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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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GALERE A L'AILE DROITE

Pour arriver là, en pagaille, ca a pris du temps Les cosaques chargent les Français trop impétueusement Une vision de l'éparpillement français, et du terrain à l'aile droite Leur régiment est fait prisonnier, et ramené vers le bord de table Une partie de la cavalerie emprunte (quand même) un pont

Pour arriver là, en pagaille, ca a pris du temps
Pour arriver là, en pagaille, ca a pris du temps 

Voici, en quelques photos, l'illustration des difficultés que la cavalerie française et une brigade d'infanterie ont rencontré samedi ,sur l'aile droite, en franchissant les deux bras de rivière qui les séparaient des russo-prussiens. 

La cavalerie se retrouvant "sans formation" à chaque fois, et l'infanterie "désunie".

Maigre satisfaction : un régiment de cosaques a été envoyé pour les harceler et les retarder. Mais il a eu la mauvaise idée de charger un bataillon qui franchissait le parapet d'un pont, pour protéger une pièce d'artillerie attelée.

Résultat : une partie des cosaques a retraité et l'autre a reculé , et tous ont heurté des Français qu'ils avaient  aussi dans le dos.

Les cosaques ont donc été faits prisonniers.

 Les Français ont alors été dans l'obligation de les faire garder, et amener vers le bord de table, à raison d'une figurine gardienne pour 5 figurines prisonnière. Ce qui a contraint deux escadrons de lanciers rouges à s'absenter momentanément du champ de bataille.

Pour l'ennemi, cétait toujours ça de moins à affronter.

 

COMMENT LE FRERE LAFUMEE DEVINT CARDINAL

Dominique et moi : à ce moment là, on y croyait encore Lafumée (à droite) et ses moinillons : Michel et Xavier Des chasseurs russes soutenus par des mousquetaires prusiens La brigade française passe un pont. Les chevaliers-garde la chargeront La scène du meurtre : au premier plan, notre aile gauche ignorée

Dominique et moi : à ce moment là, on y croyait encore
Dominique et moi : à ce moment là, on y croyait encore 

Alleluia ! Vivat ! Gloria ! Depuis samedi soir, les cloches de toutes les églises d'Aquitaine sonnent à la volée, sauf dans les Pyrénées-Atlantiques où un crèpe de deuil a été placé devant la porte de chaque maison , et le drapeau mis en berne devant les grilles de la préfecture.

Après des années de pélerinages effectués à genoux, en sanglotant, un cierge à la main , la tête couverte de cendres, le pieux frère Jean-Pierre Lafumée de La Miséricorde vient enfin de voir son voeu le plus cher exaucé : battre l'odieux ours du Béarn.

En récompense de cet exploit qui restera dans les annales de l'Eglise (et dans les miennes, car depuis hier, j'éprouve comme une légère difficulté à m'asseoir) , le pape Benoit XVI à qui il arrive - bien que cela soit fort rare - de ne pas dire de conneries , a décidé dans une bulle tout fraiche d'ordonner Lafumée cardinal.

Il est même question de béatification. En attendant peut être, allez savoir, que s'ouvre un procès en canonisation. Saint Lafumée, ça le ferait, quand même, non ?

Cette victoire obtenue à l'arraché, mais non sans audace, est due à son oeil d'aigle, ainsi qu'à une grosse connerie de ma part.

Aux côtés de Dominique du Pindontonfaitlesplanches, un général landais fraichement débarqué sur les champs de bataille, j'ai en effet choisi ce jour là de ne pas exploiter tout le terrain mis à la disposition de nos Français.

Plutôt que de disposer ma cavalerie de la garde sur une aile gauche pourtant tout à fait appropriée à une belle attaque de flanc, j'ai voulu jouer la surprise en plaçant cuirassiers, lanciers rouges, grenadiers à cheval, et l'on en passe, à l'aile droite.

Lourde erreur. Car , même si l'ennemi n'avait pas trop garni ce côté là, mes cavaliers avaient quand même deux rivières à traverser. D'où de gros retards en perspective pour avancer, et récupérer leur cohésion après le passage des cours d'eau.

Bref, plutôt que de faire simple, j'ai fait compliqué, très compliqué. En oubliant ,du coup, les règles de base (agir vite, fort et de manière coordonnée) que m'enseigna jadis, en Périgord, mon maitre en stratégie : Sébastien le sanglant.

Autre erreur (c'était un jour maudit) : nos Français ont installé deux batteries d'artillerie sur une une colline dont la disposition (en longueur vers l'ennemi et non en largeur ) ne convenait pas à ce type de dispositif.

Le résultat ne s'est pas fait attendre.

Tandis que notre cavalerie galérait pour avancer (en étant en prime retardée par un régiment de cosaques venu là pour là juste pour la chatouiller sous les aisselles), les généraux adverses ont fait progresser sans risques leurs troupes pour exercer une forte pression sur notre aile gauche pas trop soutenue, ainsi que sur notre centre, mal protégé..

Lafumée , qui commandait à la fois des Prussiens et des Russes était accompagné ici  de l'impétueux feldmarshal Michel Von Cahos von Quercy, et du terrible Waldivimir Xavieroski Jaiduruskof de Chezfrontrankskia. Rien que des teigneux, quoi.

Et ce qui devait arriver, arriva .

Après avoir essayé de charger sans succès nos batteries centrales avec des Ulhans délégués au triple  rôle de chèvres, de moustiques et de casse-couilles, les Teutons - qui n'avaient pas encore pris un seul coup de canon - ont attaqué les deux pièces se 8 livres, et réussi à les enclouer. Bien vu.

Cerise sur le gâteau, à notre droite,  Lafumée  a fait charger  ses chevaliers-gardes sur un bataillon français venant tout juste de passer une rivière, donc désuni.

 Obligé de reculer, celui-ci a foutu le souk dans la brigade qui soutenait une cavalerie de la garde impuissante. Re-bien vu.

Certes, la partie aurait pu durer plus longtemps et nous réserver quelques surprises. Mais, à ce moment là, une grande partie de la messe était dite. Et , entre deux coups de canon, elle se chantait à la fois en patois moujik et en bas-ostrogoth. C'est dire si ça faisait mal aux oreilles.

Plutôt que d'en entendre d'avantage, Dominique et moi-même, avons donc retiré nos chapeaux emplumés, et serré la main des trois morpions d'en face, à l'issue d'une bataille qui nous a réservé quelques surprises, mais aussi quelques bons  moments de rigolade.

J'y reviendrai. Parce qu'un compte-rendu, c'est comme une crème glacée : faut lécher doucement.

 

 

LES AUSTRALIENS MONTENT AU FRONT

Mes australopithèques, en pleine séance de peinture
Mes australopithèques, en pleine séance de peinture 

Changement d'époque avant la grosse baston napo qui se jouera demain à Carbon Blanc : je suis en train de peindre une compagnie d'infanterie australienne (élite) en prévision du week-end géant que l'on passera en juin dans les iles du Pacifique (du moins celles que l'on aura reconstituées en décor) pour affronter les troupes du féroce général Yapudo (mais y reste du saké).

Je lui prépare aussi une surprise du chef : des kangourous sauteurs, avec la poche ventrale bourrée de grenades offensives :  zboiiing ! zboiiing ! zboiiing ! Baouuuum !

 

MOTIVES A TOUS LES ETAGES

L'infanterie, en rangs serrés, et prête à en découdre Une partie de la cavalerie, qui piaffe d'impatience, elle aussi Y a même les mortiers qui ont été astiqués Le reste de l'artillerie, et les porteurs d'épaulettes

L'infanterie, en rangs serrés, et prête à en découdre
L'infanterie, en rangs serrés, et prête à en découdre 

A quoi ça sert aussi une journée de RTT ? A ranger son armée, pardi !

Avec toutes ces bastons qui se succèdent en ce moment, la chose était necessaire.

Une revue de détail a donc été organisée aujourd'hui dans mon hangar, planqué entre deux collines béarnaises.

Pas un bouton de guètre ne manquait, ou presque.

Voilà les Français dans leur armoire, prêts à prendre la route pour la région bordelaise où des tas d'Ostrogoths les attendent samedi. Ils seront sans pitié. Les autres aussi, d'ailleurs, je suppose.

 

UN LEGER DE PLUS

C'est du léger, dans tous les sens du terme Ce qui est bien, c'est qu'ils fournissent le drapeau avec

C'est du léger, dans tous les sens du terme
C'est du léger, dans tous les sens du terme 

Le bataillon d'infanterie légère des figs en plastique des frères Perry est terminé. Il tirera ses premiers coups de feu lors d'une bataille napo 1814 jouée samedi prochain , toute la journée, à Carbon-Blanc (salle de la rue du Moulin), près de Bordeaux.

Ce jour là, des slaves mal dégrossis alliés à des Prussiens mal embouchés vont affronter des Français en rogne. Ca promet.

 

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