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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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CRUEL DILEMNE

Les figs US 1812 de Wargames Foundry. Des reliques. V'la mes futurs Hanovriens Un uniforme anglais, un net accent allemand. Des fourbes, quoi

Les figs US 1812 de Wargames Foundry. Des reliques.
Les figs US 1812 de Wargames Foundry. Des reliques. 

Pour mon prochain bataillon, je dois peindre de la ligne hanovrienne 1815 (il me faudra aussi de la milice par la suite).

Je dispose pour cela de vieilles figs Wargames, mais il s'agit d'Américains 1812 que je comptais recycler.

Réflexion faite, je les offrirais plutôt à l'infâme Yapudo pour son petit Noël. Il se fera une joie d'appliquer une couche de bleu ricain sur les tuniques rouges de ces ostrogo-godons.

Par contre j'utiliserai  une vingtaine de figs en plastique des frères Perry qui me restent sur les bras.

Les Hanovriens, c'est pas sorcier à peindre. Ce sont des uniformes anglais. A la différence près que , ceux là, sentent fortement la choucroute.

 

CA SENT LA FIN

The 69th Plastic Infantry Corps of Perry Y en a vingt. C'est rouge. C'est solide et ça tire juste La face nord Pour dessiner les numéros sur les sacs, ça a été coton L'officier et le sous-off, fiers comme des bars-tabacs

The 69th Plastic Infantry Corps of Perry
The 69th Plastic Infantry Corps of Perry 

Il n'y a plus que quelques menus détails, comme les yeux, à réaliser avec une ch'tite pointe de noir. 

 Mais je peux d'ores et déjà annoncer à la face du monde ébahi que le 69e est en phase terminale. Comme l'autre jour la cavalerie de Tumeveumevla après sa charge contre les carrés de Lafumée. Hé,hé,hé.

Comme pour le reste, les socles ont été saupoudrés de terre de Waterloo. 

De la terre prise côté français, ça va de soi. Car , ainsi que le rappelle le sage Lao Tseu : "Quand t'as l'occasion de casser les burnes, grave, à l'adversaire, faut pas hésiter un instant mon pote".

 

 

BIBI QUI FRICOTE

Pris sur le vif, dans mon antre La commande TV, c'est pour écouter un débat avec F. Mitterrand

Pris sur le vif, dans mon antre
Pris sur le vif, dans mon antre 

J'ai eu du mal à y croire.

Mon ministre de l'intérieur, des affaires sociales , de la défense , de l'agriculture et de l'économie réunies- c'est à dire ma compagne   - a plutôt tendance à regarder d'habitude mon ordinateur, mes pinceaux et mes figs d'un oeil torve.

Surtout quand vient l'heure de crier : " A TAAAAAABLEUUUUUH ! ", ou bien  "T'AS SORTI LA POUBELLE ? " (attention, elle ne parle pas de mes collines) ou bien  "HE, JJ, T'AS NETTOYE LA SALADE ?" (re-attention, elle ne parle pas non plus de mes débats houleux avec des amateurs de wargames) ; ou bien encore "HO ! J'EXISTE ! " (là, c'est carrément signe de danger imminent, et de charge probable sabre au clair).  

Hé ben, tout à l'heure, prise d'une subite et incompréhensible crise de bonté, elle m'a proposé de me prendre en photo pendant que j'appliquais une ch'tite couche de "Elf flesh" et se "Scorched brown" sur des tronches et des sangles de buveurs de bière tiède.

"Comme ça, sur ton blog, ils verront comment tu peins" a-t-elle ajouté, doucereuse. Tout en jetant (comme d'hab) un oeil discret derrrière le bureau pour savoir où j'avais planqué ma boutanche de Chimay.

J'ai presque halluciné . J'ai accepté.  Mais depuis, je m'interroge. Car, je l'adore , mais le la connais. Et , comme stratège, elle se pose là, elle aussi.

 Porca miseria ! Tout à coup , j'ai des frissons. Qu'est-ce qu'elle va me demander d'acheter, demain matin ? Voyons, voyons : sa voiture est là, le frigo a l'air de marcher, la tapisserie est neuve, la vaisselle pas fêlée. Quoi , alors ?

Gasp ! Gargle ! Je vais encore passer une nuit blanche...

 

LE 69e SORT DE L'OMBRE

Les couleurs de base sont là. Maintenant, les détails et les ombres Le tambour devrait être sympa

Les couleurs de base sont là. Maintenant, les détails et les ombres
Les couleurs de base sont là. Maintenant, les détails et les ombres 

Et pendant ce temps, le 69e bataillon d'infanterie britannique continue à prendre des couleurs. Un tas de détails et les ombrages restent à réaliser. C'est long à peindre un bataillon godon.

 

HALTE AU SCANDALE DES COLLINES-POUBELLES ! (2)

La cavalerie française prend possession de la colline désertée Au centre, ca va chauffer Les ulhans prussiens s'en mêlent Tandis que l'infanterie ostrogothe bétonne La cavalerie anglaise se brise sur les carrés français de Lafumée

La cavalerie française prend possession de la colline désertée
La cavalerie française prend possession de la colline désertée 

"Hildepute ! J'y vois goutte "

Soulevé par l'haleine fétide d'un de mes camarades de jeu, un papier gras trainant parmi les immondices qui parsèment la table de jeu vient de se coller contre mes yeux glauques et injectés de sang.

Je l'enlève délicatement en le pinçant entre deux ongles noirs de crasse, puis  le fourre (c'est une façon de parler) dans l'une de mes poches déjà encombrée de mouchoirs guilleux et d'innombrables crottes de nez.

Ah ! C'est pas chez Matsouloulou, le Monsieur Propre des champs de bataille, qu'on verrait ça !

Dommage tout de même que l'Ane du Poitou soit trop occupé à astiquer un chardon, et ne puisse pas être présent parmi nous  pour découvrir le spectacle qui s'étale sous nos yeux horrifiés : toute une armée de prusso-brunswicko-godons massée entre villages et collines face aux vaillantes troupes françaises que Monseigneur Lafumée et Xavier, le Manchot du bassin d'Arcachon, et ma pomme (blète) avons l'honneur de commander.

Les pieds biens enfoncés dans la bouse gluante qui recouvre la toile de jeu, les Prussiens sont dirigés par ces deux malpropres que sont Michel du Cahos de Moissac et Dominique de Quelboisjemechauffe.

Tandis que l'innommable Didier Van Blue Swede Shoes leur prodigue des conseils vicelards , et que le vaillant Tumeveumevla se charge de faire avancer ces gros bourrins d'Anglais.

Génés par la crasse omniprésente qui retarde leur avance, et la laideur des maisons qu'ils croisent (certaines sont l'oeuvre de Tumeveumevla, dont les oeuvres ont fait l'objet de la réprobation unanime des membres de l'Association internationale des archictectes et Gens de goût) , les Français commencent par commettre quelques erreurs :

- Ils envoient des tirailleurs folatrer devant leurs troupes. Ce qui place ces dernières sous la menace constante d'une charge de cavalerie, si les dits tirailleurs sont pris pour cibles par ces maudits cadors d'ostrogoths.

- Ils ne placent pas certains de leurs canons sur une hauteur. Ce qui va rapidement amener des paquets d'infanterie à boucher la vue des artilleurs, qui se pincent déjà le nez.

- Ils attaquent avec le gros de leur cavalerie une colline que l'ennemi... n'a nullement l'intention de posséder. On n'a pas l'air, cons, maintenant, tiens !

Malgré tout cela, et dans une atmosphère des plus nauséabondes, les Français :

- tiendront à l'aile droite, en voyant leurs carrés envoyer au diable (c'est à dire dans une brasserie de bière tiède) l'élite de la cavalerie anglaise.

- maintiendront l'ennemi , c'est à dire la redoutable infanterie britannique, à distance respectable au centre. Niark, niark, niark.

- feront reculer deux bataillons prussiens à l'aile gauche  sous les sabots rageurs (et malpropres) de leur cavalerie lourde.

Même si une belle réplique leur sera donnée par leurs alter-ego. En particulier un ch'ti nouveau, le commandant Dominique de Quelboisjemechauffe, promu illico général de brigade à la suite d'une habile contre-charge lancée par deux bataillons prussiens bien décidés à foutre (si je puis m'exprimer ainsi) le souk dans le centre français.

Fallait le souligner, nom d'une pute borgne ! Comme on le chuchote  dans les salons bien-pensants du Haut Poitou lorsqu'un éminent membre du clergé renverse malencontreusement sa tasse de thé sur la petite culotte d'une gamine dont il a repéré avec gourmandise l'air naïf.

Bref, ce fut chaud, tendu et sale. Comme la... Mais , stoppons-là ! Matsouloulou, le président honoraire de la Ligue de vertu du grand sud-ouest, va encore me reprocher mon humour de caserne.

Faut pas que tu te fasse choper un jour dans un claque, mon pote. Il y en a deux ou trois qui risqueraient de se gausser.  

 

 

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