L'artillerie française en action, avec un général accolé

Allez ! Encore une ch'tite rafale de photos napos.

Histoire de changer des clichés de Carla et de j'chaipuki.

Les russo-teutons s'interrogent. Ach ! Guel merdier !

La suite des photos de la bataille qui opposa une horde pustuleuse de prusso-russo-brunswicko-austrichiens aux braves troupes françaises, samedi, dans une riante banlieue bordelaise.

Les alliés n'ont pas gagné. Mais qu'importe. La bataille fut belle. Quant à la boutanche apportée ce jour là par le fier général Xavier Jaiduruskof, elle était fameuse. Presque aussi jouissif qu'une prise de flanc. 

Le champ de bataille vu de l'Ouest

Avant de travailler le relief (collage des plaques, mise en peinture), la deuxième étape de la réalisation de la partie de Waterloo représentant l'attaque de la Haye Sainte et une partie de son flanc Est consiste à placer les figurines pour évaluer l'emplacement des différentes unités.

Cela permet notamment de rectifier certains points de décor et de bien en positionner d'autres. Car, la table ayant forcément une profondeur limité ce genre d'exercice est, comme je l'indiquais, également  fait de compromis.

Bien sur, ceux qui connaissent bien la bataille, verront un tas de défauts dans la disposition présentée ici . Par exemple le manque de courbure dans la disposition des troupes anglo-alliées à l'est de la Haye Sainte etc...

Mais, encore une fois, il s'agit de donner au public une idée des grandes lignes de la bataille. Donc, on fait des choix, ou bien on aligne des troupes de 6 mm de haut.

Pour ma part, je préfère le 25 mm. Car, comme j'ai pu le constater lors de diverses expositions, le public y est beaucoup plus sensible.

Sur les photos présentées ici, on voit les troupes anglaises et alliées disposées sur une ligne allant des unités de Brunswick et Nassau jusqu'à la cavalerie légère anglaise et anglo-hanovrienne. On apercoit aussi un bout de la ferme de Papelotte.

Dans le tas, pour faire masse, parce que je manque de figurines, et en attendant les renforts que me fourniront les copains le Jour J, j'ai mis quelques bataillons portugais. Mais l'idée générale, c'est ça.

L'étape suivante est la réalisation du chemin creux derrière lequel se trouvaient les Anglais et qui a causé tant de soucis aux Français  (un vrai chemin creux. Ceux qui ont déjà visité le champ de bataille savent de quoi je parle). La constitution du décor en superposition de plaques sera ici très utile.

Bref : affaire à suivre.

Les illustrissimes généraux Tumeveumevla et Jaiduruskof

Un dessin vaut mieux que le plus long des discours disait, parait-il, ce brave Napoléon. Un gaillard qui, soit dit en passant, n'hésitait pas à mettre cette formule en pratique avec les dames.

Sans même utiliser de crayon pour leur faire découvrir ses... "desseins". Quel talent !  Quel  stratège !  

Le pauvre garçon ne connaissait cependant pas encore l'usage de l'appareil photo. JJNAPO, si.

Autant donc vous en faire profiter pour découvrir quelques clichés de la bataille qui a mis aux prises samedi dernier quelques chtarbés du soldat de plomb. Atteints de saturnisme depuis longtemps. Et qui en redemandent...

Le célèbre général Jaitoujourspaseulevi eux dans ses oeuvres

Bientôt, sur ce blog. Le récit épique et grandiloquent de la bataille du roi Ratatouille qui vit les adeptes fous du napo réinventer avec brio la technique du "j'te rentre dans le lard, surtout dis pas merci", jouèrent au dé les parts d'une galette, firent prisonnier tout vif un bataillon d'ostrogoths, burent un p'tit coup, serrèrent la paluche à m'sieur le maire de Carbon Blanc qui proposa du coup à Friedrich von Vienzydoncpauvretache de devenir son directeur de campagne en prévision de deux batailles qu'il livrera les 9 et 16 mars , et virent ressurgir le fantôme d'Alonso là où personne ne s'attendait à le voir apparaître. Rien que du plaisir, quoi.