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WELLINGTON AND CO
Hill, Wellington et Picton. Ca fout les jetonnes, nonn ? |
Ceux là, ils ont tellement combattu que je suis en train de leur redonner un ch'ti coup de peinture.
Les généraux anglais Hill , Wellington et Picton s'apprêtent à livrer d'autres batailles.
Pour l'anecdote, j'ai appris dans un bouquin consacré au général Piré , un ancien chouan qui commandait la cavalerie légère à l'aile gauche de l'armée française à Waterloo, que Wellington avait hérité d'un surnom en Espagne.
Les Français l'appelaient "Vilain jeton". Véridique.
Début juin, à Carbon Blanc, ce jeton là va leur faire rentrer leur humour dans la gorge. Damned it !
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AU COEUR DE WATERLOO
L'ensemble vu du nord-ouest, côté anglais |
La ferme de Hougoumont finit d'être peinte. La voici, avec le mur qui ceinturait le jardin, et quelques d'arbres pour figurer le verger qui la complètera.
Il reste bien sur un tas de détails à caler: travailler la teinte diversifiée des briques de pas mal de murs, peaufiner des détails etc...Mais l'essentiel est là.
Un rappel, ces maquettes en résines conçues pour du wargame 25 mm sont de la marque anglaise Hovels miniatures.
Je sens que la reconstitution organisée les 7 et 8 juin à Carbon Blanc, vraisemblablement sur une table en L ou en T de 5 m de long et sans doute de 3 à 4 m de large (faut que je calcule tout cela), va avoir de la gueule.
Pour le reste, quand ils joueront cette partie, les assaillants français vont avoir du boulot.
Un conseil, plutôt que des canons, mieux vaudra utiliser les mortiers et faire 6 au dé pour bouter le feu aux bâtiments.
C'est d'ailleurs ce qu'avait décidé Napoléon en 1815. Sans les dés.
LEGER COMME UN DRAGON
Ces dragons là n'ont pas d'ailes, mais ils pètent quand même le feu |
Wellington n'avait qu'une confiance relative dans sa cavalerie. En estimant qu'une fois lancée, celle-ci ne s'arrêtait plus. Bref, de là à penser que les cavaliers anglais étaient un peu bourrins, il n'y a pas loin.
La cavalerie légère anglaise, dont vous avez ici un magnifique exemplaire (figurines Wargames Foundry) sous vos yeux ébahis, comprenait 15 régiments de dragons légers et 4 régiments de hussards.
Ceux représentés ici sont du 7e dragon léger. Sauf si quelqu'un peut me démontrer le contraire.
Car , je l'avoue (mais j'assume), mes sources en matière d'uniformologie de la cavalerie utilisée par les buveurs de bière tiède sont encore maigres. Mais ma soif de savoir, elle, est énorme.
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AUPRES DE MA BLONDE
Une pièce de 12 espagnole. Les boulets vont plus vite que les boeufs |
Voilà encore un titre d'article qui va attirer sur ce blog quelques affolés de la zigounette. Car les chtarbés de la ch'tiote biloute, ceux qui aiment bien "saquer d'din" ne semblent pas manquer sur ce site hébergeur.
Désolé les mecs, pas de bas résille aujourd'hui. Rien que de la grosse bouse. Car je parle ici des Blondes d'Aquitaine qui tiraient les pièces d'artillerie espagnoles en 1814, quand nos voisins sont venus nous rendre visite à coups de boulets dans le sud-ouest.
Si l'infanterie et la cavalerie espagnoles, qui combattaient aux côtés des Anglais, avaient encore des progrès à faire en matière de stratégie, il était reconnu à l'époque que leur artillerie se tenait plutôt bien au feu.
Par contre, elle était lente, très lente et parfois tirée par des boeufs. Je ne parle pas de l'habitude lubrique prise par des bouviers un peu cons pendant les temps de pause. Je parle des boeufs qui tractaient les pièces. Faut pas confondre.
Quant aux figurines, ce sont en fait des Autrichiens traficotés. C'est bien connu, l'Ostrogoth, ça s'accomode à toutes les sauces. Même avec des tapas.
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DU COTE DE PORTO
Vue la manière dont ils se regardent, ils ont du avoir des mots |
Dès qu'il y a un Espagnol quelque part, il y a forcément un Portugais pas loin.
Après l'invasion de leur pays par les Français, les Portugais ont soit combattu dans les rangs des Français, soit se sont exilés pour rejoindre les Anglais. Ce qui a notamment donné naissance à la Loyal lusitanian legion, une unité d'infanterie légère qui a donné bien du fil à retordre aux soldats de Napoléon.
Ces deux officiers là, combattaient aux côtés des Anglais. L'un est en cape, comme Wellington, l'autre porte la barretina, le shako à la forme spécifique de l'infanterie portugaise.
Les Portugais ont combattu jusqu'en 1814 en France , sur le siège de Bayonne, pendant la bataille d'Orthez et sous les murs de Toulouse . Des troupes solides.
Et habiles... rien que l'odeur de la morue qui mijotait dans les marmites à l'heure de la pause faisait battre l'ennemi en retraite.
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Ben dommage que je fête l'anniversaire de mon P'tit Jérome ce jour là mais ce n'est que partie remise ( le week-end suivant en Naval Pirates !
promis les francais jouront avec une main dans le dos et des boulets de 2 lives.meme pas peur
a+ seb