Ducahos (à droite), à l'époque de sa splendeur

On le lui avait pourtant bien dit. C'est dangereux de sortir le soir sans son dentier.

A force de hanter les vergers du Tarn et Garonne pendant les nuits de pleine lune, le féroce général Michel du Cahos de Moissac, alias "le monstre des poiriers", a fini par connaitre ce qui lui pendait au nez : il s'est fait mordre par un loup garou à un endroit que la décence, les bonnes moeurs (et sa femme) m'empêchent de nommer.

Hospitalisé, ce satrape git désormais sur son lit de douleur en poussant des hululements pitoyables.

Allez, Ducahos, mon pote ! On te souhaite un prompt rétablissement. T'as encore des tas d'aversaires à dépecer avec la hargne sadique qui caractérise tes attaques vicieuses et impitoyables.

Et reviens nous vite. Aooooooouuuuuuuuh !

Les hussards

Un bouquin, que je n'avais pas encore présenté, figure aussi dans ma bibliothèque napo : il est consacré à la guerre de 1870, avec des reproductions de tableaux et dessins d'Alphonse de Neuville.

Très sympa. En voici quelques exemples. 

Sacré Alphonse ! Sacré coup de crayon !

Et les hussards en ricanent déjà de plaisir.

Un fort accent allemand va résonner autour de la mage table napo qui se prépare pour la fin mars à Carbon Blanc. Les  Goths, les Ostrogoths et même les Wisigoths vont y débouler tout de go avec leurs terribles armées teutonnes.

Ca sentira l'acre Prussien, l'horrible Autrichien, l'odieux Bavarois et le Brunswickois déluré. Sans parler des ch'ti gars de Nassau qui déverseront leurs balles à pleins seaux.

Bref, un gros sandwich sbézialeuh zauzizze de Frangvorde que je vais proposer aux illuminés qui participeront à cette journée de castagne outre-rhinesque.

Déjà, j'ai ouï-dire que le pieux mais néaonmoins féroce Lafumée, l'archevêque maudit de Gujan-Mestras pourrait être de la partie, tout comme le sadique général Sébastien de Tumeveumevla, l'Attila des tables de jeux (j'espère que t'as relu la règle sur les pivots et les artilleurs, mon pote. Hi, hi, hi...).

Ach ! La guerre Grosseuh malheureuh. Mais je la zens bien zelle là !

Un blog, ca va, ca vient. Je suis absent à nouveau en ce moment, occupé à bosser sur le salon de l'agriculture. Y avait longtemps que j'avais pas asséné de tape vigoureuse sur le cul d'une vache. 

On mord la cartouche. On met la poudre. On arme. On tire. Simplissime.

Une cinquième figurine a rejoint le 27e Inniskilling.

La prochaine à venir aura une posture différente : un pékin chopé dans la rue par une patrouille de police armée jusqu'aux dents, qui tient son flingot en plastique d'une main, et qui fouille fébrilement avec l'autre main dans l'une de ses poches à la recherche de ses papiers d'identité. En espérant échapper à la garde à vue qui est devenue d'une des joies du régime impérial.

Comme quoi, on n'a rien inventé.