jjnapo
ET SI ON S'ENVOYAIT EN L'AIR ?
Le Stuka Ju87. Lent, mais méchant. La maquette est en métal |
Changement d'époque : deux avions vont bientôt apparaitre sur les tables 2e WW pour donner un ch'tite fessée aux troupes de l'insolent général Pauzemoidoncçalà, la honte du Nord Gironde. Au choix :
- Un Stuka Ju 87, chasseur de char armé de 2 canons de 37 mm et pouvant emporter jusqu'à 1800 kilos de bombe (Ca va sentir le chewing gum cramé, hi,hi,hi)
- Un P-47D (ce qui ne signifie pas la 47e tantouse du régiment , attention, Philippe, j'te vois venir) Thunderbolt, chasseur américain ,aussi utilisé par les Anglais , armé de 8 mitrailleuses Browning M2 de 12,7 mm et pouvant emporter 1139 kilos de bombes ou 10 roquettes de 127 mm (Là, ca va carrément sentir le riz brûlé, hé, hé,hé).
NAPO EXPO
Les combats autour de la maison tenue par les Rifles anglais |
Même si, jadis, quelques esprits chagrins (que le cul leur pèle) ont dénigré le 28 mm napo , en se gaussant en plus du fait qu'il soit joué avec les mêmes distances que le 15 mm, il faut quand même dire ce qui est : sur une table, ça a de la gueule.
Le week-end dernier, les visiteurs du salon du modélisme organisé au vélodrome ont pu s'en rendre compte. Ce qui nous a , en prime, permis au passage de prendre quelques contacts avec des gens intéressés. Bref, rien que du plaisir.
Retour en photos sur quelques affrontements.
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LA VENGEANCE DU CROTALE
La position des troupes, avant la bataille |
Le général Frédéric de Tuvaslesentirpasser , cousin par alliance du féroce teuton Friedrich von Vienzydoncpauvretache et du misérable godon Freddy of White Carboon, est un animal à sang froid.
Dès qu'on lui marche un peu trop sur les arpions, d'abord il ne dit rien, mais ensuite, il frappe comme le crotale, avec des deux crocs bien pointus plantés dans vos mollets.
C'est ce qui s'est passé l'autre dimanche lorsque ses troupes françaises ont affronté un ramassis de Prussiens et de Brunswickois placés sous les ordres de l'innommable JJ la racaille.
L'affaire fut simplissime. Ayant entendu parler de la mésaventure survenue la veille au comte de White Carboon, Fredo-les-biscotos massa lâchement une bonne partie de son armée (c'est à dire 8 bataillons, 2 pièces de 8 et un régiment de cuirasssiers )face à quelques maigres Brunswickois à l'aspect famélique.
Et le rouleau compresseur se mit en marche. Lentement, mais surement.
Certes, les Ostrogoths firent belle figure et mirent même en déroute et en retraite deux des bataillons concernés, au centre du dispositif français, sur une colline baptisée depuis "Hamburger Hill".
Mais JJ la racaille commit l'erreur de poursuivre les bataillons français malmenés, et ce faisant, de percuter d'autres bataillons traversés par leurs copains en fuite. Les percutés étaient sans cohésion.
Mais le résultat de la mêlée, toujours à l'avantage des Teutons, ne fut pas jugé suffisant. Ce qui obligea ces derniers à reculer et à perdre à nouveau un cran de cohésion, en se retrouvant menacés sur leur flanc.
Aaarrrggggghh ! Himmelgott ! Milliarddevingtchi'u d'bordel à queue !
Ca m'apprendra : faut jamais poursuivre un Girondin de ses assiduités.
Les Teutons refluèrent donc à leur tour, pour constituer une seconde ligne de défense. Et Fredo A. (A pour Alleluia) Glorioso continua à faire avancer son mur de baionnettes, en assaillant au passage un bois ardemment défendu par les (nouveaux sur les tables) redoutables Schutzen silésiens. Des gaillards qui ont l'avantage de l'ordre dispersé et + 1 au tir. Des emmerdeurs patentés, quoi.
Certes encore, JJ la racaille a sérieusement enquiquiné avec sa cavalerie l'aile droite française ou les déroutes tombaient comme les boulets à Gravelotte (tout un régiment de hussards a même du quitter la table) , et il était sur le point de réussir à percer le centre français en faisant partie un bataillon tricolore menacé de flanc.
Mais sur l' aile droite ostrogothe, les troupes du Crotale du nord de Garonne ne démordaient pas (si tant est que l'on ait déja vu un crotale démordre) . Et elles accentuaient leur pression, en faisant de leur coté partir en déroute une artillerie de 6 livres brunswickoise)
Jolie castagne, ma foi. La nuit tombant, on s'en est tenu là. Mais l'ami Fred a, ce jour là, gagné de belle manière ses galons de général de division.
Ca s'arrose, comme on dit en Béarn , les jours de pluie. Eeuuuh, c'est à dire en fait tous les jours.
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Mon célèbre dé limé
Fredo-la-Scoumoune vient encore de goûter à l'un de mes 6 |
Freddy of Wait and see, comte de White Carboon, s'est étranglé à plusieurs reprises ce week-end , en voyant rouler sur la table de jeu le dé que j'avais consciencieusement limé les jours précédents.
Dé qui, à intervalles réguliers, c'est à dire une bonne quinzaine de fois (si ce n'est pas une vingtaine), s'est arrêté sur le joli chiffre 6.
Cette série de coups du sort lui a, entre autres, valu la mort d'un général de division qui avait eu la malencontreuse idée de se placer sur la trajectoire d'un boulet ennemi. Histoire, sans doute, de refaire tout le plombage de sa dentition.
"Hoooouuu, Aaaaahhh, Aarrggghh..." criait Fredo la Scoumoune à chaque jet de dé adverse. Et, une fois de plus, nos reporters étaient là, pour prendre quelques clichés criants de vérité. Des moments succulents.
Bientôt : La vengeance du crotale
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Y A DU MOU DANS LE PORRIGDE
Le comte de White Carboon dans ses oeuvres |
Le commodore Freddy of Waitandsee, comte de White Carboon, se gratte l'une, se tate l'autre, bref, s'interroge en buvant à petites goulées sa tasse de thé au bordeaux (une détestable habitude culinaire qu'ont pris les Anglais, avec bien entendu la recette du Hareng saur nappé de sauce à la menthe)
Que faire, my godness ? Que faire ? se demande celui qui porte aussi le titre envié de Lord of Mytwo.
En face de lui, une gaillarde armée française placée sous les ordres de l'égrillard maréchal Jvaistenmettrunemonchtigars, protecteur du Béarn et des coteaux de jurançon, s'avance la bave aux lèvres, en ce beau samedi de septembre.
Or le commodore ne sait que faire. Doit-il partir à droite ? Vaudrait-il mieux s'en aller à gauche ? Le doute le submerge. Tandis que les Gaulois, de plus en plus baveux, avancent.
Déjà, le comte de White Carboon peut sentir leur haleine fétide, délicatement nimbée de vieux relents de ricard et de mojettes mal digérées, lui conter fleurette aux narines. Et sa petite cuiller s'agite de plus en plus nerveusement au fond de sa tasse de thé.
"Si je vais à gauche, je vais prendre une rouste" se dit-il à voix haute. "Si je vais à droite, je vais ramasser une raclée" ajoute-t-il à l'intention d'un de ses aides de camp, qui s'en fout. Trop occupé à regarder le champ de bataille Voisin où le général perse Dédé Lamainlourde s'apprête à étriller un jeune novice Grec avant de le retourner délicatement et de lui sussurer à l'oreille la recette de la Feta à la saucisse.
Et les Français avancent. Et les Français rigolent. Et la petite cuiller de m'sieur l'comte s'agite.
Jusqu'à ce qu'un cri horrible se fasse entendre , poussé sous la tente du commodore qui, assailli par le doute, et terrassé par l'émotion, a fini par piquer un ch'ti roupillon. . Un drole de cri, mélange de Arrrrghhh strident, de Gasp dépité, de Shoking haletant, et de Hildepute suffoqué (car ce bougre là a aussi des cousins dans le Sud-Ouest de la France) .
Freddy of White Carboon, qui s'est réveillé en sursaut, vient de découvrir qu'un bout de baionnette tricolore dépasse légèrement de son flanc gauche, mais surtout que son thé est froid. Les Français sont passés à droite.
"Elementaire, min tchio père" lui confie Jvaitenmettreune, en lui tournant doucement la baionnette dans les tripes, et en regardant l'autre zigoto s'agiter fébrilement autour du bout de ferraille.
"J'aurai ma vengeance, dans cette vie ou dans une autre. Et elle sera terrible", maugrée l'embroché, avant de s'effondrer . Déjà, une lueur sadique éclaire son regard torve.
Bientôt, les foules ébahies vont effectivement découvrir qu'il faut toujours se méfier d'un White Carboon qui dort.
Mais ceci est une autre histoire.
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DONC,
nous dirons que le STUKA se fera ratata...tiner par nos vaillants canadiens qui patrouilleront en sicile ou en italie alors que le THUNDERBOLT,n'en aura pas davantage du BOL lorque nos DCA teutonnes l'aligneront dans leur colimateurs !!!
Nous règlerons cela bientô MY LORD !
et pourquoi pas le 25 Octobre prochain lors de notre prochaine MEGA BASTON sur le FRONT PACIFIQUE (ce qui ne serapasnotre cas mon gaillard !!)à CARBON BLANC sur une table 3D de 24m² ?!!
Heu sans vouloir te contredire JJnapo mais concernant le Stuka c'est la goulach brulé dans un T34 que ça va sentir (fin de production nazie 1943 ou alors sur le front italien) ) et pour le P47 c'est les saucisses de Francfort qui vont cramer (jamais utilisé dans le pacifique)...
cordialement et bravo pour ton super site
Surtout je sens que les pièces de DCA vont fleurir!