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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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Divertissement

 

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LES P'TITS NOUVEAUX

Vus de flanc, avec leur officier qui dégaine promptement Ils sont déjà prêts à monter en Gironde, pour leur première baston

Vus de flanc, avec leur officier qui dégaine promptement
Vus de flanc, avec leur officier qui dégaine promptement 

Un bataillon français supplémentaire va prendre sa place sur les tables de jeux.

Celui-là va combattre pas plus tard que le samedi 25 avril dans la salle de Carbon-Blanc (rue du Moulin de 9h à 18 h, en gros) où kes tricolores ont une revanche à prendre.

Chaque compagnie de trois figurines (120 hommes) a un pompon de couleur différente sur le shako : jaune (voltigeurs), rouge (grenadiers), vert sombre, bleu sombre, orange et violet, comme à l'époque.

Une ch'tite erreur, dont je me suis rendu compte sur le tard, a néanmoins été commise. Elle ne concerne pas les uniformes, mais autre chose.

Une Gueuze lambic pour celui qui la trouvera.

 

DU PAIN SUR LA PLANCHE

 

Quand je disais que le boulot ne me manque pas en peinture !

Voici la photo d'une partie des figurines qu'il me restent à peindre, disons, dans les années qui viennent.

Sous la Révolution, on m'aurait traité "d'accapareur" et pendu à la première lanterne venue.  

 

ET C'EST REPARTI !

Un nouveau bataillon de ligne est en train de mettre son uniforme
Un nouveau bataillon de ligne est en train de mettre son uniforme 

Je profite d'une période de convalescence pour peindre un max. Vu que les programmes télé c'est archi-con,  et que je ne peux pas, avec mon pied emmaillotté , faucher le bout de colline qui descend jusque  ma maison (je dois être l'un des rares mecs à tondre sa pelouse avec des chaussures à crampons).

Un récent recensement effectué dans mon atelier béarnais m'a également permis de constater qu'il me reste, rien qu'en Français, à peindre 13 bataillons d'infanterie et six régiments de cavalerie.

Toutes ces figurines vont me permettre, d'ici quelques années, de réaliser un projet qui me tient à coeur : réaliser un décor géant (et mobile) de Waterloo et donner des conférences sur cette bataille, ainsi que sur les guerres de l'empire. Pour les scolaires, les gens intéressés, tous ceux qui en voudront.

Compte tenu de la qualité des contacts que l'on a avec les visiteurs dans les salons de maquettistes et autres événements, je pense que cette animation devrait séduire pas mal de gens. Surtout si je la propose gratuitement.

Par contre, toutes troupes comprises, il me faut plus de 3000 figurines peintes. Comme je dois approcher les 2000, ça doit pouvoir le faire.

 

HERR GENERAL

Une tenue simplissime préfigurant les uniformes du début du 20e siècle Le fier Wilfried , en train de sortir son canif pour couper le roti

Une tenue simplissime préfigurant les uniformes du début du 20e siècle
Une tenue simplissime préfigurant les uniformes du début du 20e siècle 

Il me restait un général prussien à peindre. Le voilà, en tenue de campagne. 

Il porte une redingote grise "uberrock" ('n roll, cela va de soi). Celle-ci indique qu'il commande de l'infanterie.

Cette redingote peut parfois avoir des revers rouges.

Le général est coiffé d'une casquette revêtue d'une protection. Bon nombre d'officiers supérieurs la préféraient au bicorne.

La figurine est fabriquée par Calpe, comme d'hab.

 

BASTON POUR UN PANARD

Dans le bloc, pendant la bagarre: au fond on aperçoit mes béquilles
Dans le bloc, pendant la bagarre: au fond on aperçoit mes béquilles 

Milliards de d'chiou ! Quelle castagne !

Une sacrée baston s'est déroulée hier dans le bloc opératoire où l'on m'avait amené, pieds et poings liés, pour me cisailler un nerf du pied.

A peine avais-je eu le temps de me débarasser subrepticement de mes liens, qu'un premier chirurgien s'est approché de mon brancard, la bave aux lèvres, et le bistouri en main.

Je n'ai fait ni une ni deux et lui ai asséné une balayette, suivie d'une double manchette coréenne , complétée par un vicieux coup de genou dans les glaouis. Rien que du classique, quoi.

Pas démonté pour autant, le gaillard a légèrement fléchi, puis il est revenu à la rescousse avec l'aide d'une horde d'infirmières dépenaillées.

Là, j'ai sorti le grand jeu : double-Nelson, étranglements, death valley bomb, flapjack, hurricanrana, jawbreaker... Bref tout l'éventail des prises et coups tordus appris depuis des lustres autour des tables de jeu.

Je dois l'avouer : traitreusement saisi par derrière par un mastard de vigile appelé à la rescousse, et endormi de force à grands coups de seringue, j'ai cédé sous le nombre , et l'opération a pu avoir lieu.

Maintenant , tout va bien. Je suis sorti du champ de bataille, et je vais pouvoir revenir à mon blog.

Seule une légère claudication (ainsi qu'un oeil au beurre noir) témoignent encore de la vigueur de ma lutte contre les féroces représentants de la Faculté.

Comme prévu, mon pied a été coupé en tranches, fin,fin, fin . C'était le gauche.

 Un seul détail me gène : ces pingouins  m'ont greffé un pied droit à la place. Alors ,maintenant, c'est logique, dès que je fais trois pas, j'arrête pas de tourner en rond. Gasp !

 

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