jjnapo
UN TROPHEE CONQUIS DE HAUTE LUTTE
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| Le drapeau du Michigan, arraché sur une colline sanglante |
Mon régiment de hussards KGL, qui a fait reculer à deux reprises un carré américain , l'autre samedi, a aussi réussi, sur un habile coup de dés, à lui arracher en prime son drapeau. Celui des volontaires du Michigan.
Voici ce trophée, qui tronera désormais dans ma bibliothèque napoléonienne à côté d'un autre emblème , celui d'un escadron de dragons français, jadis arraché des mains sanglantes du vaillant général Yapudo.
Pour emporter le drapeau des Volontaires du Michigan, il me fallait faire moins de 30 avec deux dés 10. J'ai fait 15 ! C'est à dire, qu'en plus du fanion, mes KGL ont tiré tellement fort qu'ils ont aussi arraché les glaouis du porte-drapeau. Pauv' garçon. Il n'a plus qu'à se faire moine à l'heure qu'il est. Ou bien "oenuque d'honneur" dans le harem que le libidineux Yapudo entretient, parait-il, à grands frais sur les bords de la Garonne. 
Commentaires textes :
UN TRUC POUR LES COLLINES
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| Et la table de jeu prend une allure plus naturelle. |
On n'y avait pas pensé. C'est pourtant tout bête, et c'est Philippe (Yapudo) qui nous en a donné l'idée.
Plutôt que de placer nos collines sur la toile marron travaillée à la bombe à peinture que j'ai réalisée pour servir de terrain à nos tables de jeu, on les a mises EN DESSOUS.
Ca donne un bel effet et ça gomme l'imperfection des collines réalisées en polistirène. Qui plus est, les figurines tiennent bien mieuxc sur le tissu.
La seule chose à laquelle il faut faire attention, c'est de réaliser des collines avec des angles suffisamment nets si elles ont la forme de plateaux. Cela évite toute discussion sur la distance minimale (2 cm) à laquelle les unités doivent se tenir par rapport à la crète si elles veulent être vues, ou pas, de l'adversaire.
En cas de débat, on procède au palper. Et ca marche fort bien.
BLOOD, SWEAT AND TEARS
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| Ca a encore taillé dans le lard. Mais quelle rigolade ! |
Comme je suis un gros fainéant, j'ai mis le récit complet de la bataille "Couillonnade à Burger Hill" sur les forums des sites jeu d'histoire et l'estafette (voir liste ci contre, dans mes blogs favoris, rubrique Empire, article "Méga baston US contre Anglois" par Yapudo). Un récit épique, picaresque et totalement allumé. 
MIIIAAAAOOOOUUUUWWWW !
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| La scène du crime. Xavier, le trappeur US , s'inquiète déjà |
Comme je le présupposais hier, c'est bien le dernier cri qu'ont poussé tout à l'heure les soldats ricains 1815 de Yapudo avant d'avaler leur chewing-gum en même temps que leur bulletin de naissance. Et d'être transformés en pâtée pour chats.
Bloqués à l'aide droite, bloqués à l'aile gauche et percés au centre par les anglo-ibériques qui en rigolent encore, les cow-boys nous ont même laissé un drapeau . Une sacrée baston, à découvrir dans les jours qui viennent sur ce blog.
Mais dans l'immédiat : quelques photos d'abord. Custer et Little Big Horn, à côté, c'était de la roupie de sansonnet.
MIAM !
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| L'armée US après la bataille. Triste spectacle, n'est-ce pas ? |
Je ne voudrais pas m'avancer. Mais, selon toute vraisemblance, voici ce qu'il devrait rester samedi soir de l'armée américaine 1812 commandée par l'ignoble général Yapudo. Un peu de pâtée pour chat que je me propose d'ailleurs de vendre par paquets de 80 grammes à tous les amateurs de jeu d'Histoire qui seraient intéressés. 
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En fait le dé rouge indique les dizaines, et le dé blanc les unités.
Faire moine de 30 avec 2D10, il y a quelque chose que je comprends mal ?
un Lecteur régulier.
BANZAIIIIIIIIIIIIII............
CHARGEZZZZZZZZZ ZZZZZ...........
FUCK THE BRITISHHHHHHHHHHHHHHH !
L'aile gauche US a, elle aussi, exercé une forte pression sur les Anglo-espagnols, et il est vrai que la mort d'un général ricain a été compensée au centre par l'odieux meurtre d'un général de cavalerie anglais (oublié dans le CR, s'cusi).
Est-ce que les cow-boys seraient passés malgré tout sur leur aile gauche ? Là aussi, il aurait fallu poursuivre pour le savoir
Mais avec deux bataillons espagnols dans l'église (abri dur + 5, il faut donc du monde pour les déloger); un régiment de lanciers embusqués (garrochistas) que l'infanterie US ne pouvait pas charger, et des marines, certes élite mais déjà entamés par les tirs d'une pièce de 6 livres (sans compter la pièce de 12 espagnole qui se mettait de la partie, ni les dragons légers anglais qui les menaçaient sur leur flanc sans pouvoir être contrés par leurs homologue US trop décalée), je m'interroge.
La aussi, deux tours de plus auraient été instructifs.
Moralité : une revanche s'impose. Je suis partant.
Exact. L'aile droite US n'a pas démérité. Bien au contraire. Mais, du côté des Anglais, la tactique était la suivante : un bataillon concentre tous les feux adverses sur lui. Puis il , avance sur sa gauche en utilisant son angle de progression de 45 o alors que les Ricains ne sont pas encore à portée de charge.
Dans le même temps, l'autre bataillon anglais qui le suit se met en double ligne (formation + avance ordinaire) en s'écartant, lui, de 8 centimètres sur sa droite, toujours à 45 degrés. Ce qui éloigne forcément les deux troupes l'une de l'autre.
Pendant ce temps, les deux batteries anglaises continuent à pilonner le bataillon US, qui a déjà souffert.
Une fois que celui-ci se trouve à portée de charge (24 cm) du bataillon anglais affaibli, les Anglais mal en point déclarent un "sauve qui peut" (30 cm) en utilisant un nouvel angle de 45o.
L'américain rate sa charge, se retrouve sans formation, et subit cette fois-ci le feu de 3 batteries anglaises : les deux sur la colline, et celle à l'extrémité gauche anglaise. Avec en prime, un bataillon anglais "neuf" qui le menace sur son flanc gauche.
Dommage que l'on n'ait pas eu le temps de tester tout ça.
En effet, l'aile droite US n'a pas déméritée, la Gauche non plus d'ailleurs !
et un général Anglois abattu au centre.....,
IL Y A DE LA REVANCHE DANS L'AIR !!
Salut à tous les miséreux en guenilles!
Pour revenir à la baston commentée de main de maître, j'amenerai une légère rectification,l'aile droite n'a pas démérité bien au contraire!...Un pauvre bataillon anglais s'est tout de même retrouvé à la dérive! N'est-ce pas Sir Jack!
(Pour les non initiés, il s'agit du nom de scène de L'Igoble Vampire de l'Ossau!). Par contre, j'aurais aimé voir le faire part de décès de ce pauvre Général de Brigade anglais massacré par nôtre Héroîque Général Yapudo!....
Il mérite amplement son poids en Suchis !...
Vivement la prochaine régalade!
A plus, L'Ecorcheur de l'Oural. Et hop! Un petit verre de vodka!