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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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LA BATAILLE, DANS LE DETAIL

La masse des troupes françaises Tumeveumevla et Unjourjelaurailevieu x s'avouent leur passion A l'arrière de la ferme, les renforts arrivent De plus en plus de renforts. Ici, les Hanovriens. C'est pas rien. lL'aile gauche anglaise, et la cavalerie de la garde

La masse des troupes françaises
La masse des troupes françaises 

Une forte pluie, surprenante dans un pays aussi sec que le Béarn, a provoqué une mini-inondation chez moi ce matin. J'ai donc du remettre à plus tard la rédaction l'extraordinaire et fantasmagorique histoire du frère Lafumée, célèbre dans toute la Belgique depuis un fameux jour de juin 1815.

En attendant, quelques autres photos de la bataille livrée autour de Hougoumont. On ne s'en lasse pas.

Bon, c'est pas tout ça, faut que je retourne à ma serpillère...

 

A LA BAIONNETTE !

Les Français abordent les murs sud de la ferme Et ils le font en masse, en sortant du bois . Impressionnant Grosse différence par rapport à 1815 : ils ont amené un canon. Aie ! Les anglo-alliés se préparent à subir le choc dans le verger Ils s'avancent aussi vers le jardin, pour soutenir la première ligne

Les Français abordent les murs sud de la ferme
Les Français abordent les murs sud de la ferme 

Voici les photos des premiers assauts livrés par les Français contre la ferme de Hougoumont.

Une reconstitution qui a parfois illustré  la  relative difficulté de concilier le réalisme historique et l'application d'une règle de wargame, aussi fine soit-elle. Car, pour venir  soutenir leurs éléments situés à l'avant-garde, les Anglais  (qui n'avançaient en ligne que de 16 centimètres par tour, 20 en colonne, et encore, en terrain clair !) avaient à effectuer dix tours de jeu. Ce qui est énorme. Qui plus est, leurs tirs de salve ne portaient pas aussi loin qu'ils l'avaient fait dans la réalité.

Par contre, le feu mis aux bâtiments de la ferme par les différents obusiers français , ainsi que la stratégie employée (à peu de choses près) par les généraux franchouillards ont bien respecté la réalité des combats livrés en 1815.

Cela dit, on le sait, le wargame est aussi affaire de compromis. L'essentiel pour les membres de notre groupe (qui restent attachés à la règle "Vive l'empereur") étant de rester, malgré tout, le plus réaliste possible. Sans avoir a subir les aberrations ludiques et finalement  peu historiques d'autres règles (style DB) jouables certes rapidement, mais parfois très, très surprenantes dans les mouvements. Je n'ai en effet jamais oublié la "charge en rond" que m'a un jour imposé un adversaire. Même à 178 ans, sur mon lit d'agonie, quand je pousserai mes dernières figurines d'une main, en flattant la croupe de mon infirmière de l'autre, je crois que j'en parlerai encore.

Par ailleurs, nous avons eu le plaisir de jouer sur un super (et gros) décor, avec des figurines sympas. Ce qui démontre que le 25 millimètres, après avoir connu une certaine désaffection sur les tables de jeux, a de beaux jours devant lui. Si tant est qu'il faille d'ailleurs le défendre.

Mais, mais, mais...je vois que je suis en train de prendre un ton  de vieux  grognard rabacheur.

 Donc, moralité : chacun joue à ce qu'il veut. L'essentiel, c'est qu'il prenne son pied. Et qu'une ch'tite bière fraiche puisse être bue à la fin de la partie entre poteaux. Ou bien  un tonneau de rouge mis en perce... C'est pas mal non plus.

On l'a d'ailleurs testé le week-end dernier à Carbon-Blanc autour d'un barbecue allumé par le maréchal Didier de Tumendiradesnouvelles, et entretenu par le flamboyant  Unjourjelaurailevieux. Un général devenu  expert dans la manière de bouter le feu aux endroits les plus sensibles d'un champ de bataille. Un sadique, quoi.

Après avoir effectué plusieurs vérifications, je suis d'ailleurs à peu près certain que c'est un de ses ancètres qui a brûlé Jeanne d'Arc. Une éleveuse de moutons qui termina sa carrière en méchoui et dont les dernières paroles résonnent encore à nos oreilles : "Vous ne m'avez pas crue, vous m'aurez cuite".

Bientôt : "L'extraordinaire histoire du frère Lafumée"

 

HOUGOUMONT, VU DE L'INTERIEUR

Comme en 1815
Comme en 1815 

Photo sympa prise samedi par Fred, qui s'est introduit à l'intérieur de la ferme de Hougoumont pour saisir un bataillon de la Garde anglaise en train de manoeuvrer.

Double ration de ratafia, pour Fredo-oeil-de-lynx.

 

WATERLOO, EN FORMAT GEANT

Une bande de joyeux lurons sous les encouragements du public Anglais et troupes de Nassau derrière le verger infernal Le champ de bataille, avant la baston La garde anglaise derrière les murs crénelés. Le premier assaut français

Une bande de joyeux lurons sous les encouragements du public
Une bande de joyeux lurons sous les encouragements du public 

Redoutable bataille que celle qui s'est livrée samedi à Carbon-Blanc autour de la ferme de Hougoumont, l'un des points majeurs de la bataille de Waterloo.

Cette affaire là,  ou de tonitruants généraux s'étripèrent  avec énergie, vit les Anglais faire face à la furia française, les batteries d'obusiers cracher le feu (et le mettre) sur la ferme-forteresse,  un verger se transformer en guinguette démoniaque, et le bordeaux couler à la mi-temps.

Un prélude à l'incroyable journée du dimanche qui, elle aussi, fut admirable en rebondissements et vit - chose rare - une voix hypnotisante et pacifique s'élever sur un ton doucereux au coeur de champ de bataille pour stopper net toute une brigade française, en lui demandant poliment de cesser de combattre dans les bois où celle-ci s'était aventurée.

Subjuguée, celle-ci s'arrêta, déposa les armes , se mit à pleurer d'émotion, puis  à chanter des psaumes à la gloire de  Sainte Rita, avocate des causes désespérées. Extraordinaire... Mais, on en reparlera.

 

LE REPAIRE DU BEARNAIS ENFIN DEVOILE

La caserne secrète du vampire, et ses impitoyables hordes de tueurs
La caserne secrète du vampire, et ses impitoyables hordes de tueurs 

Exclusif ! Après avoir traversé les champs de mines, sauté sur quelques unes d'entre elles, cisaillé les barbelés, déjoué la vigilance des radars, échappé aux batteries anti-missiles, et trompé la vigilance des gardes, nos équipes de reporters ont enfin réussi à prendre ce cliché volé danns le repaire du vampire du Béarn, Sir Jack le sanguinolent.

Toutes ses armées y étaient rangées comme à la parade. Prêtes à bondir sur les insconscients qui viennent les chatouiller sur une table. Et promptes à pousser leur fameux cri de guerre, intraduisible en langue d'oil : "Niiiiiiaaarrrrrk !"

Ce qui, à la louche, en gros , à la limite et d'une manière générale, peut être compris comme : "Pauv' couillon, qu'est-ce t'as ta ? J'vais ratatiner l'occiput, banane". Un principe qu'elles vont d'ailleurs mettre en pratique pas plus tard que demain matin, à Carbon Blanc.

Gare à vos os, les mecs. Ca va morfler.

 

 

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