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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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DES DECORS A SE TAPER LE CUL PAR TERRE

Vingtdechiu ! On s'y croirait Les maisons réalisées en résine par Loïc Des Teutons en embuscade . Ah,  les sales bêtes ! Combat entre US et Allemands dans les rues d'une ville normande Aucun détail n'est négligé

Vingtdechiu ! On s'y croirait
Vingtdechiu ! On s'y croirait 

Avant de passer à la solide baston qui vit les Français malmener les anglo-teutons, samedi, du côté de Carbon Blanc, voici quelques photos de la partie de Blitzkrieg disputée la veille à la MJC du Lau, à Pau, avec le club Histoire et légendes.

On y découvre les remarquables décors créés (et proposés a quinenveut pour pas cher)  par Loïc, qui vient de poser ses mitrailleuses et son pain de guerre en Béarn.

Conçus pour du 1/72 et jouables également en 15 mm, ils vont jusqu'à reproduire le papier peint de l'époque (des exemplaires peuvent en être trouvés sur son site (neveu.blog4ever.com) , qui figure à côté de cet article , dans la liste de mes blogs préférés.

Regardez, appréciez et applaudissez.

 

L'ART DE TIRER UN COUP DE CANON

Une batterie française, avec un général tué par un coup de dé de Fredo Z'avez jamais vu des Brunswickois dérouter ? Ben, c'est fait La pièce de 8 livres s'apprête à cracher flammes, fumée et boulet

Une batterie française, avec un général tué par un coup de dé de Fredo
Une batterie française, avec un général tué par un coup de dé de Fredo 

Pas simple de se servir d'une pièce d'artillerie, à l'époque napoléonienne.

Chacune d'elles était servie par huit à quinze hommes, dont six artilleurs principaux. Ces derniers comprenaient:

Côté gauche :

- un canonnier de gauche, pointeur de la pièce en hauteur

- un premier servant, chargeur

- un deuxième servant, responsable du dégorgeoir

Côté droit:

- Un canonnier de droite, commandant de la pièce et pointeur en direction

- Un premier servant, artilleur à écouvillon

- Un deuxième artilleur, responsable du seau d'eau et de la lance à feu

Voilà comment les choses se passaient:

Dès qu'elle a tiré, la pièce est ramenée vers l'avant car le tir l'a fait reculer de plusieurs mètres

Les artilleurs saisissent tous ensemble l'affut et ramènent le canon à sa place d'origine

Le chef de pièce (canonnier de droite) pointe à l'horizontale. A l'aide de leviers, si le canon est léger. A l'aide de servants (qui viennent en plus des 6 cités plus haut) s'il est lourd.

Une fois le canon pointé, le chef commande "chargez !"

Le premier servant de droite saisit l'écouvillon chargé d'eau et de vinaigre. Avec l'aide du premier servant de gauche, il nettoie énergiquement l'âme du tube afin d'éliminer les restes encore embrasés de la gargousse utilisée lors du tir précédent

Pour faciliter leur extinction, le canonnier de gauche bouche la "lumière" du canon pour empêcher l'air d'entrer. Son doigt est protégé pour cela par un doigtier en cuir.

Dans le même temps, le canonnier de gauche tourne la vis qui se trouve sous la culasse et pointe le canon en hauteur.

Ensuite, le pourvoyeur remet un boulet ou une boite à mitraille au premier servant de gauche. Cette charge est reliée au sabot et à la gargousse.

Le chargeur présente la charge devant la bouche du canon tandis que le premier servant tourne l'écouvillon du côté opposé à la brosse. Cette partie de l'écouvillon s'appelle le refouloir.

Les deux premiers servants saisissent ce refouloir et s'en servent pour enfoncer la charge au fond du canon.

Une fois cette tache effectuée, le deuxième servant de gauche utilise un dégorgeoir (une longue tige de métal dotée d'un manche en bois) pour percer l'enveloppe de la gargousse dans le tube du canon.

Le même homme introduit ensuite une étoupille dans la lumière du canon (un trou situé au dessus du tube).

Le deuxième servant de droite  prend alors la lance à feu et l'allume à la mèche du boute  feu qui se trouve à côté.

Afin d'avertir l'officier  que le canon est prêt à tirer, le deuxième servant de gauche lève le bras.

Quand l'ordre est donné, le deuxième servant de droite met le feu à l'étoupille avec la lance à feu. Le coup part.

Evidemment, à Counterstrike, un seul clic gauche suffit. Mais c'est moins rock'n roll.

               

 

UN PEU DE SAUCE A LA MENTHE ?

Et le ch'ti père Napo donne déjà ses ordres. Côté rosbif, on fourbit ses armes

Et le ch'ti père Napo donne déjà ses ordres.
Et le ch'ti père Napo donne déjà ses ordres. 

Changement de programme. Pour des raisons indépendantes de sa volonté, comme on dit à la télé, le vaillant général Xavier Jaiduruskof de Chezfrontrank ne pourra pas nous servir son bortch habituel samedi.

Donc pas de Russes au menu et faudra se rabattre sur la cuisine anglaise. Je sais, c'est dégueulasse, Mais on n'a que ça sous la main.

La bataille de samedi se déroulera dès lors sous le brulant soleil de Waterloo. Avec Nassau frits en  entrée, rosbifs aux pruneaux  en plat de résistance, et un ch'ti chouia de schnaps prussien en guise de dessert. Ce dernier se servira évidemment bien frappé.

 

EN AVANT LA MOUJIK !

Un seul mot d'ordre chez les Français : " A taaaabbbbble !"
Un seul mot d'ordre chez les Français : " A taaaabbbbble !" 

Quand y'en a plus, y en a encore.

Une nouvelle bataille se prépare sur Carbon Blanc, samedi prochain. Avec cette fois-ci du Ruskof, cette fois, servi chaud , façon bortch, à l'appétit des troupes françaises.

Et, entre autres fiers combattants , un vaillant revenant : le célébrissime frère Jean-Pierre Lafumée de la Miséricorde. Et au moins deux petits nouveaux qui feront leur rentrée.

A propos, les mecs, vous l'aimez comment le cuissot de moujik ? Saignant ou à point ?

 

ET FREDDY LES DOIGTS DE FEE INVENTA LE DE-BEQUILLE

Un vrai Mac Giver, ce Frédo
Un vrai Mac Giver, ce Frédo 

Fredo-les-biscotos a un talent caché : c'est un as du système D. Ou plutôt du système-dé.

Lors de notre dernier affrontement, il a ainsi trouvé le moyen de faire tenir droit un bataillon qui , normalement, doit avancer penché sur un bord de colline.

Normal, le Français, ça charge bourré, ou ça charge pas.

Mais peu importe. L'astuce était efficace. Trois dés empilés les uns sur les autres, et le tour était joué.

Moi je ne maitrise pas cet art là. Cela dit, un seul dé me suffit. Pour faire des 6. Hi,hi, hi....

 

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