Le mortier chenillé Karl et son char chargeur, qui servaient de cible

Encore un titre qui risque d'affoler les ch'tarbés de la zigounette qui semblent pulluler sur blogit.

 Mais désolé les mecs, ici, tout ce qu'on offre c'est du plomb.

La suite des photos de la méga baston de blindés de l'autre samedi.

Le M 10 Achilles à l'affut, au débouché d'une colline

Le Maus , un super char de 188 tonnes armé d'un canon de 128 mm, bien plus costaud que le Tigre II, fut imaginé à partir de 1942 mais ne combattit pas pendant la guerre. Bien que la rumeur (et Wikipedia) dise qu'il aurait été utilisé en 1945 pendant la bataille de Berlin.

Pourquoi cependant se priver de mettre un monstre sur la table ?  

 Un Maus piloté en douceur par le redoutable Friedrich von Vienzydoncpauvretache, a donc décidé l'autre samedi d'aller conter fleurette aux Amerloques.

Pendant que les Tigres de l'impitoyable  Philip von Pauzemoidoncçalà  se chargeaient de découper fin, fin, fin en tranches, puis de passer à la moulinette leurs homologues US commandés par le général Cédric of Blindédechezblindé, le Maus de Friedrich baguenaudait gentiment, en tirant doucettement un gentillet obus de 128 mm destiné à trouer de part en part, là un Sherman, ici un halftrack... La routine, quoi.

Insouciant, le monstre teuton, affectueusement surnommé Mickey par son propriétaire qui a le sens de l'humour et une connaissance encyclopédique de l'oeuvre de Walt Disney,  folatrait. Sans songer qu'il s'approchait bien près, trop près, d'un M 10 Achilles s'apprêtant à fondre sur cette grosse proie dodue, telle la vérole sur le bas clergé.

Le M10 était équipé d'un canon "spécial chignole pour blindage teuton" forgé avec amour dans les ateliers secrets (et béarnais) de Sir Jack . Le jour tombait. Le temps pressait. Le char US s'avanca avec gourmandise. Une ch'tite pression sur la détente, un jet de dé judicieux, et le Maus partit en fumée au paradis des souris bavaroises.

Pauvre bête.

Le Maus : la grosse bébête de Friedrich. Un morceau de choix

Quelques autres photos de la méga-baston blindée.

Le combat fut rude.  Installés comme des lézards au soleil sur des hauteurs de fond de table, les Allemands laissèrent en effet le soin aux buveurs de thé et de whisky de s'occuper des préliminaires offensifs.

Devinez ce qu'il advint.

Z'avez déjà vu un lézard sans queue ?

L'abominable Friedrich et ses armes secretes : Maus et mortier géant

Nom d'une saucisse frite ! Cette bataille là fut acharnée.

Pas moins de 79 blindés de tous poils se sont affrontés ce samedi, toute la journée à Carbon Blanc.

Avec d'un côté, les Tigres teutons et autres joyeusetés de gros calibre commandés par le féroce Friedrich von Vienzydoncpauvretache secondé par le fourbe et  cruel Philip von Pauzemoidoncçalà.

 Et de l'autre,  vagues d'assaut anglo-américaines habilement drivées  par  l'impitoyable Sir Jack, le vampire des gaves, associé pour l'occasion à un nouveau venu : le  jeune mais farouche Cédric of Blindédechezblindé, digne descendant d'un héros  de la 2e DB ( 2 e Division béarnaise).

Un de ces quatre, c'est à dire dans pas longtemps, j'm'en vais vous raconter tout ça. En toute bonne foi, cela va de soi. Vous m'avez déjà vu exagérer quoi que ce soit ?

T'as déjà regardé un canon dans les yeux ? Ben voilà, c'est fait.

En lisant les derniers messages envoyés sur ce blog, je sentais le célèbre général Sébastien de Tumeveumevla, l'un de mes adversaires acharnés, quelque peu perplexe sur la stratégie qu'employeront début juin les troupes françaises pour attaquer la ferme de Hougoumont.

Voici une nouvelle qui devrait le rasséréner. Je viens en effet de terminer une batterie d'obusiers qui, comme cela avait été le cas en juin 1815, prendra place dans une prairie située à côté du bois. Avec pour mission d'incendier les bâtiments de la ferme.

Les habitués de la règle "Vive l'empereur" connaissent le principe : sur un 6 au dé, le bâtiment commence à prendre feu. Et au tour suivant, le feu s'étend. Ce qui oblige ses occupants à évacuer les lieux. Piteusement, cela va de soi.

Cela dit, j'suis tranquille. Tumeveumevla, il fait que des 1...