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WATERLOO : QUI DIT MIEUX ? (3)
194 ans plus tard, Laurent repart à l'assaut de la Haye Sainte |
Au beau milieu du champ de bataille de Waterloo, la ferme de la Haye Sainte n'est pas accessible aux visiteurs. Ca ne nous a pas empêchés de commettre notre forfait. En nous servant d'un banc pour illustrer l'attaque que les Français livrèrent contre cette batisse ceinturée de solides murs en 1815, et fort bien conservée.
On est aussi allés, à deux pas de là, jeter un oeil sur la sablière que les Rifles et leurs carabines ont occupé en 1815. Des gars aussi teigneux que leurs collègues KGL qui défendaient la Haye Sainte.
V'la les photos. Juste pour le fun.
Demain : Wavre, ses vaches, sa Dyle, son moulin qui s'effondre, et deux zigotos qui continuent à délirer. Parce que les pisse-froid nous foutent le bourdon.
WATERLOO : QUI DIT MIEUX ? (2)
Mince ! J'ai encore vu trop petit ! |
L'avantage avec le champ de bataille de Waterloo, c'est qu'il est plutôt bien conservé, en dépit de la route (très fréquentée) qui mène à Bruxelles et le traverse en son centre ; du monastère de Fichermont qui a été installé à l'endroit où se trouvaient jadis les Hanovriens et dans lequel le bienheureux frère girondin JP de Lafumée de la Miséricorde avec lequel j'en découd régulièrement compte passer sa retraite, ni bien sur de la butte du Lion érigée par le prince d'Orange avec son seau de plage rose et sa petite pelle.
Les chemins de terre qui continuent à le traverser permettent aussi de s'y balader sans problème. C'est ce qu'on a fait avec le fiston en installant notre table à l'emplacement où les fantassins de la division Alix (corps de Drouet d'Erlon) attendaient de marcher sus à l'ennemi, avant de se faire transformer en fricadelles par les Scots greys.
Voici d'autres photos, avant l'arrivée des infirmiers belges et notre placement en garde à vue pendant 24 heures dans l'hôpital psychiatrique le plus proche.
(Demain : la Haye Sainte, aux portes de la Haye Sainte, tandis que les rifles jouent dans le sable de la gravière)
WATERLOO : QUI DIT MIEUX ?
Ce dimanche là, il gèle au sud de Bruxelles, une Yaris du 64 débarque |
Reconstituer la bataille de Waterloo avec des figurines, c'est bien. Mais le faire SUR le champ de bataille, c'est mieux.
Avec mon digne rejeton, Laurent, alias vampire junior, on s'est offert ce ch'ti plaisir. En menant à bien, par un frisquet dimanche d'octobre, un pari que l'on s'était lancé un soir de l'été dernier à Toulouse.
Voilà , raconté en plusieurs étapes, le récit en photo de notre virée belgo-waterlesque.
Qui dit mieux ?
(à suivre)
EN AVANT, LES GROGNARDS !
Mes troupes en train de franchir l'Adour |
Allez, c'est parti pour Bruxelles et Waterloo. Ce soir, j'installe mon bivouac du côté d'Orléans. Puis je m'aventurerai dans le Groënland, au nord de la Loire.
A Bruxelles, l'hôtel dans lequel je dormirai est installé rue de... Stalingrad. Ca s'invente pas. Et ça me fera toujours un entrainement pour la méga baston Blitzkrieg qui m'attend à mon retour à Pau.
EN ROUTE POUR WATERLOO
Une patrouille de Ulhans prussiens qui rode encore à Plancenoit |
J'attends ça avec impatience.
Vendredi, je prends la route de Bruxelles pour aller voir Vampire junior au pays de la Chimay bleue et des frites qui croustillent.
Par le plus grand des hasards, mon chemin passera par le champ de bataille de Waterloo. Hé, hé, hé.
Si je vois un Anglais... je le charge ! Si je vois un Prussien, je fais feu.
Si je vois un Belge (on ne sait jamais, ça peut arriver dans ce coin là), je le torture jusqu'à ce qu'il m'avoue ce que lui et les siens mettent dans les fricandelles. Mais ça m'étonnerait qu'il parle.
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Maréchal,ne prends pas la peine de netoyer tes figurines,
car une bonne douche froide les attend du côté de Stratéjeux!
Et hop! Un petit verre de Wodka!