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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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TEMPETE

Salut les poteaux.

J'étais sous les rafales, dans les bois. Mais , rassurez-vous, avec ma compagne, nos chats, et mes figurines, on s'en est sortis sans dégâts.

J'espère surtout qu'il en est de même pour les copains landais et girondins.

Et ce n'est pas parce que le ciel nous tombe sur la tête qu'on va se laisser aller, nom de d'là .

Comme dit l'autre : "Même pas peur !"

 

GROS PLANS

La ligne française à l'aile gauche La cavalerie lourde du ch'ti père Napo Les cuirassiers russes du grand chef moujik Xavier Jaunes et bleus : les Suédois

La ligne française à l'aile gauche
La ligne française à l'aile gauche 

Avant de passer au bunker formé par les Prussiens à l'aile droite, quelques images prises au coeur de la baston

 

LA CHARGE QUI PARALYSE

Grosse menace française sur le flanc suedois. Les Vikings vont morfler Ouh que ça fait mal ! Les Nordiques en prennent plein les cotes

Grosse menace française sur le flanc suedois. Les Vikings vont morfler
Grosse menace française sur le flanc suedois. Les Vikings vont morfler 

L'autre jour, le solide général Didier van Blue swede shoes a appris à ses dépends qu'une charge de flanc peut vous laisser pantois et quasiment sans réaction.

L'un de ses bataillons suedois a en effet éte chargé de côté par une unité française qui n'avait qu'à traverser un ruisseau pour venir le prendre dans ses bras affectueux.

Or, les Suédois n'ont pas été autorisés à se réorienter. Ou plutôt, ils n'en ont pas eu le temps.

Car comme le rappelle l'évangile selon Saint Jean au verset 13 psaume 2-6 de la règle "Vive l'empereur", une unité chargée de flanc ou de dos n'a pas le droit de se réorienter lorsque son adversaire se trouve à moins de 20 centimètres d'elle. Là, les Français étaient à 13 centimètres , et ça n'a pas porté bonheur aux Suédois qui ont dérouté dare-dare après la mêlée.

Autre détail cocasse : quand le chargeant se trouve à plus de 20 centimètres, le chargé attaqué de flanc ou de dos peut se réorienter, mais en perdant un cran de cohésion. Donc en se retrouvant au mieux désuni.

Bref,  y a vraiment des jours où ça le fait pas.

 

 

ATTENTION, PEINTURE FRAICHE !

Le bataillon peint, soclé, terminé Calpe miniatures, c'est le spécialiste des Prussiens Une ch'tite dernière, pour la route

Le bataillon peint, soclé, terminé
Le bataillon peint, soclé, terminé 

Un intermède dans le récit de la bataille. Pour annoncer la naissance d'un nouveau bataillon de mousquetaires prussiens. La marque est, comme d'hab, l'excellent Calpe Miniatures .

Le bataillon porte les manches et les épaulettes blanches. Conformément à une illustration trouvée dans (l'onéreuse) série des Carnets de la campagne de Waterloo, sur l'attaque du village de Plancenoit.

Quelques généraux ainsi qu'un bataillon de landwehr (il y en avait un paquet chez les Prussiens) doivent suivre.

Demain : pourquoi une charge de flanc peut te paralyser et te laisser comme deux ronds... de flanc, justement.

 

BLUE SWEDE SHOES TRANSPIRE AU CENTRE

La grande batterie française installée sur la colline Le bataillon suedois chargé par les Français va dérouter Avant l'asaut, les Français s'avancent vers la colline

La grande batterie française installée sur la colline
La grande batterie française installée sur la colline 

Une bataille napo, c'est une affaire de stratégie. Mais c'est aussi  une question de détermination.

J'ai connu ça il y a quelque temps dans les compets de paintball, où le mental comptait autant que la technique.

Un exemple en a encore été fourni, samedi dernier, lorsque la brigade française que je manoeuvrai (avec l'aide d'une partie de la cavalerie lourde) a affronté les solides troupes suédoises du général Didier van Blue swede shoes : garde, élite, vétérans.

En plus, le terrain était complexe.

A gauche les abords d'un village, puis de gauche à droite une rivière guéable (on la passait en étant désuni), un pont dont les parapets se sont avérés très utiles (car protégeant un assaillant de tout tire d'artillerie, voire de charges, adverse), et une colline dont l'autre coté débouchait sur un bois tenu par les redoutables chasseurs de Warmlad (vétérans, ordre dispersé, abri léger, carabines portant non pas à 20 mais à 30 cm).

Bref, pas évident pour amener les Français à lancer un assaut. Sauf que...

Hé ben, sauf que, au début de la partie, avec le compère Lafumée, on avait décidé d'installer la majeure partie de l'artillerie française (soit 2 pièces de 8 et une de 6) sur le bord gauche de la colline pour amener au centre de la table une puissance de feu redoutable. Elle l'a été.

Comme prévu, les Suédois ont investi le bois situé de l'autre côté de la colline. Position soutenue d'un coté par deux bataillons de buveurs d'Aquavit, et de l'autre par une effrayante pièce d'artillerie russe de 12 livres. Quand on sait qu'il faut, au moins, deux bataillons d'infanterie pour déloger des tirailleurs d'un bois, vous voyez le topo.

Le choix a donc été vite fait. J'ai décidé d'occuper les chasseurs de Warmlad et la pièce de 12 avec un bataillon sacrifié, tandis que , sur la gauche de celui-ci, je portais l'essentiel de mon attaque ENTRE le bois et le pont surplombant la rivière. L'espace était mince. Mais il y avait quand même un passage.

Une fois les trois pièces d'artillerie mises en batterie, l'enfer s'est déchainé contre un bataillon suédois situé à l'angle du bois : 3,75 pertes à chaque tir.

Puis les Suédois ont été chargés par un bataillon français auquel j'ai apporté un maximum de soutien : deux autres bataillons, les 3 escadrons d'un régiment de cavalerie, et un général de division. La totale, quoi.

Dans leur assaut (ça aussi c'était prévu), les assaillants français ont  fait replier une compagnie de chasseurs de Warmlad qui débordait du bois, et qui n'a donc pas pu leur tirer dessus de manière efficace. C'était toujours ça de pris. Car les tirs des autres chasseurs embusqués, eux, dans le bois, en ont été réduits d'autant.

Le résultat ne s'est pas fait attendre : les Vétérans suédois ont dérouté. Et j'ai recommencé la même manoeuvre avec un autre bataillon que j'avais en réserve tout près du pont, contre un second bataillon nordique, lui aussi voué à la déroute.

Tout cela a pris quelques tours de jeu. Notamment pour installer l'artillerie sur la colline. Car le chemin n'était pas court.

 Mais une fois réalisé, le résultat s'est avéré payant. A condition de ne pas changer de plan en court de route. Ce qui était tentant, vue la masse de Russes à attaquer aussi à droite.

Autre remarque : l'infanterie suédoise était plus forte que les français dont les bataillons n'avaient qu'une première ligne en L1, le reste étant en L2. Si elle avait choisi l'offensive plutot que la défensive statique, elle aurait pu empêcher les Français d'installer leur artillerie sur la colline, ou au moins la menacer.

Mais voilà : comme le disait le ch'ti père Napo, l'impression que l'on fait sur l'adversaire est souvent  essentielle dans une bataille. Là, apparemment, ça a marché. Hé, hé, hé.

 

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