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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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LE VIEUX COUP DE LA PRISE DE FLANC (3)

La partie droite. Les deux assaillants français arrêtés au feu, et SAC Vue d'ensemble avec la partie centrale. Incertaine La partie gauche : la cavalerie n'a aucune chance En arrière plan, l'artillerie inutile, car inutilisée, de Vivian.

La partie droite. Les deux assaillants français arrêtés au feu, et SAC
La partie droite. Les deux assaillants français arrêtés au feu, et SAC 

Lafumée, qui s'y entend, a raison. Vivian aurait du utiliser sa batterie d'artillerie au préalable.

Voici la suite de la charge des Français en photos.

Sur la partie droite, les deux bataillons qui ont chargé l'aile anglaise ont pris du feu  (ycompris de canon) et ont été arrêtés "sans cohésion". En prime, l'un d'eux risque maintenant une prise de flanc (il sera ligne 1,  et non plus en vétéran, tandis que tous les Anglais, eux, sont vétérans Hé, hé, hé...) Ou bien, il prendra un gros feu. En tout cas ça va faire mal.

Sur la partie centrale , comme on a du interrompre la parte, les calculs n'ont pas encore été faits. On s'en occupera quand Vivian reviendra.

A cet endroit, un bataillon anglais en double ligne est chargé par deux bataillons français ,et se retrouvera sans doute en position délicate. D'autant plus que la cavalerie  française charge l'autre bataillon GB qui se trouve sur la gauche, et qui ne peut dont pas soutenir son voisin au feu.

Par contre, l'Anglais chargé par deux Français a un général de division en soutien (+2 au test de charge) et il bénéficie du soutien de deux bataillons placés en arrière (+2 au test de charge). Sachant que l'infanterie française charge avec un bonus de + 1 seulement et que l'Anglais a + 2 en défense, tout en bénéficiant ensuite, parce qu'il est en ligne, d'un bonus de +1 au tir, ça peut peut être le faire.

Une chose est certaine : c'est donc le feu qu'il délivrera sur ses assaillants qui décidera de la suite. Sachant que ce feu devra être réparti entre les deux zigotos assaillants qui, au mieux risquent donc, s'ils chargent au pas accéléré, de ne baisser que d'une allure pour arriver en mêlée, au pas ordinaire.

Ensuite, c'est la mêlée qui décide. Soit, le résultat n'est pas suffisant et les Français reculent. Soit, il y a une légère différence à l'avantage des Français, et ce sont les Anglais qui reculent.

Un dernier élément est à prendre en compte: les Anglais ont un bataillon à 20 figurines. Et si les pertes qu'ils subissent sont faibles, ça peut être un gros avantage dans le calcul du résultat d'une mêlée.

Tout ça, une fois encore, ce sont des supputations. Seul le calcul du test de charge permettra d'en savoir plus, et j'attends le retour de Vivian pour y voir plus clair.

Par contre, la cavalerie française, avec le feu qu'elle va prendre plein pot de face ET de flanc (ce qui fait un total de 20 figurines) n'a aucune chance.

Quant à la maison occupée par du léger anglais disposé en tirailleurs, et chargée par un seul bataillon français disposant de deux soutiens, il y a peu de probabilités qu'elle soit prise. Il aurait en effet fallu la charger avec deux bataillons. Et encore !

Là non plus, les calculs n'ont pas été faits. C'est la glorieuse incertitude de la baston. Ca fait plusieurs jours que je m'en ronge les ongles d'anguoisse. Hi, hi, hi...

 

LE VIEUX COUP DE L'ATTAQUE DE FLANC (2)

Et le V se referme Les cuirassiers face aux Life Guards, avc des dragons légers de flanc L'avance française dans le début de V anglais

Et le V se referme
Et le V se referme 

Le pieux Frère Lafumée, qui n'est autre que le redoutable général JP Unjourjelaurailevieux , et son oeil d'aigle, ont vite réagi à mes explications stratégiques.( Lire son  commentaire dans l'avant-dernier article précédent).

J'allai y venir justement.

Les Français de Vivian ont effectivement obliqué pour répartir leurs forces. Mais sans parvenir , compte tenu de la distance, à parer totalement l'arrivée de l'angliche sur leur flanc.

Quant aux cuirs. qui faisaient face à des Life Guards accompagnés d'un général, ils se sont, eux aussi, retrouvés avec une unités de Dragons légers sur leur flanc (c'était espéré, recherché et voulu). Moralité : repli sans formation.

Y a bon Banania !

 

LES JAGER PRENNENT DES COULEURS

Les mêmes, en train de se fringuer dans le magasin d'habillement Mes Prussiens n'avaient pas encore de tirailleurs. Voilà qui est fait

Les mêmes, en train de se fringuer dans le magasin d'habillement
Les mêmes, en train de se fringuer dans le magasin d'habillement 

Petit intermède au récit de la bataille béarnaise.

Les compagnies de Jäger (chasseurs) volontaires , qui portaient le nom de "Friewilligen Jäger" commençent à être peintes avec leurs couleurs de base.

L'uniforme est vert sombre. Contrairement à l'infanterie de ligne, les sangles des équipements ne sont pas banches mais noires.

Le col et les manches sont de la couleur du régiment. Ici, le 7e, donc rouge.

Pour la couleur du pantalon, qui n'a pas été facile à réaliser (un mélange de vert, jaune et blanc), je me suis inspiré d'un dessin figurant dans un bouquin en anglais jadis acheté dans une boutique à Waterloo : "Uniformes of Waterloo" par  Jack Cassin-Scott et Michael Chappell et Philip Haythornthwaite (non, il n'éternue pas, c'est son nom),

 

LE VIEUX COUP DE LA PRISE DE FLANC

Les Français attaquent. L'Anglais commence à pivoter sur une aile. Tandis que les dragons légers embusqués chargent de flanc les "cuirs" A l'aile droite, la charge des dragons va être arrêtée au feu Pendant que l'artillerie godonne continue à pilonner l'assaillant

Les Français attaquent. L'Anglais commence à pivoter sur une aile.
Les Français attaquent. L'Anglais commence à pivoter sur une aile. 

L'armée anglaise n'est pas toujours facile à manier. Contrairement aux Français, ses bataillons - du moins dans notre règle - ne connaissent pas la colonne d'attaque, et ne combattent essentiellement qu'en ligne simple ou double (et en carré, bien sur).

Ce dispositf prend de la place ,en largeur. Tant et si bien qu'il est fréquent qu'un bataillon britannique en ligne se fasse attaquer par deux (voire trois) bataillons français. Un duel dans lequel, malgré l'efficacité de son feu, qui sera forcément partagé entre les assaillants, il n'a pas toujours l'avantage.

L'idée, lorsque l'on manoeuvre les Anglais, est donc de mettre côte à côte leurs bataillons, pour forcer les Français à répartir leurs efforts. Mais aussi, dans la mesure du possible de toujours garder sur les ailes un bataillon qui pourra pivoter et présenter ainsi une menace sur le flanc du Français qui charge.

Soit pour diminuer l'impact de sa charge par un feu meurtrier, soit pour lui infliger un malus (ennemi face au flanc à moins de 10 centimètres), soit pour carrément le charger ensuite de flanc.

Autant que faire se peut il importe par ailleurs de soutenir les bataillons chargés , plutôt avec des escadrons de cavalerie légère, qui prennent en largeur trois ou quatre fois moins de place qu'un bataillon d'infanterie en ligne.

Une dernière technique, très éprouvée, consiste enfin  à proposer aux Français d'aller boire une bonne chope de bière tiède dans le troquet le plus proche. Ce qui a, très souvent, pour effet immédiat de les faire partir en déroute.

Surtout si les cornichons qui servent d'amuse-gueule sont accompagnés de l'horripilante  et sempiternelle sauce à la menthe. Dans mon hangar, j'en ai des plein pots. Ca s'est souvent révélé très utile.

 

ET A L'AILE DROITE, CA CRAINT

Le général Vivian de Labelleoasis en plein turbin La masse des assaillants est impressionnante. Ca va pas durer. L'artillerie anglaise se met en batterie Les Anglais et les Ecossais se préparent à recevoir l'assaut Pendant que les hussards KGL passent entre leurs bataillons

Le général Vivian de Labelleoasis en plein turbin
Le général Vivian de Labelleoasis en plein turbin 

Bon, retour à la baston après quelques jours passés à bosser comme un dératé.

A l'aile droite française, commandée par le vaillant Vivian de Labelloasis, la pression de l'infanterie s'accentue face aux Anglais et aux Ecossais, que cela n'empêche pas pour autant de déguster leur thé à l'oignon autour d'une succulente panse de brebis farcie à la crème de marron et à l'incontournable sauce à la menthe.

Le récit, en photos toujours.

Beeeuuurp ! Oh pardon ! J'ai roté.

 

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