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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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HONTEUX...MAIS EFFICACE

Les grenadiers montés espagnols esquivent. C'est plus prudent Les dragons espagnols reconduits "à la casa" El généralo et ses sbires poursuivis la baïonnette dans les reins Batterie et bataillons de soutien espagnols vont sauter Tapas hill, prise par les  Français. A droite l'Anglo-portugais menace

Les grenadiers montés espagnols esquivent. C'est plus prudent
Les grenadiers montés espagnols esquivent. C'est plus prudent 

Quand ils étaient petits, Didier le boutonneux et Jean-Jacques le pustuleux, que la postérité rendra célèbres par la suite  comme l'Etrangleur des Fjords et le Monstre du gave,  étaient la honte des cours de récréation.

Il faut dire que ces sinistres gamins avaient adopté une technique très efficace pour extorquer chewing-gums et sucettes à tous ceux qu'ils croisaient dès que la maîtresse avait le dos tourné : un qui te tient, l'autre qui te cogne .

Simple, pas vraiment de bon goût, mais bigrement lucratif.

On ne change pas une équipe qui gagne. Samedi dernier, face à l'armée anglo-portugo-espagnole commandée par le général  Vivian de Labelleoasis y Tapas y Corones, et le roi du goupillon, j'ai nommé l'archevêque JP de Lafumée de Pasdemiséricorde, ce duo de pervers polymorphes a décidé de remettre ça.

Plutôt que de faire face, comme des hommes, des vrais - mais aussi un peu, faut le dire,  comme des cons - à des troupes plus nombreuses et dotées d'une solide cavalerie, ces deux consternants personnages ont biaisé. En regroupant toutes leurs forces sur l'aile droite du champ de bataille.

Par le plus grand des hasards, ce dispositif les a placés face à l'armée espagnole de Tapas y Corones. Un ensemble de troupes certes fort colorées, mais dont la majeure partie possède à peu près la même capacité de résistance qu'une varice de vieille dame face aux crocs venimeux d'un serpent à sonnette.

Et arriva ce qui arrivait jadis à la récré : tandis que l'Etrangleur bloquait l'hidalgo, le Monstre lui décochait un méchant coup dans ses côtes branlantes.

Tentant de résister avec une batterie de 12 livres judicieusement placée au centre de son dispositif, Tapas y Corones se débattait comme un beau diable, et couchait sur l'herbe fraiche (et gelée) du Béarn un paquet de soldats français. De même, son régiment de grenadiers montés, chargeait avec bonheur, une batterie française mal protégée et la réduisait en bouillie avec un appétit évident.

Rien n'y fit. Les deux tordus, qui avaient fini par le coincer dans les cordes, continuaient à lui bourrer les flancs de coups de poing, et souriaient d'aise en écoutant les jolis craquements provoqués par les côtes brisées de l'Espingouin; Quant aux grenadiers montés espagnols, avancés trop imprudemment, ils se faisaient charger de flanc par un régiment de cuirassiers qui leur réapprenait l'art de te planter une banderille bien profond dans le fion. Une vieille technique du Sud-Ouest.

 Choqués par une telle outrecuidance, les grenadiers décidaient d'opérer une subite "esquive sur ordre". Et de retourner illico dans leurs bodegas.

Que faisait Lafumée pendant ce temps là, me demanderez vous ? Ben, placé à l'extrémité gauche de la table, il se comptait les arpions, rageait, pestait, et envoyait des coups de poing rageurs dans le vide.  Avec le même air stupéfait qu'un éclésiastique en manque d'eau bénite qui vient, en plus, de découvrir que ces petits cons d'enfants de choeur lui ont siroté tout le sauternes qu'il se gardait en réserve pour la grand'messe de Noël.

Equipé de solides chaussures de randonnée, l'archevêque de Gujan-Mestras, à qui on avait confié le commandement de non moins robustes troupes anglo-portugaises, entamait alors, une longue procession vers ses potes espagnols en train de se faire charcuter. Mais vous connaissez les religieux : eux, quand ils processionnent, c'est à pas lents.

 Et le temps passait, passait, passait. Et l'Espagnol craquait, craquait, craquait. Et Lafumée marchait, marchait, marchait. Et les deux sadiques d'en face rigolaient, rigolaient, rigolaient.

Certes, sur la fin de la journée, les moines écossais, les prélats irlandais et les curés portugais commencèrent à envoyer au paradis des salopiauds les premiers Français qui leur tombèrent sous la main.

Mais le gros de la messe était dite, et une sinistre obscurité commençait à tomber sur une armée espagnole dont les Français commençaient à découper avec gourmandise la queue, les oreilles et les sabots.

"Je me vengerai, nom d'une nonne vérolée ! " se promit l'archevêque, commettant ainsi son dernier péché (véniel) de la journée. 

 Depuis, il se murmure qu'une revanche pourrait être prise le samedi 9 janvier au château de Pau.

S'il est présent, la vengeance de Lafumée sera sans doute terrible. Car le gaillard est habile. Il aura aussi certainement eu le temps d'entrainer ses troupes au sprint. Ca peut aider. Hé, hé, hé...

 

L'ESPAGNOL ? CA S'EMPALE OU CA SE ROTIT ?

Les dragons lourds Inniskilking déboulent, mais trop tard
Les dragons lourds Inniskilking déboulent, mais trop tard 

Pourquoi tant de haine ?

Samedi, à la fin d'une terrible journée d'affrontements, de nombreux cadavres de figurines jonchaient la table dressée dans ma salle à manger sous les yeux (et elles n'en manquent pas)  ahuris de mes araignées apprivoisées : mygales, veuves noires et tarentules dont j'ai plaisir à caresser le dos velu, le soir, pour me détendre à l'issue d'une rude journée de travail.

Ce spectacle de désolation me navrait d'autant plus que j'apprenais aussi  l'agonie d'un être cher : mon appareil photo qui, après quelques années de bons et loyaux services, commence à être atteint de sénilité , et à rendre floue une image sur deux.

Je vais encore devoir mettre une rouste au Père Noël pour l'obliger, sous la torture comme d'hab , à m'acheter un autre appareil (non pas  dentaire, bande de médisants guoguenards, mais photo !).

Grace à Belzébuth, j'ai néanmoins pu préserver  des clichés. Je vais donc les présenter dans les jours qui viennent pour rendre compte d'un impitoyable corps à corps qui vit l'armée espagnole de ce fier-à-bras de Vivian de la Belleoasis se faire hacher menue sous les coups redoublés des Français ricanants que je commandais aux côtés de l'effrayant Didier van B.

Une journée qui s'est terminée à l'avantage des Français, mais de justesse. Car l'habile et très retors archevêque de Gujan-Mestras, JP de Lafumée de Pasdemerci, exilé à l'autre bout de la table avec ses anglo-portugais,  commençait à exercer une dangereuse pression sur notre flanc gauche après avoir rejoint son allié à grands renforts de marches forcées , grace à ses baskets spéciales sprint.

Bref, si la nuit - qui, c'est bien connue, est l'amie des vampires et des étrangleurs nordiques - n'était pas tombée aussi tôt, une autre bataille, toute aussi sanglante, s'engageait . Et bien malin qui aurait pu en prévoir l'issue cette fois-ci.

L'archeveque maudit a légitimement pu en concevoir quelque frustration. Mais, comme je le disais jadis à mon petit frère en lui cassant ses jouets et une dent sur deux,  s'il y avait une justice en ce bas monde, ca se saurait, non ? Hi,hi,hi...

 

UN CHAMP DE BATAILLE DANS MON SALON

4,50 m sur 2 m : ca va le faire
4,50 m sur 2 m : ca va le faire 

Avant l'arrivée des belligérants, dont deux viennent des Landes et de Gironde, voici le champ de bataille sur lequel nous allons en découdre aujourd'hui.

Installé entre la cheminée, la bibliothèque (protégée comme un bunker) et le buffet, il va voir une armée anglo-hispano-portugaise s'expliquer les yeux dans les yeux avec des Français.

C'est ma compagne qui a jeté hier soir un dé, en ricanant,  pour savoir quelle armée allait de quel côté. Et tout à l'heure, on tirera au sort qui joue quoi.

Pour l'instant, je finis mon kawa avec la sérénité du cancrelat qui s'apprête à bondir sur le tigre...

 

GOD SAVE THE GUINNESS

Même quand ils sortent du pub, ils tirent juste
Même quand ils sortent du pub, ils tirent juste 

Ils ne sont pas blancs de peur. C'est juste la couche de base que je commence à leur appliquer. Un bataillon britannique en plastique dur des ch'ti frères Perry va prendre des couleurs. Il viendra compléter mon armée anglaise.

Celui-là , je lui donnerai les parements d'une unité irlandaise, en hommage à l'excellente et fort amère bière brune que l'on sert dans les pubs de ce beau pays . Puis, j'attaquerai des Hanovriens qui me manquent encore.

Dans l'immédiat, le branle-bas de combat résonne en Béarn. Demain matin, les pervers  Didier van Blue Swede Shoes et JP Lafumée de Pasdemiséricorde affrontent les frimas pour venir me défier entre deux toiles d'araignée.

Le farouche général Vivian de Labelleoasis sera également de la partie.

Sebastien, l'égorgeur girondin, ne pourra pas être présent, retenu qu'il est par des festivités familiales.

Quant au général Michel Ducahos de Moissac, le loup-garou du Midi-Pyrénées, il sera occupé à tuer le cochon.

Pas un de ses adversaires, mais un vrai cochon. Quoi que,  parfois, à bien y regarder...

 

AAAARRRRGHH ! L'ETRANGLEUR SERA LA !

Didier van B . Derrière son air tranquille, Terminator veille
Didier van B . Derrière son air tranquille, Terminator veille 

Gasp ! Gargle ! Donnerwetter ! By jove ! God damned it ! Enfer et damnation ! Je viens d'apprendre une nouvelle angoissante.

Certes, l'archevêque maudit,  le Sardanapale des bénitiers, le Satrape de l'encensoir, autrement dit l'horrible JP de Lafumée de Pasdemiséricorde,  viendra bien samedi en Béarn avec son sabre et son goupillon pour me mettre une tannée et me planter un pieu dans le coeur. Et , si possible, me bourrer la tombe avec quelques kilos de gousses d'ail bien fraiches. Rien que de très traditionnel, quoi.

Mais on me sussure dans le même temps que le diabolique Didier van Blue Swede Shoes sera également de la partie. En d'autres termes, l'étrangleur des fjords, le bourreau des neiges, l'Attila du Grand Nord (je parle bien sur de la partie sud des Landes, hi,hi,hi), le Gengis Khan des sapins, le Frankestein des glaces, l'homme derrière lequel - à part les amanites phalloïdes, rien ne repousse. En un mot, comme en cent, la Honte des steppes.

Ok ! Va falloir faire avec. J' affute donc  mes crocs, et je ferai face avec courage et détermination à ce funeste coup du sort.

Allez, du nerf, JJ von Drakul ! Ce n'est qu'un monstre comme les autres après tout. Mais face à cette paire là, va falloir finasser, nom d'un oedème  ! Bon !  Je retourne limer mes dés. Y a pas de petites précautions.  

 

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