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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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PLUS DE 7000

Tiens ! Je vais fêter ça avec les Espagnols:  7000 coups de canon
Tiens ! Je vais fêter ça avec les Espagnols: 7000 coups de canon 

Encore une étape franchie ! Plus de 7000 visites ont été enregistrées sur ce blog.

Gueuze Lambic pour tout le monde.

 

MON HANGAR SECRET

La tondeuse, dans le fond, c'est pas pour  tondre le champ de bataille Le paquet au 1er plan, c'est des Prussiens de Calpe pour Michel Au plafond, le dieu de la guerre déguisé en cerf-volant Et bien sur, le fantome de mon poteau Alonso avec les décors

La tondeuse, dans le fond, c'est pas pour  tondre le champ de bataille
La tondeuse, dans le fond, c'est pas pour tondre le champ de bataille 

Je vous en parle parfois. Mais tout le monde n'a pas forcément eu l'occasion d'y jeter un coup d'oeil (Hein ? Mon p'tit Pauzemoidoncçalà ?)

Abrité entre deux collines béarnaises, caché par les bois et défendu par quelques nids de mitrailleuses, voilà mon hangar spécial Napo

C'est ça l'avantage de la province, comme le disent les Parisiens. C'est pas la place qui manque.

 

UNE REMARQUABLE DECOUVERTE

Une disposition inédite. Les Historiens n'en croient pas leurs yeux
Une disposition inédite. Les Historiens n'en croient pas leurs yeux 

De nombreux et éminents historiens se sont déjà penchés sur les tactiques de combat mises en oeuvre par les armées napoléonienne.

Et l'on connait à peu près tout sur les dispositifs employés par l'infanterie sur un champ de bataille : la formation en colonne, en carré creux ou plein, en ligne, en tirailleurs.

Mais une question fondamentale continuait à tarauder depuis longtemps les chercheurs : quelle disposition adoptait à l'époque un bataillon qui ne savait pas trop comment se comporter face à l'ennemi ?

Après avoir effectué des fouilles au sud de Pau, le laboratoire de recherche paléontologique de la fouineuse Université béarnaise du Napo vient de répondre à cette interrogation aussi essentielle que définitive , en exhumant  les restes d'un bataillon prussien qui reposait dans le fond de mon hangar. Voilà la réponse, en photo, sous vos yeux éblouis.

Si avec un tel document on n'obtient pas la légion d'honneur, c'est à désespérer de tout.

 

UNE TRANCHE DE ROSBIF ?

Dans mon hangar glacial (d'ou le flou de la photo), les Godons Wellington, et le fameux Picton qui n'a pas eu le temps de se saper La brigade écossaise. Ceux-là, ils en ont sous le kilt La terrible infanterie britannique,  redoutable au feu, en défense Mes fusées à la Congrève, spécialisées dans le meurtre des généraux

Dans mon hangar glacial (d'ou le flou de la photo), les Godons
Dans mon hangar glacial (d'ou le flou de la photo), les Godons 

Après l'armée française au grand complet (bien que plusieurs bataillons restent à peindre), voici les Anglais dans toute leur splendeur.

Faut que je recalcule tout cela après le décès subit d'un précédent ordinateur , mais ça doit faire dans les 6000 points.

Allez ! Trève de bavardages. Voila les photos.

 

HE PIMENT, FAIS GAFFE A TON GENERAL

Le professeur Hyeronimus Vivianus ne recule devant aucune expérience
Le professeur Hyeronimus Vivianus ne recule devant aucune expérience 

Lors du premier cours magistral donné dans l'amphithéâtre-hangar de la désormais célèbre ULBCNPI (Université libre béarnaise du ch'ti napo illustré), les vénérables professeurs Hyeronimus Vivianus et Johan-Jacobus Vampirus se sont livrés à un exercice ma foi fort intéressant.

En voici l'intitulé : Ou diable peut-on placer un général qui accompagne une charge sans qu'il ait trop chaud aux roustons ? 

Sachant qu'un général placé à moins de 5 cm d'une unité lui apportera un bonus au test de charge en fonction de sa valeur (général de brigade + 1, de division +2, de corps d'armée + 3, Napoléon + 5 )

Pour tenter de résoudre cette énigme insoutenable, le professeur Hyeronimus Vivianus a placé un banal général de brigade anglais à côté des Life Guards qui chargeaient le bataillon français terrorisé.

Puis il a observé attentivement ce qui se passait.

Placé dans le prolongement de la ligne de cavalerie, le général se retrouvait sous le feu d'un bataillon soutenant les Français chargés. Vivianus a donc calculé le résultat du tir des 6 figurines de  valeur "vétéran" placées au premier rang du bataillon.

Pour cela, il s'est rappelé pour cela qu'un général et son (ou ses) aide de camp sont considérés comme étant en ordre dispersé. Ce qui revient à dire que, lorsqu'on leur délivre généreusement des bastos sur le rable, on a - 5 au tir. Ca réduit considérablement la puissance du feu.

Oui mais, voilà. Comme les tireurs se trouvaient à courte portée, le feu a quand même eu un impact : 0,25 perte.

C'est le minimum de perte que l'on peut faire sur une cible. Mais c'est suffisant pour essayer de tuer le général.

 La méthode est simple. Pour dégommer le galonné,  on jette un dé 6. Si on obtient 1,2,3,4 ou 5 , le résultat c'est berniques et peau de balle.

Par contre si on fait 6, le général est décanillé, et tombe de son canasson . Raide mort. Gasp !

Moralité : Quand tu charges en compagnie d'un officier supérieur, fais gaffe à ce qu'il ne se ramasse pas de bastos, et place le plutot derrière tes troupes.

 A moins que ce soit un gros connard, bien sur. Dans ce cas là , mets le carrément devant . Hi, hi,hi...

 

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