ont apprécié, beaucoup applaudi, et tiré à qui mieux mieux sur tout ce qui passait devant eux.
Une réaction aussi laide que lâche, Laurent-la-canine et moi-même, nous le reconnaissons volontiers. Mais, que voulez-vous ? Chez les vampires, faire couler l'hémoglobine, on a ça dans le sang.
Ecoeurés par autant de turpitude, les gaillards d'en face ont décidé de prendre le temps de la réflexion avant de songer à un nouvel assaut , laissant sur place quelques chasseurs de chars, Half Track et Sherman encore fumants.
A noter cependant la bravoure d'un pilote de Half Track amerloque qui, sous les ordres du très optimiste Adrien Toutvabienlescopains, a foncé tête baissée vers les lignes teutonnes, en cherchant à les mitrailler tant qu'il pouvait.
Jusqu'à ce - damned ! fucking gun ! and hildepute ! - il s'aperçoive que son véhicule n'avait pas... de mitrailleuse ! Hi,hi,hi. Vampirello et moi, on en rigole encore.
Ca a été un plaisir, et c'est quand vous re-voulez, les gars.
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Très rapide mise en peinture, j'adore qui plus est.