Le 7e hussards dans le magasin de r...habillement

En attendant que le ciel de dégage pour aller faire une balade en raquettes en montagne, je continue à retaper mes troupes. En général, ce sont les bouts de chaussures et les coudes qui ont le plus morflé. Faut dire aussi que certaines figurines ont été peintes il y a quelques années déjà.

Ce chantier là va me prendre un sacré bout de temps. Mais faut ce qu'il faut. Et ça me change des murs de ma cuisine, sur lesquels je viens de passer deux à y trois couches d'une peinture réputée monocouche.

 Parce que, ce que veulent dire les vendeurs quand ils parlent de monocouche, c'est qu'on ne met en fait ...qu'une couche à la fois. Sacrés farceurs !

10 heures. Napoléon commence à avoir du mal à avancer dans la neige

Il y a des jours où il faut regarder les choses en face. Contrairement à ce que des générations d'historiens nous ont toujours affirmé,  Napoléon Bonaparte n'est pas mort en mai 1821 à Sainte Hélène. Celui qui a passé l'arme à gauche sous les tropiques était en fait un fade sosie  !  

Napoléon 1er, le seul, le vrai, est en effet passé de vie à trépas le 25 décembre 1812, les glaouis réduites à l'état de glaçons, enseveli dans les neiges de Russie où son armée avait fondue . Même si, faut bien  le reconnaitre, pour faire fondre quelque chose dans la neige, c'est bigrement coton.

En effet , les reporters du blog JJNAPO étaient là ! Et, 197 ans plus tard, je profite de cette journée éminemment symbolique et anniversaire pour asséner cette révélation historique à la face du monde : la longue agonie de l'Empereur, noyé peu à peu sous les flocons, après s'être égaré et avoir tourné en rond, quelque part entre entre Vilna et Smolensk.

Un spectacle insoutenable. Nos photos (que j'aurai pu vendre à prix d'or à Paris Match, mais que j'ai préféré garder pour les fidèles lecteurs de JJNAPO)  en témoignent !

Pas de doute, ça jette un froid. Du coup, j'en ai la buche qui ne passe plus.

Mais je vous devais la vérité, aussi insoutenable soit-elle. Et je suis quand même content de vous avoir enfin ouvert les yeux. Ca sera mon ch'ti cadeau.

 Ne me remerciez pas. C'est bien naturel. Joyeux Noël à tous !

Les dragons légers espagnols, avant la sodomie collective

Tiens, avant d'aller planter les canines dans les cuisses d'un chapon, quelques photos de la dernière bataille disputée dans mon antre, au sud de Pau. On s'en lasse pas.

Ceux-là, il a fallu refaire leurs plumets avec du milliput

C'est pas le grand nettoyage de printemps. C'est la remise en état d'hiver.

Avant la baston (passage de la Nive 1814) qui se déroulera le samedi 9 janvier au château de Pau, je retape les troupes qui se retrouveront face à face.

Un cavalier anglais à recoller par ici, un plumet à repeindre par là, un socle à refaire par ailleurs.

C'est moins rigolo que de peindre une figurine entièrement. Mais, pour la révision des 15 000 (batailles) faut ce qui faut.

Demain, j'irai prendre l'air en montagne avec mes raquettes. Ca aussi, c'est le côté sympa du Béarn.

Les ch'ti nouveaux, en train de s'entrainer

Pendant que les fadas du napo en viennent aux mains sur les tables, mes armées Blitzkrieg prennent du volume.

 Voilà les dernières recrues :

- chars russes  T34/76 (76 c'est l'importance du canon. Il y a aussi des T 34/85. Et T... euh, je crois pas que ça veuille dire "tourisme"),

- Panzer IV Ausf.G (Sdkfz 161/1) avec ses protections latérales 

- Sdkfz 7/2 anti-aérien de la division Grossdeutschland

Tout ça en métal, déjà peint et récupéré à vil prix grace à un petit malin qu'avait l'oeil et le bon. Grâces lui soient rendues.

Sur Pau, Loïc et Cehelgi, en ont aussi commandé. Ca va chauffer dans la steppe.