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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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CASTAGNE CHEZ LES PARAS

Les Amerloques vont encore donner de la bombinette
Les Amerloques vont encore donner de la bombinette 

Un max de boulot en ce moment, m'empêche d'inonder ce blog de mes délires habituels. Ce qui n'empêche pas les bastons de se suivre sans forcément se ressembler. La prochaine à venir aura lieu dimanche. Elle se déroulera dans le musée de l'Ecole des troupes aéroportées de Pau, dans le cadre des journées du patrimoine.

La règle sera Blitzkrieg, l'époque 2e guerre mondiale , et l'adversaire l'infâme et sanglant Loïc du Biniou, le roi de la cornemuse. Comme d'hab, je viendrai avec mes dés pipés. Je sais que ça l'énerve. Hi, hi, hi.

 

COMMENT J'AI TUE NAPOLEON

L'artillerie russe en action La , je me castagne contre les Turcs. Faut s'en méfier de ces gars là Bennigsen et son état major L'infanterie russe avance. Le plus impressionnant, c'est le son Ma cavalerie charge. Une vraie boucherie. Mais faut ce qui faut

L'artillerie russe en action
L'artillerie russe en action 

En ce moment, je lâche un peu les figs pour me plonger avec délectation - et parfois avec fascination - dans le jeu pour PC "Napoléon Total War".

Avant l'achat (55€ pour la version améliorée, tout de même), j'étais un peu réticent. Mais là, je suis séduit. Les images sont très réalistes tant en combats terrestres que navals . En plus, on peut zoomer de très près pour voir par exemple des artilleurs charger leurs pièces, un bataillon avancer (avec bruits de pas, ordres et roulement de tambour). Impressionnant et très sympa.

Ce jeu, plus élaboré que d'autres versions de Total wars que j'avais déjà exploré (Shogun et Médiéval) est un jeu de stratégie qui amène le joueur à gérer un empire , tant du côté français que de celui des alliés (en ce moment, je teste les Russes).

Ce qui revient à dire qu'il faut mettre un max de pognon de côté en développant diverses technologies (agriculture, industrie etc...) avant de foncer comme un gros bourrin avec ses armées sur les petits copains.

On gère aussi des espions qui foutent le zouk chez l'adversaire, ou qui  le trucident avec délectation, quand ils ne se font pas pendre et écorcher vif. On négocie des accords diplomatiques , quitte à se faire menacer du fouet (véridique) si on n'offre pas de pots de vin assez grassouillets aux Prussiens. Bref, on rigole bien.

Quant aux batailles, elles sont intéressantes (l'artillerie  y joue un rôle important). Même si la stratégie la plus efficace contre l'ordinateur consiste à envoyer sa cavalerie sur le flanc des piments d'en face. Je suppose que dans la version multi-joueurs sur internet, ça doit être plus coton.

Hier, il m'est  arrivé, avec ce brave général Bennigsen,  qui était allé cueillir des champignons vénéneux aux portes de Vienne, de trucider comme cela le ch'ti père Napo avec ma cavalerie. Incroyab'. Et ca n'a même pas foutu le moral en l'air à ses généraux.  Mais c'est un jeu, hein ?

Après, les puristes pourront toujours critiquer : le décor de Waterloo par exemple est, disons, ésotérique. Et le portrait de Napoléon qui se met à causer en ouverture du jeu ressemble plus à celui d'un psychopathe que d'un va-t-en-guerre. Mais on rigole bien quand même. Ce qui est l'essentiel.

Euuuh, pour finir,  je précise que le jeu Napoléon Total War n'a aucun lien avec une célèbre entreprise pétrolière.

 

 

LE SADIQUE, L'ARTISTE ET LA FIGURINE

Les grenadiers peints par Richard. Des Perry en plastique En plus, Richard, c'est un gars très sympa

Les grenadiers peints par Richard. Des Perry en plastique
Les grenadiers peints par Richard. Des Perry en plastique 

Le cruel général Vivian de Labelleoasis a eu un ancètre qui était employé comme garde-chiourme, jadis, sur les galères du roi (Le "rey" comme on dit en Béarn). Ca lui a laissé quelques traces.

De temps à autre, sous la menace du fouet et du chat à neuf queues, il oblige en effet un malheureux à lui peindre quelques figurines. Ce pauvre bougre s'appelle Richard et fait partie du club Histoire et légendes à Pau. Il est vrai qu'il possède un joli coup de pinceau.

Voici les grenadiers de la vieille garde qu'il a réalisé pour l'autre sadique. Bravo, Richard. Et honte à toi, effroyable et sanglant Vivian .

 

L'OSTROGOTH MET LA PRESSION

Les lanciers rouges trépassent. Leurs copains les vengeront C'est beau, un ennemi qui tourne les talons. Oh ! Que c'est beau ! Au centre, le bois (on a enlevé les arbres) saute Les Ulhans font passer un mauvais quart d'heure aux chasseurs à cheval A l'aile droite, le rouleau compresseur autrichien

Les lanciers rouges trépassent. Leurs copains les vengeront
Les lanciers rouges trépassent. Leurs copains les vengeront 

Allez ! Disons le tout net, ça n'a pas été aussi simple que ça. Si la baston de samedi s'est terminée sur un avantage autrichien, le bras de fer a été sévère .

A l'aile gauche, les Ostrogoths qui avaient décidé de verrouiller leur flanc en s'appuyant sur une maison (à laquelle les Français ont d'ailleurs mis le feu, ah les sales bêtes !), ont repoussé avec hargne les assauts de la cavalerie commandée par Tumeveumevla qui avait un peu confoindu vitesse et précipitation, et lancé ses sabreurs au combat  sans attendre le soutien de son infanterie.

Résultat : les Autrichiens ont souffert (deux régiments de cavalerie perdus : un Ulhan et un Cuirassier), mais ils ont tenu bon, tout en écorniflant au passage  leurs adversaires (2 régiments de chasseurs à cheval mis en retraite et en repli, ainsi qu un régiment de lanciers rouges  vieille garde passé à la moulinette).

La situation restait indécise dans un camp comme dans l'autre. Mais, côté autrichien, l'essentiel était assuré. 

Au centre, le bois dans lequel les Français étaient allés ramasser des champignons a vite été déserté devant l'assaut de trois bataillons autrichiens furibards et appréciant, eux aussi, les fricassées de  cèpes au jurançon.

 Un combat qui, soit dit en passant, a permis aux doctes professeur de beignes et castagne de l'UIPB (Université impériale paloise de la baston ) d'étudier les stratégies complexes , c'est à dire vicelardes,  qu'offre la traversée d'un bois par une route.

A l'aile droite enfin, une grosse masse teutonne a fait faire demi-tour à toute la cavalerie lourde française, avant de passer au tamis un bataillon d'infanterie légère occupé à taper la belote dans une maison close, et à faire peser une sérieuse menace sur un aile gauche française aussi rachitique et faisandée qu'une cuisse de poulet vendue dans le Leclerc de Mazères-Lezons.

Bref, l'Ostrogoth - en bon amateur de bière - a mis la pression. Prosit !

 

ACH ! LA GUERRE , GROSSE MALHEUREUH !

La masse autrichienne, au premier plan, s'en va croquer du Français Ca a des casques jaune, c'est hongrois  ,et ça catasgne Et je vous parle pas des généraux : des bêtes fauves  ivres de sang La masse ostrogothe, dans les starting-blocks Helmut, Fritz, Gerrardt, Hans et leurs potes. Une vision effrayante

La masse autrichienne, au premier plan, s'en va croquer du Français
La masse autrichienne, au premier plan, s'en va croquer du Français 

Franchement , quand on voit la détresse dans laquelle sont plongés certains de nos adversaires malheureux, il y a des jours où l'on préfèrerait carrément  s'arracher un bras plutôt que d'avoir à crier victoire à l'issue d'une bataille.

Si ça ce trouve, au moment où j'écris  ces quelques  lignes, la gorge serrée de compassion  le brave (mais un peu sourdingue, fait bien le reconnaitre) général Sébastien de Tumeveumevla  est en train d'essayer désespérement de se faire hara kiri avec une saucisse molle .  Tandis que son acolyte, l'atroce et d'habitude sanguinolant Didier van Blue Swede shoes se cogne frénétiquement la tête contre un pin des Landes en répétant d'une voix haletante : "Pourquoi moi , mon Dieu ? Pourquoi moi ? Oui, pourquoi a-t-il fallu que je tombe sur des monstres pareils ? Gasp and hildepute ! "

Les monstres en question, aujourd'hui, c'était ma pomme et le baron des gaves, j'ai nommé Vivian de Labelleoasis de Quoijememêlevilmanant, infâme descendant d'une famille de nobliaux tarbais qui , jadis, firent tourner en bourrique du Guesclin en s'alliant aux odieux godons qui occupaient le sud-ouest (véridique, les pinailleurs et les casse-bonbons peuvent vérifier).

Par le plus grand des hasards, nous nous sommes retrouvés à la tête d'une armée autrichienne qui s'est fait un plaisir d'apprendre aux Français l'art de cuire correctement le grenadier et le voltigeur napoléonien à la plancha.

Ah ! La belle grillade que celle là ! Cela dit en toute objectivité, cela va de soi, vous me connaissez.

Voici les premières photos de nos héroïques troupes.

 

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