L'ensemble de la ferme-forteresse

Voilà, c'est fini, ou presque. Le corps central de bâtiment de la Haye Sainte a vu le jour. Il faudra y ajouter un verger au sud, ainsi qu'une petite maison et un mur, qui abrite un jardin, au nord, dans le prolongement de l'entrée principale.

Les premiers occupants sur les photos sont, bien sur, les légers KGL.

La maquette que vous voyez ici fait en gros 50 centimètres sur 35 centimètres..

Pour le reste, y a plus qu'à attaquer.

La vue d'ensemble

Que faire pendant un dimanche pluvieux ? Se tranformer en peintre en bâtiment, pardi !

La ferme de la Haye Sainte continue à prendre corps.

Et maintenant, la bouffe ! Ma  compagne va revenir du boulot. Un axoa de veau va sortir de mes doigts graciles.

J'vous jure, ça sera autre chose que les kartoffeln pourries des KGL de Baring.

Regardez bien ! Les KGL sont planqués dans le frigo

En Belgique, elle est presque aussi connnue que le Manneken Piss.

La maison du fermier de la Haye Sainte, premier élément de l'ensemble réalisé en résine par la marque Hovels pour des figurines de 25 mm, vient d'être peinte dans l'atelier secret de JJNAPO. D'autres bâtiments suivront.

Pour mémoire, pour les ignorants, et pour l'édification des peuples ébahis, la ferme de la Haye Sainte se situait au centre de la bataille de Waterloo qui eut lieu en juin 1815.

Elle fut défendue avec acharnement par le bataillon du major Baring, de la King's German Legion. Celui-ci se composait de Hanovriens alliés aux Anglais.

Les Français finirent par prendre la ferme d'assaut, mais non sans mal.

La suite, tout le monde la connait. Les deux camps belligérants ne déposèrent pas les armes , et ne terminèrent pas la bataille en s'attablant  autour d'une bonne Gueuze Lambic.

Ils auraient mieux fait...

On sait d'où ça part. On ne sait jamais où ça tombe

Dans le sud-ouest de la France, peu de joueurs "napo" apprécient de se retrouver face aux redoutables fusées à la Congrève de l'armée anglaise.

Ces engins explosifs qui furent utilisés à Waterloo portent le nom de leur inventeur : le colonel Sir William Congrève.

Transportées par les cavaliers du Rocket Corps, ces fusées avaient une portée d'environ 2000 mètres. Elles étaient de calibres différents : 3,6, 9, 12,18 et 24 !

Leur particularité : elles partaient n'importe où, selon une trajectoire complètement imprévisible. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles elles ne connurent pas un avenir brillant, et furent vite remisées au placard.

Par contre, sur les tables de jeu, elles sont impitoyables. Leur trajectoire de 3 x 40 cm est déterminée par trois jets de dé (1,2 tout droit ; 3,4 à gauche ; 5,6 à droite), et elle a déjà coûté la vie à une kyrielle de généraux adverses.

Parce qu'elles sont comme ça, les fusées de JJ, elles ne s'orientent quasiment qu'à l'épaulette.  

Pour une fois que ce sont  les gros qui trinquent...

Un espagnol, lourd et gros, mais les tapas servies à bord sont super

Dans le plus grand des secrets, une flotte napoléonienne se préparerait dans les chantiers navals du Béarn (il y a bien une marine suisse, alors pourquoi pas des chantiers navals en Béarn ?) .

Quelques vaisseaux de haut bord, ainsi que des cotres, des sloops et l'on en passe, tous armés jusqu'aux dents, seraient en cours de préparation au sein du club palois Histoire et légendes qui , contrairement au bruit qui court, ne joue pas qu'à DBA. Si, si.

En tout cas, des marins allumés (et avinés, comme de coutume) y veillent. En songeant à s'offrir comme petit cadeau de Noël quelques maquettes de l'excellentissime marque Langton miniatures.

Affaire à suivre. Avec d'autant plus d'intérêt que, comme le disait l'amiral Nelson, les vaisseaux de sa gracieuse majesté ne sont pas commandés par des manchots.