Les cavaliers à la tête de mort en pleine charge

La revue de détail des troupes brunswickoises se poursuit. Avec, cette fois-ci, les célèbres hussards noirs dont le shako était décoré d'une tête de mort. Bonjour l'ambiance

Ce régiment a combattu aux côtés des Anglais sur la côte Est de l'Espagne dans l'armée de Sir John Murray.

En 1815, on le retrouvera  en Belgique, à Waterloo. Toujours aussi déterminé apparemment, comme en témoigne - à l'arrière plan sur la photo - le sabre tordu de l'un des cavaliers.

 Sans doute l'a-t-il plié sur le crane d'un Français trop obtu, qui refusait de se rendre. Il y a décidemment des gens qui ne veulent jamais rien comprendre.

Un qui joue du tambour, l'autre qui tire. Les Brunswickois au turbin

Toujours des nouvelles des Brunswickois. Les mêmes forcenés  teutons, mais à pied cette fois-ci.

Il s'agit du Leib bataillon, qui est composé d'infanterie légère, et que l'on reconnait à son plumet sur la tête.

A découvrir bientôt : les Hussards de la mort.  tout aussi Brunswickois. Tout aussi noirs. Tout aussi farouches.

La pièce est peinte en bleu pale. Chez les Français, c'est vert.

Chez les "napo", les Blacks ce ne sont pas les Néo-zélandais, mais les Brunswickois. C'est comme ça. Y a rien à y faire.

En 1807, le duché de Brunswick fut dissous, et son duc - le sémillant Frédéric Guillaume - pris ses cliques, ses claques et s'enfuit en Autriche. Pas glorieux. Mais , là aussi, y a rien à y faire.

Comme le gaillard était rancunier,après avoir avalé quelques cafés  viennois, il décida de lever en 1809 un corps d'armée pour combattre les Français . Il y a des gens comme ça. Il leur faut toujours plus de temps que d'autres pour percuter.

Mais , après tout, le duché de Brunswick n'est-il pas aussi réputé pour ses boeufs ?

Toujours est-il que les Brunswickois choisirent des uniformes noirs pour marquer le deuil de leur duché perdu.

Ils se battirent en Espagne à partir de 1810, puis en Belgique (aux Quatre Bras où Frédo de Mesdeux,  oh pardon, monsieur le duc, eut la maladresse de se faire tuer) , et enfin  à Waterloo.

 Une bataille où, comme le montre aussi leur uniforme, ils avaient toujours d'aussi  noirs desseins.

Voilà quelques clichés d'une pièce d'artillerie brunswickoise de 6 livres en train de monter au front (Figurines Perry Miniatures).

Pourquoi le faire sur un calendrier ? me demanderez vous.

Pardi, c'est parce qu'ils sont en train de remonter le temps!

Les Français (Seb, Michel, Xavier, Fred) cernent Gaetan, allié de JJ

Contrairement à une absurde rumeur qui court depuis samedi soir, ce ne sont pas les Français qui ont perdu contre l'Angleterre en ce fatidique jour du 13 octobre, mais bien l'inverse.

JJNAPO, votre blog favori, vous en apporte la démonstration en exclusivité et en photos.

Car figurez vous qu'avant "LE" match, une autre rencontre s'est déroulée ce jour là entre les deux camps, à Carbon Blanc (à suivre)

Les félons Sébastien de Tumeveumevla et Michel du Cahos de Quercy

Le combat opposait les troupes anglaises, portugaises et espagnoles commandées par JJ et le général Gaetan Pisjegagneraiuneautrefois ; ainsi que les Français dirigés plus ou moins habilement par un quarteron de généraux félons , borgnes et psychologiquement perturbés.

J'ai nommé Sébastien Tumeveumevla; Michel du Cahos de Quercy : Xavier Jaichangélesrukofspourdugaulois ; et Frédéric de Vienzydoncpauvretache.

Bref, la honte de l'armée napoléonienne. Mais que voulez vous ? On fait souvent avec ce que l'on a (à suivre).