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LE NAPO DANS LA PRESSE EBAHIE
Quatre colonnes en tête de page : fallait bien ça ! |
Qui dit napo, dit oreilles qui se dressent. Y compris chez les journalistes. Notre groupe de joyeux lurons a eu ce week-end les honneurs de Sud-Ouest-Dimanche
Une photo représentant la table consacrée à la bataille de la Nive et sur laquelle on reconnait les tonitruants généraux Lafumée, Belleosasis et Jaiduruskof est parue sur les départements des Pyrénées-Atlantiques et des Landes pour annoncer la deuxième journée de la convention organisée au château de Pau. Ce qui, vous en conviendrez, est bien plus rock and roll et fascinant que les cours de la Bourse.
Selon la tradition, les photographiés paieront leur coup à boire aux autres.
Pour moi, c'est une Chimay bleue. Merci les poteaux !
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UN DIMANCHE EN PLEINE BASTON
Les Français au turbin : viser, tirer, ricaner, viser, tirer, ricaner |
Quand y en a plus y en a encore.
Voici d'autres photos de la seconde journée organisée au château de Pau par le club Histoire et légende, avec cette fois-ci une table noyée sous la lumière des spots .
Car la prestigieuse salle des cent couverts, plutôt sombre, devait servir jadis à ce gai luron d'Henri IV, plus connu en Béarn sous le surnom Riton-le-canaillou, à trousser promptement les demoiselles de compagnie dès que Marguerite de Valois - qui n'était pas mal non plus dans le genre saute-au-paf - avait le dos tourné.
Matin : démo pour les visiteurs. Après-midi ch'tite partie avec deux joueurs qui voulaient tater du napo : Richard et Thierry. Histoire de chauffer les canons et de faire charger les canassons.
Avec la météo qu'on a, c'est encore ce qu'il y a de mieux à faire.
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OH MON CHATEAU, OH, OH, OOOOOH...
Le gang des assassins rejoint par les volontaires du 3e de ligne |
Le corps a corps fut bref mais féroce. Les Anglo-portugo-espagnols commandés par Lafumée et Blue Swede ont affronté la neige et le verglas aujourd'hui pour venir en découdre au château de Pau avec les Français déployés avec hargne par de Jaiduruskof, Labelleoasis et JJ la canaille. Tout cela sous le regard attentif (et guerrier) des membres du club Histoire et légendes, organisateur de la 4e coupe de France DBA.
Toujours le même cadre aussi prestigieux, toujours l'ambiance aussi si sympa. D'autant plus que les reconstitueurs du 3e de Ligne sont venus rendre visite à notre table. Voilà les premières photos. La baston béarnaise se poursuit demain. Miam !
MON TROISIEME OEIL
La photo a été prise avec l'ancien appareil |
En napo, faut avoir l'oeil et le bon. Car, sur un champ de bataille, les mirots ne font pas de vieux os.
Ce qui vaut pour la stratégie, vaut aussi pour les photos des figurines, complément indispensable de notre truculent loisir.
Ces derniers mois, mon fidèle compagnon compact Fujifilm donnait justement d'inquiétants signes de fatigue après plusieurs années de bons et intenses services.
J'ai donc profité de la mirifique et généreuse période de Noel pour lui trouver un digne successeur. Mon choix s'est porté sur un Panasonic FZ 28 (10,1 millions de pixels) dont les premiers clichés me conviennent fort bien.
Il prend en macro à 1 cm et présente l'avantage, outre sa grande simplicité d'utilisation, de posséder un zoom X 18 doté d'une optique Leica, et donc d'excellence qualité. Coût 300 €. Je ne les regrette pas.
Seul bémol, il ne fonctionne pas à piles ,mais à batterie. Par contre celle-ci semble avoir une belle capacité. Qui plus est, elle se recharge en 1h30 seulement. Que demande le peuple ?
ON EN RAJOUTE DANS LE VICE
Le vieux coup de la prise du drapeau revient sur les tables |
Y a des jours où, face à l'alliance du sabre et du goupillon, on ne peut que s'incliner.
Le pervers polymorphe qu'est l'infame général Yapudo - alias Capitaine y Frakass pour les intimes - a concocté une règle de prise de drapeau en prévision d'une archi-méga baston napo qui se déroulera fin janvier dans la torride banlieue de Bordeaux.
Le scénario en sera : des troupes américaines composées d'indiens déplumés et de yankees vérolés affrontent en 1812 les magnifiques soldats d'une improbable mais splendide alliance anglo-hispano-portugaise conduite par le général don Diego Y Zorro y Béarno y Tapadepot y Viendepau en personne. L'élite, quoi !
Sa règle nécessite non pas deux mains vigoureuses pour arracher le drapeau d'un bataillon ou d'un régiment de cavalerie adverse à l'issue d'un féroce corps à corps, mais deux dés dix.
Astucieusement limés, ces derniers doivent vous permettre de prendre le fanion d'une unité ennemie en fonction des pertes qu'elle a subies, de sa valeur de moral et de sa position (c'est à dire par exemple si elle est poursuivie en mêlée et en déroute. Ce qu'en d'autres termes, et somme toute, on pourrait audacieusement comparer à la position du missionnaire, côté réceptacle).
A charge ensuite pour le gars qui s'est fait prendre un drapeau, d'en peindre un sous forme de petit trophée, qu'il remettra à son adversaire la prochaine fois qu'il le reverra.
Les perfectionnistes le feront à genoux, en étant revêtus d'une robe de bure, la tête couverte de cendres, un cierge allumé à la main et entonnant des psaumes de pénitence. Mais c'est facultatif.
Cela étant, le révérend père Jean-Pierre de Lafumée de Pasdemiséricorde, archevêque de Gujan-Mestras - qui est toujours partant dès qu'on parle d'administrer les derniers sacrements à l'ennemi - a profité de la sortie de ce nouveau point de règle pour nous annoncer avec onctuosité qu'il préparait un "truc" (traduisez un coup tordu, en langage ecclésiastique) pour demain ,samedi, au château de Pau.
Milliard de d'chiu ! Préparez vos mouchoirs. Ca va encore pleurer dans les casernes et les presbytères.
Eeeuuuuh, à propos Yapudo, brodé s'il te plait, pour moi, le trophée .
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Bon d'accord cela semblait sympa.....
Mais combien de drapeaux laissés à l'adversaire ??
Parce qu'il te faudra bien venir avec un stock de rechange lors de ta dérouillée du fin de mois en terre Girondine !!
Prévoie aussi quelques kleenex.....