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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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MAITRE VIVIAN LANCE SON BLOG

Le général Vivian (à gauche), aux côté de Thomas le Palois
Le général Vivian (à gauche), aux côté de Thomas le Palois 

J'ai déjà eu l'occasion de le dire .Sa phrase préférée lorsqu'il ratatine un adversaire avec son petit sourire apitoyé, c'est : "Ca fait mal?". Parce qu'il est comme ça, ce gaillard : toujours poli, un brin sadique. Hé,hé, hé.

Le fameux général Vivian de Labelleoasis, un adversaire coriace, vient de se jeter à l'eau : il a créé son blog !

 Celui-ci a pour nom Vivinapo. Il lui fournira l'occasion de présenter de sacrées belles figurines, peintes sous les doigts experts d'un autre Béarnais de talent : Richard, le Monet de la figurine.

Illico, je m'empresse d'inscrire ce nouveau venu sur la liste de mes blogs favoris. Longue vie, Vivi !

 

REBELOTE

Moins nombreux que leurs adversaires, les Français font front L'une des façons de protéger une batterie, tout  en restant offensif Les lanciers rouges vont entrer dans la danse Tandis qu'à côté de nous, les footeux refont la coupe du monde Saperlipopette ! Y a même du napo 6 millimètres. Salut collègues !

Moins nombreux que leurs adversaires, les Français font front
Moins nombreux que leurs adversaires, les Français font front 

Plus y a de photos, mieux ont se sent. La suite du samedi infernal.

 

COMME SI ON Y ETAIT

L'artillerie à cheval de Brunswick. Donnerwetter ! Qui dit Prussiens, dit Ulhans Les artilleurs à cheval français en plein boulot Il a dit quoi, le patron ? On charge ? OK, alors, on charge. Les renforts de cavalerie arrivent par la route. Tranquiiilles

L'artillerie à cheval de Brunswick. Donnerwetter !
L'artillerie à cheval de Brunswick. Donnerwetter ! 

Milliardded'chiu. 22 heures ! C'est pas une heure pour rentrer du boulot. Néanmoins, cependant et toutefois, voici quelques clichés inédits de la dernière baston. Histoire de revenir aux choses sérieuses.

 

ELLE EST MOINS COURTE, MAIS ELLE EST AUSSI BONNE

A droite, les carrés ferment la nasse L'assaut de la colline. Chaud devant Au centre, quatre bataillons. Ce sera un carré d'as. L'aile gauche française. La batterie a joué efficacement son rôle Les  cuirassiers Teutons vont manger chaud. Pauv' bêtes !

A droite, les carrés ferment la nasse
A droite, les carrés ferment la nasse 

Au napo, une baston en cache toujours une autre.

L'autre samedi, après la tannée du matin, tout le monde en redemandait. On a donc relancé les dés pour savoir qui jouerait quoi. Et c'est là que tout s'est corsé, comme dirait le ch'ti père Bonaparte.

Fredo les biscotos s'est retrouvé allié au Monstre des vergers à la tête des Prussiens  tandis que ma pomme atterrissait aux côtés de Lafumée aux commandes des Français.

Même décor, mais armées changées de côté. Le suspens était insoutenable. On n'avait plus aucun ongle à ronger. Mais, comme au cours de la matinée, ça n'a pas trainé non plus. Hi,hi, hi.

- A l'aile gauche française, les cuirassiers et les dragons déployés en ligne de chaque côté d'une batterie, ont enseigné à leurs courageux  homologues ostrogoths commandés par un vaillant Fredo l'art subtil d'avaler tout cru des boulets chauffés à blanc. Tandis que deux carrés d'infanterie leur inculquaient celui, non moins délicat, de serrer les dents sous une pluie de balles.

- Au centre, quatre bataillons tricolores sont allés rosser fort lâchement, des Pruskos deux fois moins nombreux qu'eux . Tandis qu'un régiment de hussards passait au milieu des Teutons qu'avaient oublié de boucher tous les trous d'un remarquable dispositif en forme de passoire.

- A l'aile droite, une colline investie par les ch'ti gars du Sud-Ouest et une batterie d'artillerie aussi teigneuse qu'un clébard accroché aux mollets d'une contractuelle, sont allés conter fleurette à des Teutons occupés à finir leur choucroute au beurre rance.

Bref, les plats furent servis brulants et l'addition présentée sans tarder. Ach, la guerreuh , grosse malheure !

 

ELLE EST COURTE MAIS ELLE EST BONNE

Mordladedans et Lafumée s'apprêtent à réciter leur oraison funèbre Les Lanciers rouges entament leur procession. Ca va pas durer Les Ulhans ostrogoths ont reniflé l'odeur du sang .Lechoc entre cuirs et dragons. Titanesque Lanciers rouges et Teutons en pleine discussion théologique

Mordladedans et Lafumée s'apprêtent à réciter leur oraison funèbre
Mordladedans et Lafumée s'apprêtent à réciter leur oraison funèbre 

Sur la route, même les radars étaient gelés.

En ce glacial matin de décembre, l'armée française investit en force Carbon Blanc, riante bourgade de la banlieue bordelaise, connue pour les sanglantes bastons qu'une bande de fous furieux venus des quatre coins du sud-ouest s'y livrent à intervales réguliers.

L'heure est grave. Des hordes ostrogothes (et pustuleuses, faut bien le reconnaitre)  viennent de prendre position sur une table. La patrie, nos vignobles, leurs sillons et nos kils de rouge sont en danger. Il faut réagir , hildepute ! 

 Du côté tricolore, un sadique de la pire espère, l'atroce général Frédéric, alias le maréchal "Mordladedans", et son acolyte,  l'impitoyable Monseigneur JP de Lafumée, prélat des Gaules, entament une vibrante Marseillaise en alignant leurs troupes sur la table.

En face,  deux aimables plaisantins venus des lointaines plaines teutonnes leur font face : l'insoutenable Michel, plus connu sous le triste pseudonyme de Monstre des vergers, et mézigues,  le vampire du Béarn pour ces dames et quelques intimes. 

Comme convenu, on s'est fixé dans chaque camp un objectif secret, tiré au sort par une main innocente (ca a d'ailleurs drôlement été difficile d'en trouver une, de main innocente, dans notre groupe de pervers polymorphes et galonnés).

L'objectif, c'est soit le 1er et le 2e tiers du côté adverse, soit les 2e et 3e tiers. L'ennemi ignorant, bien sur, tout de nos intentions.

On répartit les troupes en conséquence en écrivant nos vicieuses stratégies sur un morceau de papier gras. On pose les figs. Et v'la t'y pas qu'on se retrouve face à face.

"Peste, diantre, palsembleu, fichtre et fouchtra" s'exclame Mordladedans qui a à la fois des ascendances nobles et auvergnates.  "Enfer, damnation et fornication !" gémit Lafumée, en se signant à plusieurs reprises. "Miam, miam, miam ! " se délecte le Monstre des vergers, qui n'aime rien tant que la chair fraiche. "Ho,ho,ho...Hi,hi,hi...hin,hin,hin" ricane-je derrière mes chicots pointus.

Car ce qui va suivre ne fera pas un pli.

- A l'aile droite française, les cuirs, les dragons et les hussards  tombent nez à nez avec les cuirs et dragons prussiens qui n'ont pas de cuirasse, mais ont un meilleur moral qu'eux et qui, en prime, s'offrent une ch'tite prise de flanc. Bim, bam, boum, la messe est dite.

- Au centre, les mêmes Français, un peu dégarnis en troupes, se retrouvent avec un solide coin d'infanterie prussienne enfoncé à un endroit que la décence et la Congrégation girondine des grenouilles de bénitiers m'interdisent de nommer. Là non plus, comme à la grand'messe de 11 heures, ca rigole pas beaucoup.

- A l'aile gauche française, enfin, les Lanciers rouges de Lafumée, qui ont entamé une procession en psalmodiant des hymnes à la gloire de Sainte Rita, avocate des causes désespérées, voient avec horreur et stupéfaction cette sublime cérémonie se heurter aux sabres et aux baïonnettes d'une brigade ostrogothe commandée par le monstrueux Michel du Cahos de Moissac.

Crac, boum, hue ! comme dirait  Dutronc. Le choc est effroyable. Rouges de honte, les Lanciers s'emmêlent les shakos, posent l'ostensoir et reprennent , dépités, le chemin du monastère.

Michounet et ma pomme, on a le triomphe modeste, vous pensez bien.

On fait trois fois le tour de la table sur les mains en hurlant "Ein proooosit ! Ein proosiiit" . On débouche quelques bouteilles de schnaps avec un rire hystérique. Et on finit par se tomber dans les bras en sanglotant d'émotion.

Midi n'a pas encore sonné. Un voile pudique tombe sur le champ de bataille. Moins de deux heures pour une baston. Le record est battu, ou presque.

Cela dit, la roue va tourner. Une autre emoignade est vite décidée. Et des qui rigolaient le matin vont pleurer l'après midi. Non mais !

A suivre...

 

 

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