jjnapo
LE NAPO VU PAR UN PRO (1)
Un bataillon français en manteau. Il pleut souvent en Béarn |
Guillaume, un copain reporter photographe, a flashé - dans tous les sens du terme - sur la table napo présentée l'autre jour dans la belle salle des Cent couverts du château de Pau .
Salle qui a accueilli le Parlement de Navarre à une époque où les dents de nos arrières grands-mères ne poussaient pas encore.
Voici quelques uns de ses magnifiques clichés.
Pour le remercier de ce beau geste, les Joyeux lurons du Napo en délire s'apprêtent à le décorer de l'Ordre de la Baïonnette en titane, avec plumes d'argent (à mettre où bon nous semble) et grand cordon impérial mordoré avec aigle d'or tenant dans ses serres les glaouis d'un rifle anglais. La totale, quoi.
Cette distinction lui sera remis par une pom-pom girl (en tenue) de ma connaissance, Frida-la-ravageuse, qui fit jadis les beaux soirs de plus d'un bivouac . Un sacré veinard, ce Guillaume.
ps : Désolé pour le retard mis à envoyer cet article. J'ai eu un très grosse journée aujourd'hui; J'ai aussi calculé un peu juste dans le dimensionnement des photos. Je vais rectifier dans les prochains articles.
Commentaires textes : Écrire
RETOUR SUR UNE CASTAGNE
Le trio infernal : Xavier, JJ, Vivian. Rien que des sadiques. |
On est aussi là pour se caresser les yeux, non ? Alors voilà d'autres photos de la baston de l'autre week-end.
Passé la méga-bagarre qui sera livrée fin janvier en Gironde face à une horde d'Amerloques dépenaillés commandés par l'infame maréchal y Frakass, on reviendra sans doute à d'autres affrontements du style "Front de l'est" en févier, comme la campagne de Russie en 1812.
Affaire à suivre. Les cosaques font déjà chauffer le bortch aux oreilles de grenadier napoléonien. Bien poivré, c'est excellent.
Commentaires textes : Écrire
AUX ARMES, TOVARITCHS !
Des chars, des canons,et des commissaires politiques pour les frileux |
Une bataille Blitzkrieg va se livrer samedi, dans un local de l'Ecole des troupes aéroportées de Pau. La vaillante armée rouge est déjà sur le pied de guerre, prête à défendre la mère patrie.
Tous les hésitants seront envoyés dans les geoles de la Loubianka, ou bien transformés en batons Miko dans nos camps rafraichissants et hyperventilés de Sibérie.
UNE BALLE ANGLAISE DANS LA POGNE
Laurent, le généreux donateur, c'est celui de droite |
A force de combattre les buveurs de bière tiède, fallait bien que je reçoive un jour une balle anglaise. Celle-là je l'ai prise dans la main. Mais tout va bien. Ca ne saigne pas. Car on me l'a donnée. Hé,hé,hé...
Il s'agit d'une vraie balle en plomb. De celles qui se ramassent, parait-il, encore à la pelle sur les collines qui ont servi de champ de bataille à Orthez en 1814. Quand le ch'ti père Soult a résisté vaillamment aux anglo-portugais du "vilain jeton".
Cette balle-là va troner en bonne place dans ma bibliothèque napo. Elle a été ramassée par Laurent, dont les parents possèdent un bois en Béarn, où l'on ne trouve pas que des champignons.
Laurent fait partie des reconstitueurs du 3e bataillon des chasseurs de montagne qui réunissait jadis des basco-béarnais sous les aigles. Cette unité fut dissoute au début de 1814 pour être répartie dans des régiments de ligne (116e et 25e ) et d'infanterie légère (28e) .
La balle pèse 21 grammes. Et, en la tenant dans la main, on comprend vite que le gars qui en chopait une, quelle que soit la partie du corps touchée, restait sur le carreau. Ca rigolait pas, les blessures, à l'époque. Si tant est que celles d'aujourd'hui rigolent aussi . Hummm
Les gens du 3e BCM - au demeurant des personnes fort sympathiques - m'ont invité à participer d'ici quelque temps aux manifestations anniversaires de la bataille d'Orthez. J'y serai , nom de d'là !
En attendant, deux d'entre eux sont intéressés par une initiation napo. Je sens qu'on va passer un bon moment. L'apéro est déjà mis à rafraichir.
Lire les commentaires textes
Obtenir les meilleurs prix
Mille excuses votre honneur...mais sans vouloir m'instaurer expert en navions, ou alors il est trop loin, mais les décos m'on pitête enduits d'horreur...j'ai un sturmovik (collection Del Crado) et la physionomie n'est pas celle-là...pour en revenir a ce brave sturm. l'était tellement blindé (comme les pilotes...) que c'est la raison pour laquelle il volait si bas :-)...n'empêche que les panzezrs :-(...Tu as lu la BD "le grand duc" ? géniale pour les combats aériens fon de guerre...bon j'ai été trop long !!
C'est pas un Yakovlev. C'est un chasseur-bombardier Sturmowik, au fuselage blindé sous le pilote. A Koursk; il volait en rase-motte à 20 mètres d'altitude pour éviter la flak allemande. Un petit malin, quoi.
JJ t'a oublié le Yak au fond !! :-)
C'est du 28 ?