jjnapo
CONCILIABULES, CH'TITE BOUFFE ET KARAOKE
Le haut état-major en plein débat |
Une fois que la fumée de la bataille est dissipée, rien de tel que de voir les morts se relever et les belligérants discuter le bout de gras autour d'un bon gueuleton.
C'est le moment idéal pour tenir une réunion secrète d'état-major, discuter des points de règle qui nous enquiquinent, et de leur apporter une solution. Mais aussi de rigoler encore un bon coup.
Ce soir là, ça s'est même terminé par un karaoké organisé dans une auberge affriolante de la région paloise tenue par ce vieux briscard de Vivian. Voir le maréchal Jean Passetdesmeilleures, ainsi que les généraux Unjourjelaurailevieux, Jaiduruskof et Tumeveumevla brailler à tue tête le "Alexandrie, Alexandra" de Claude François devant une paire de micros fut un spectacle aussi rare qu'effrayant.
MON POTEAU , ALONSO
Quand Alonso ricane, l'ennemi tremble |
Merci à ceux qui m'ont envoyé des messages pour la table deWaterloo, ainsi qu'aux membres du club Histoire et légendes et aux autres qui m'ont dit l'avoir appréciée samedi. Ca fait plaisir. Car c'était, mine de rien, un gros boulot.
Une question m'a également été posée par le vaillant JPA sur le crane qui apparait régulièrement sur les photos de nos parties. Il s'agit en fait du fantôme du célèbre général Alonso Soupaloignon y Crouton, qui a combattu les Français en Espagne, et dont j'avais déjà parlé il y a bien longtemps.
Ce brave Alonso prend un malin plaisir à apparaitre au coeur du champ de bataille, là où ça chauffe. Parce qu'ils sont comme ça, les Espagnols. La chaleur, ils adorent.
LES INVENTEURS FOUS DE WATERLOO
Le même ch'ti bout des quatre mètres de décor |
La lutte fut féroce et impitoyable. Et, comme d'hab, "les Français ont en pris plein les roustons" (comme dirait Roustan).
Dans leur grand désespoir, les troupes tricolores se sont donc mis à inventer les techniques stratégiques les plus folles pour essayer de sortir le pied du piège gluant et sentant fortement la bière tiède dans lequel ils avaient mis le pied.
Parmi ce florilège de manoeuvres hors normes, on notera en partculier :
1) Le fiévreux recours à des régiments de cavaliers complètement sourdingues qui continuent à charger comme des bourrins en faisant semblant de ne pas entendre le boucan provoqué par les centaines de sabots et les dizaines de trompettes de troupes ennemies qui les chargent en même temps de dos et de flanc.
2) La remarquable invention du professeur Sébastien Folamour, cousin par alliance du général Tumeveumevla. Après avoir effectué un stage de trois mois en Amazonie chez les indiens Jivaros, celui-ci est en effet parvenu à adapter aux carrés anglais la redoutable technique des réducteurs de tête. Ce qui lui a permis de donner naissance au carré de six, plus facile à charger en raison de sa taille de gnome. Devant tant de persévérance et d'imagination, JJ, la racaille du Béarn , a décidé d'ériger une statue du génial inventeur à l'entrée du château de Pau, avec cette inscription : "Au bon docteur Seb, le jivaro de la Gironde, les napoléoniens reconnaissants... et diminués".
WATERLOO, REVU ET CORRIGE
Sébastien, Xavier, JJ avant la bagarre générale |
Un ch'ti problème d'informatique (saloperie de nouvelle version d'anti-virus Kaspersky ! ) m'a empêché d'avoir accès à internet ces derniers jours.
C'est règlé (adieu Kaspersky !) et voilà donc le compte rendu en images de la bataille de Waterloo disputée samedi dernier au château de Pau devant les foules ébahies et muettes d'émotion.
Désolé je suis un peu souvent sur les premier clichés. Mais les photos ont été prises par ma compagne. C'est ça, l'amour.
Lire les commentaires textes
des grands malades je vous dis, il faut les éliminer sinon c'est notre survie qui en depend