Le beau Rodriguo, en train d'aligner un Français

Tant pis pour les chevilles qui enflent. Faut dire ce qui est : celui-là , j'en suis pas mécontent.

Un autre guerillero enragé vient de rejoindre la bande de gros-bras du cruel  Miguel y Castagnos.

J'ai utilisé une autre technique de peinture, en étant plus soigneux que d'hab sur les ombrages : les fonds de reliefs dans la teinte la plus sombre, les reliefs dans la même teinte, mieux travaillée, brossée autrement, et éclaircie.

Merci aussi au pittoresque gérant du nouveau magasin Games Workshop de Pau pour m'avoir donné quelques conseils. En particulier sur l'utilisation des ombrages de blanc pour lesquels j'ai fait appel à un gris bleu pale (astronomican grey de Citadel). Ainsi que pour l'encre du visage qui, cette fois-ci, n'est pas un chestnuk ink trop brillant, mais un intéressant Washes ogryn flesh, toujours de Citadel.

Attention ! J'ai pas d'actions dans le magasin, ni dans cette marque de peinture. J'ai testé, c'est tout. Mais je suis prêt à bénéficier de toutes les remises qu'ils veulent pour cette belle page de pub gratos, hé,hé,hé...

Demain : "C'est comme tu veux , tu choise". Ou, pour répondre à une question posée sur ce blog par le révérend père Stéphane, avec quelles marques se constituer un début d'armée, nom d'un grenadier vérolé !

Ceux-là, ils ne font pas vraiment dans la tendresse

Voilà le reste de la bande de tueurs que Miguel y Castagnos , le chef guerillero de mes insurgés espagnols, va emmener avec lui sur les champs de bataille. D'ici Noël, ils devraient prendre des couleurs. En attendant la méga baston qu'on organisera au château de Pau début janvier.

C'est toujours du plomb. C'est toujours du 28 mm. Et c'est toujours du Front Rank.

Miguel y Castagnos, un terrible chef de bande

Cinq minutes par ci, un quart d'heure par là : mon chef guerillero espagnol va rejoindre ses companeros sur les champs de bataille. Six autres miliciens ibériques sont à suivre. Avec des pompons, des foulards, des turbans, des chapeaux de civil... tout ce qui leur tombe sous la main comme uniforme. L'essentiel étant d'enquiquiner les troupes françaises sur les tables, et de leur faire passer le goût des tapas.

Les Ostrogoths de Michel en pleine charcuterie

Quelques autres photos de la baston 1813 disputée le dimanche de Stratéjeux. J'ai toujours plaisir à retrouver les Prussiens de Calpe.

Demain : un chef pour les guerilleros

Un bataillon russe qui ne va pas tarder à se faire charger de flanc

Allez ! Juste pour le plaisir. Quelques ch'tites photos des batailles livrées à Stratéjeux, dont la seconde, qui a vu les Russes et les Prussiens tenter de faire face à la furia française. Je dis bien tenter. Hé, hé, hé.