Le côté nord , tourné vers les lignes anglaises et alliées

Quelques photos de la maquette en résine de la Haye-Sainte réalisée par la marque anglaise Hovels pour des figurines à l'échelle 25 mm. 

Cette ferme , que l'on peut toujours voir  au sud de Bruxelles, constitua l'un des points forts de la bataille de Waterloo . Elle fut le lieu de combats acharnés entre les troupes hanovriennes de la King German Legion, qui la défendaient, et les assaillants français.

Maintenant, il ne reste plus qu'à la peindre.

Faire et refaire c'est toujours mieux que de ne rien faire.

La bataille de Waterloo va bientôt se rejouer pour la xième fois - mais en grand format c'est à dire en 25 mm et  sur une table de quelques mètres de long, en novembre prochain lors du salon Stratéjeux qui va se dérouler à Floirac.

 Une affaire à suivre avec d'autant plus de plaisir que je dois recevoir demain, entre mes gros doigts gourds, le décor - toujours en  25 mm - de la ferme de la Haye Sainte fabriqué par l'excellente marque anglaise de maquettes en résine Hovels.

Hip, hip, hip, hourra !

Le général français tente de cacher ses manoeuvres honteuses

Certains généraux français emploient de basses manoeuvres pour essayer de contrer l'armée anglaise qui s'avance vers eux.

C'est notamment le cas de Fredéric de Vienzydoncpauvretache qui, pour essayer de masquer sa tactique sournoise, a tenté de se cacher samedi derrière une plaque de polistirène.

MALHEUREUSEMENT POUR LUI, NOTRE PHOTOGRAPHE ETAIT LA !

Les dragons légers anglais, en fourrageurs, vont escagasser l'ennemi

La bataille livrée autour de la ferme hantée par le fantôme d'Alonso (voir article précédent) fut terrible. Lancée contre la brigade espagnole qui occupait  la ferme, la cavalerie lourde française tomba sur un os , ou plutot sur une corne de taureau, et dut plier bagage.

Au centre la lutte fut acharnée et marquée par bien des rebondissements (charge d'une batterie par la cavalerie KGL, qui dut replier grace à l'intervention inopinée des dragons de l'impératrice, avancée audacieuse mais imprudente d'une brigade française dans une nasse portugaise).

Et à l'aile gauche française, forte pression anglo-brunswickoise qui - grace notamment à l'efficacité des redoutables rifles britanniques -  aurait  vite porté ses fruits si la tombée de la nuit (et l'approche de la finale de la coupe du monde de rugby à la télé) n'avait pas contraint les belligérants à plier bagage.

Bref, en un mot comme en cent, le général français JP de Unjourjelaurailevieux (le vieux, c'est JJ), changera de nom un autre jour. Hi, hi, hi...

Le fantome d'Alonso observe un général français disposant ses troupes

Les Français sont-ils superstitieux ? C'est la question que se sont posé samedi les troupes anglo-hispano-portugaises commandées par JJ lors d'une sanglante bataille qui les a opposé samedi à une armée française commandée par les généraux Jean-Pierre Unjourjelauraile vieux et Frederic de Vienzydoncpauvretache.

Misant sur la peur que les soldats de Napoléon ont des revenants, une brigade anglo-espagnole a pris position autour d'une ferme hantée. Le fantôme du célèbre général Alonso Soupaloignon y crouton y traine, parait-il, ses chaines chaque nuit.

Sur ce cliché, à la nuit tombante, on l'aperçoit d'ailleurs très nettement.

La tactique a réussi. Car les Français ne sont pas parvenus à prendre la ferme.

Merci Alonso. Pour la peine, tu nous filera ton linceuil. On le fera laver par une cantinière. Parce que franchement, il commence à sentir le gaspacho pas frais.