Franckie ,en pleine guerre, d'Espagne invente les tapas au chouchen

Un nouveau venu sur les champs de bataille de carton-plume.

Après avoir rejoint les rangs de l'excellentissime club palois "Histoire et légendes", Franck, tout frais arrivé de Bretagne,a fait la découverte en Béarn des figurines en 25 mm à l'occasion d'une bataille style guerre d'Espagne  disputée à Gelos.

Il se défend, le bougre.

Allez ! Hop ! On le nomme général, avec le sabre, les épaulettes et tout le tintouin.

Reste à lui trouver un trouver un surnom.

S'il joue prussien, promis, juré, ce sera Franckenstein.

Dépêche-toi, Marcel. Y'a les Espagnols qui arrivent

Enfin la réponse à une question que se posaient tous les soldats de Napoléon quand ils guerroyaient en Espagne !

Que voit une cantinière quand elle se fait trombiner par le commandant de compagnie, dans les champs de blé,  au moment où l'assaut est donné par les troupes espagnoles ?

Réponse sur notre cliché : elle en voit de toutes les couleurs.

L'infanterie légère espagnole (figurines Front Rank)

Entre 1808 et 1814, les Portugais et les Espagnols, alliés aux Anglais commandés par celui qui n'est pas encore le duc de Wellington (il le deviendra après Waterloo), combattent les Français pour les repousser peu à peu de la péninsule ibérique qui a eté envahie par les troupes napoléoniennes.

Voici quelques photos des figurines que nous utilisons pour retracer ces affrontements.

Pub et avis aux amateurs !

Ces gens là sont très sympas et font plein de choses.

LES LANCIERS DE LA GARONNE,  club installé dans la banlieue bordelaise, ont un blog qui mérite le détour. Du warhammer à Flame of war et à de multiples autres jeux, .la liste est impressionnante et les figurines fort bien peintes.

Leur blog : http://leslanciersdelagaronne.artblog.fr

Napoléon, dans la redoutable épreuve des tirs au but

Comme en témoigne cette statue installée à l'entrée du Parc des Princes, Napoléon adorait le football .

Il songeait d'ailleurs à créer un club à l'ile d'Elbe, avant qu'un contrat mirobolant lui soit proposé par l'équipe belge de Waterloo.

Fasciné par l'appat du gain, l'Empereur s'était précipité en Belgique avec son armée.

Mais comme il n'avait pas accusé réception du SMS que lui avait envoyé le président du club, il s'était fait prendre la place par un avant-centre anglais. Un certain Wellington, si ma mémoire est bonne.

Un gars redoutable. Ses tirs, c'étaient des vrais boulets de canon.

Allez savoir pourquoi, peu de livres d'Histoire rapportent cette anecdote.

Voilà pourtant comment s'effondrent les carrières, et les empires.