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BASTON DANS LE BAYOU
Ma batterie rouge y sera . Olé ! |
L'armée anglo-espagnole 1812 qui va affronter à la fin du mois les troupes américaines dépenaillées de l'atroce général Y Frakass sont en train de s'entrainer dans la froidure béarnaise. En apprenant à marcher dans les marais, et à cuisiner des tapas à la queue de crocodile bouillie. Connaissant mon illustre adversaire, je pense que le terrain ne devrait pas manquer d'embuches. Mais, rassure-toi, Fracassounet, je ne referai pas les mêmes erreurs que la dernière fois. Hé,hé, hé.
LES DERS
Les mêmes. Les grenadiers ont le plumet rouge |
Les figs napo vues dans le noir de l'oeil et les dernières photos de Guillaume.
La prochaine fois, il pose son appareil, et je lui file une brigade. Juste pour tester.
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UN CRIME SORDIDE
Le drame ne dura qu'un instant. Notre photographe était là ! |
C'est bien connu, le soldat français est méfiant. JP, le célèbre "boucher toulousain", en a fait l'horrible expérience l'autre jour à Pau en croisant un officier du 3e Bataillon des chasseurs de montagne.
Notre camarade, intrigué par l'uniforme marron du susnommé, et se demandant s'il ne s'agissait pas là d'un avocat rayé du barreau pour quelque action illicite, s'approcha de lui, et essaya d'engager la conversation.
Ce qu'il fit en prononçant une formule bien de chez nous et d'une banalité à faire rougir une donzelle qui vient de s'acheter sa première sucette à l'anis : "Comment vas-tu... yau de poële ?"
Mal lui en prit. Car le mot de passe exigé ce jour-là par les factionnaires du 3e B.C.M auprès de tous les pékins qui se présentaient dans la cour du château était en fait :"Comment vas-tu... yau de pipe ? "
Persuadé qu'il avait affaire à un espion venu piquer en Béarn la recette de la garbure au foie de politicien confit dans la graisse de canard (ce n'est pas ce qui manque par chez nous), la sentinelle ne fit ni une ni deux et l'embrocha promptement. Avant de le faire rôtir dans la cheminée qui se trouvait derrière lui.
L'assassin galonné m'a par la suite fait goûter un bout d'aisselle de JP frit. C'est un peu faisandé. Mais, comme dit l'autre, "ça a du retour"
A LA POINTE DES BAIONNETTES
Un bataillon français. Faut pas les chatouiller. Sinon, ça défouraille |
C'est reparti pour un p'tit tour dans les photos de Guillaume. Une baston napo avec l'ennemi qu'on regarde dans le blanc des yeux. Moi, je l'avoue, quand je vois ça, je reste pas de plomb.
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Si ça marche, mais il faut nous aussi regarder la photo avec les lunettes 3D