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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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VIVE LES VACANCES !

Allez, Alonso, dis au-revoir aux copains, toi aussi
Allez, Alonso, dis au-revoir aux copains, toi aussi 

Pas de blog pendant quelque temps. Je m'en vais voir ailleurs si j'y suis. Et il y de grandes chances pour que j'y sois.

J'emmène des figurines et de la peinture, évidemment.

 Au pied des glaciers... raaaâââh, ce plaisir !

 

LE ROI DU SIPOREX

Une forge bidouillée avec art Des ruines philippo-jjennes Un moulin à eau en siporex Un pont sur le bayou Le débarquement des futs de whisky sur la plage

Une forge bidouillée avec art
Une forge bidouillée avec art 

Y a un truc qu'on ne peut pas enlever au général Pauzemoidoncçalà, c'est son imagination débordante. Et sa facilité à travailler le siporex. Du coup, ses décors deviennent superbes sur une table de jeu.

Quelques exemples en photos, pris sur le vif.

Demain : "Le perroquet bleu", ou la maison de Mme Irma

 

CASTOR FRILEUX S'EN VA EN GUERRE

Les troupes américaines, dopées au Old Bourbon Le slogan sur le drapeau américain a réellement figuré sur cet emblème Le champ de bataille. Il n'a pas l'air. Mais il est coton La charge des GI's. Elle sera arrêtée au feu Une^pièce de 9 livres à cheval anglaise, sans les artilleurs

Les troupes américaines, dopées au Old Bourbon
Les troupes américaines, dopées au Old Bourbon 

En 1814, le soldat américain est un petit être fragile et malingre.

Craintif aussi. Car , autant il  sait donner de la gueule derrière ses tonneaux de Old Bourbon ,  autant, dès qu'un prédateur - le soldat anglais par exemple - s'approche de lui à  moins d'un mètre cinquante,  ce frêle  animal se réfugie  illico  dans le premier abri venu.

Qu'il s'agisse d'un marais saumatre , d'un bois louche où Lafumée trouverait même pas un vieux champignon , ou bien une maison borgne  dans laquelle, n'écoutant que son petit coeur effrayé qui bat la chamade, il se précipite en couinant. 

Quitte à s'y entasser à deux bataillons, de la cave au grenier, et a laisser des traces de pas jusque dans le bac à beurre de cacahuète qu'est dans l'étage supérieur du frigo.

 Parce qu'il est comme ça, le Ricain, les pieds poisseux et ne respecteant rien. Même pas le beurre de cacahuete. La honte soit sur cette engeance.

Bref, somme toute, en définitive, et en en un mot comme en cent,  on l'aura compris, l'Américain,  ça craint, et du coup , ça se planque.

Et on a beau siffler, chanter ou lui montrer des images pieuses de demoiselles trombinées par des vieux boucs en rut, le faire sortir de sa tanière, est bigrement coton.

L'expérience en a été faite samedi dernier lorsque les vaillantes troupes des  buveurs bière tiède commandées par le vampire du Béarn et son fidèle adjoint, Freddy le Terminator,  se sont avancées en terrain ennemi.

Dans un  décor de rêve. Un terrain du style : un bunker, un marais, un bois , un bunker, un marais, un bois ,  un bunker, un marais, un bois .

Superbe, mais un enfer de goulots et d'abris durs dans lequels s'étaient camouflés comme à leur habitude  les gonzesses du Tenessee, les majorettes du Mariland,  les pleureuses de Floride et quelques autres emplumés.

"Rien que de la daube", assurait le  malin général adverse. Oui, mais de la daube planquée. C'était bien là le hic

Dès lors, arriva ce qui devait arriver. Ca a saigné : des deux côtés.

Habitué aux franches empoignades des bonnes partouzes napoléoniennes, l'Anglais n'a en effet pas mégotté. Il est monté à l'assaut en chantant son air préféré : "Tu l'veux mon kilt ? Tu l'auras pas mon gars... la, la, la".

Chaude baston. Et que j'te pine à gauche, et que j't'assaille à gauche, et que je te nique  au centre.

Hélas, désolation et bière tiède. Rien n'y a fait: "Castor frileux" n'est pas sorti de son terrier.

Sauf une fois : pour goûter goûlument aux rafales de plomb délivées généreusement par les bronwn bess de vot'serviteur ,qu'est jamais avare de bastos. Car la ligne GB, mieux vaut pas trop venir la chatouiller de près.

Résultat : 1 partout, la balle au centre. Chaque camp perdant l'équivalent d'un bataillon complet et d'un escadron.

On a bien rigolé.  C'est l'essentiel. Et certaines images à venir, dont celle du marine Hulk se faisant gâter le plumeau derrière les lignes anglaise dans le boxon de Mme Irma , vous le démontreront.

Mais faudra remettre ça.

Cela dit, promis, juré, la prochaine fois, le beurre de cacahuète qu'est dans le frigo, j'en ferais un tout autre usage, mon petit castor...

Demain : les super décors du ch'ti père Philippe

 

AMERICAINS CONTRE ANGLAIS, HE OUI

Les Anglais , prêts à conter fleurette aux Amerloques.
Les Anglais , prêts à conter fleurette aux Amerloques. 

C'est pas parce qu'il fait chaud, que c'est les vacances et que tout va bien que l'on ne va pas se foutre sur la tronche.

Une baston va opposer demain samedi, à Carbon Blanc, le capitaine Y Frakass, tonitruant commandant des troupes américaines, au modeste (hi, hi, hi) et efficace Sir Jack, le vampire du Béarn, placé à la tête des Anglais. Ainsi qu'à tous ceux qui sont disponibles (et belliqueux), quelle que soit l'heure.

Tout ça pour reconstituer la guerre survenue en 1812 entre les Amerloques et les Anglais, parce que la reine des buveurs de thé refusait de prêter sa sucette aux honorables membres du Congrès (en fait, un conflit né de divergences de vue sur des intérets commerciaux).

Détail cocasse : Y Frakasse commandera aussi des indiens. Ca tombe bien. Ca fait longtemps que je ne lui avais pas volé dans les plumes.

 

RE-MESSAGE PERSONNEL

A l'honorable (quoi que)  Y Frakass

T'es là ce week-end, fier à bras ? Pour que l'un de nous deux expédie l'autre...

 

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