Y ' a plus qu'à rentrer dans le lard des Français

Les photos sont trompeuses car les pantalons sont en fait beaucoup plus clairs que la veste. Je vais faire un procès à Fujifilm. Cela dit, encore quelques ch'tis détails de peinture à rectifier, notamment sur le joueur de tambour et quelques shakos,  et ce sera bon.

Le bataillon espagnol entrainé dans les bois du Béarn est quasiment prêt à combattre.

Je vais aussi le compléter en commandant chez Front Rank une pique de hampe de drapeau et ses cordons.

Après, la consigne donnée à mes figs  est simplissime :

CHHAAAARRRGGEEEEEZ !!!!!

V'là les bêtes

Mon dernier bataillon de ligne espagnol (uniforme de 1812) est en train de revêtir ses habits de bal. Le voici, dans ses couleurs de base, en attendant que je travaille les ombrages et les détails.

Messages personnels :

- Gregory , si tu veux que je te fasse parvenir "Trirème" (le jeu me semble complet, j'ai vérifié), donne moi un numéro de téléphone, ou une adresse internet en m'envoyant un message perso dans la rubrique "contact" de ce blog (en haut à droite). Cela me permettra de m'organiser. Car pour les réunions des Dragons, ça serait volontiers, mais c'est un peu loin pour moi 

- JP : tes demandes sont bien notées. Je te garde ça au chaud.

Usagés mais à saisir

C'est ma semaine de bonté. Pour cause de grand ménage, et d'éventuel déménagement, je donne des jeux de stratégie , en anglais :

- Sea at war

- The hunt for Red october

- Panzer leader

- Sinaï

- The israelo-arab wars

- Panzerblitz

- The east is red

- Pas de Calais

- France 1940

- Trireme

-Alexander the great

Que ceux qui sont intéressés me laissent un message.

Voilà les p'tits derniers. Sont-ils pas beaux, mes hidalgos ?

Tout vient à point à qui sait attendre. J'entame la peinture de mon dernier bataillon d'infanterie de ligne espagnole.

Il est revêtu de l'uniforme porté à partir de 1812. Celui-là même qu'en 1814, les Toulousains ont vu défiler au pas de l'oie (de Seville) au pied de leurs fortifications.

Je n'ai pas voulu présenter ces figurines dans toute leur nudité métallique. J'ai donc peint leur pantalon. Simple question de pudeur.

Une face que les Français ne verront jamais

"Les Français, dehors !". C'est ce que n'ont pas cessé de clamer les Espagnols entre 1808 et 1814 lorsque le cht'i père Napo a eu la mauvaise idée de leur enseigner de force la recette des corones de toro au coulommiers frit.

Parmi les matadors furibards, on trouvait cette unité d'infanterie, qui a fini d'être soclée et ne demande aujourd'hui qu'à débouler sur une table de jeu

En tête, les grenadiers et l'habituel chefaillon ventripotent. Derrière, arrive la banda : tambour et fifre accompagnés du porte-drapeau et du sapeur armé de sa hache (histoire de couper court à toute discussion sur la tactique à employer). Puis, dans les derniers rangs, la traditionnelle chair à canon, assaisonnée pour la circonstance d'une bonne dose de chorizo .

Les figs sont de Front Rank. J'aurais aimé qu'elles me soient livrées Franco de port, mais ça n'a pas pu se faire.