Les Français s'avancent face aux lignes alliées

Comme je le disais l'autre jour, la bataille livrée contre le costaud général  Stéphane a donné lieu à quelques belles empoignades. Dont celles livrées au centre par un bataillon de Garde espagnole et de mercenaires suisses (Elite) contre les Français.

A l'aile gauche alliée, les Portugais, beaucoup plus faibles (L1/L2) ont utilisé le terrain pour jouer les verrous. Même huilés au Porto, ces derniers n'ont pas grincé.

Voici quelques images de cette joyeuse sauterie.

L'impressionnante ligne de défense des légers espagnols. Vingtded'chiu

Avant d'aller affronter samedi les farouches guerriers de la tribu des Girondins-têtes de chien, je me suis fait un petit entrainement à la guerre d'Espagne dans mon hangar avec Stéphane 1er, roi du Béarn et de l'Abyssinie réunis.

D'un côté des Français fonceurs, de l'autre des hispano-portugais calculateurs qui leur ont rejoué le vieux coup de l'entonnoir : comment attirer toute une division entre une maison et un bois, face à des toreros on ne peut plus malveillants. Avec , comme d'hab, quelques banderilles qu'on vous enfonce en rigolant dans les flancs.

Stéphane, qui découvre la règle Vive l'Empereur, a  appris à ses dépends ce que le mot "soutiens" veut dire. 

Mais aussi  que la porte d'une maison bien close défendue par des Caçadores dopés à la morue sauvage, ne se pousse pas aussi facilement que le célèbre claque de Mme Irma. D'autant plus que, comme le rappelle fort justement cette spécialiste des assauts livrés au corps à corps, la morue sauvage n'aura décidemment jamais  rien à voir avec la morue d'élevage.

Stéphane a enfin  découvert qu'un régiment de cavalerie peut renacler devant une solide ligne d'infanterie. Surtout lorsqu'il s'agit de légers espagnols dont les bataillons réunissaient jadis 1200 bonhommes. C'est à dire 30 figurines. Hi, hi, hi...

Cela dit, faut le souligner, le bougre - fidèle à sa réputation - a joué avec intelligence et détermination. 

 Et je peux vous assurer que, lorsque ce coco là aura lu une fois ou deux la règle, vaudra mieux pas venir trop  lui chatouiller les doigts de pied. Tremblez, carcasses !

Les Espinguoins en route pour Bordeaux, capitale du pays des Esquimaus

"Donnerwetter ! Schweinehund ! Himmelgott ! Budain de zac à merdeu "comme le dirait Benoit XVI chaque fois qu'il n'arrive pas à enfiler sa chasuble pare-balles en titane surper-renforcé. C'est dur de règler les problèmes informatiques. Cela dit, tout a une fin. Et les miens se sont terminés en beauté.

Comme je vous le disais dans un précédent message, notre nouveau  pape - qui est originaire d'Ostrogothie occidentale -  vient en effet passer mes troupes en revue, ce week-end, à Lourdes.

Je ne sais pas si il faut voir là un quelconque miracle, mais ça coïncide tout juste avec le moment ou je mets en route un nouveau matos informatique : un écran grand comme un immeuble piqué au Futuroscope, une unité centrale chouravée à la Nasa et un peu d'eau bénite fournie par mon pote Benoit pour faire fonctionner toute la bécane.

Du coup, les tambours de guerre résonnent à nouveau en Béarn et des régiments espagnols, qui seront bientôt rejoints par des unités portugaises et anglaises sont d'ores et déjà en train de prendre la route des froids pays du grand Nord : je parle, bien sur, du nord de l'Adour, et du département de la Gironde. Chez les Esquimaus, quoi.

Tout ce petit monde se retrouvera le samedi 20 septembre, dès potron minet, dans la salle de Carbon Blanc.

Je vous dis pas l'ambiance qui règne en ce moment le soir dans les bivouacs. Seul détail génant : l'odeur de la morue pas fraiche cuite à la graisse de burnes de toros andalous, et assaisonnée d'une délicate sauce à la menthe, qui émane des cantines. Je m'y ferai jamais.

A propos : j'ai vu que le blog a été visité chaque jour. Merci pour votre patience.

Mon ordinateur a mal au ventre.

Pendant que je passe mon temps à essayer de trouver les bons comprimés pour le soigner, je me suis rabattu sur celui de ma compagne (merci la live box).

Mais, comme ne je peux pas prrésentemmment charger sur sa fragile bécane le site dont je me sers pour envoyer des photos (Xnview), le célébrissime blog JJNAPO risque d' être mis en semi- sommeil pendant une ch'tite dizaine de jours.

"Porca Miseria", comme grommelait le Corse couronné en marchant du pied droit dans une merde d'Anglais dégageant une forte ordeur de sauce à la menthe mal digérée.

Mais que toutes ces petites misères ne nous empêchent pas de jouer, nom de d'là. Je signale donc qu'une baston est envisagée à Carbon-Blanc le samedi 20 septembre. Sans doute guerre d'Espagne.

Va y avoir de la rumba dans les "corones".

C'est là que tout débute.

De gros travaux de bricolage ne m'ont pas permis ces derniers jours de reprendre le blog avec assiduité. C'est comme ça : "quand ça le fait pas, ça le fait pas" comme le disait Grouchy devant les Prussiens rigolards de Wavre.

Aujourd'hui, un mystère est enfin dévoilé : l'intérieur de l'un de mes ateliers secrets, installé à flanc de colline et en bordure d'une sombre forêt pleine de bestioles en tous genres (sangliers, renards, daims, chasseurs bourrés...)

En fait, quand je l'ai fait visiter récemment à un joueur, c'était un bordel noir. Du coup,  le rouge de la honte m'a saisi, et j'ai tout remis en ordre.

 Revue de détail en photos. Maintenant, y a plus un bouton de guètre qui dépasse.