jjnapo
QUI DIT NAPO, DIT PHOTOS
Une pièce de 12 prussienne couvre l'avance de l'infanterie |
Une bataille napo, c'est de la masse. Et encore de la masse. Et toujours de la masse.
Gourmands comme on est, on a essayé de reproduire ça le week-end dernier à Grisolles. Et on en rote encore de plaisir.
Voilà quelques photos. Beaucoup d'autres suivront.
Commentaires textes : Écrire
PROSIT !
Les Prussiens ouvrent le bal |
Milliarded'chiu ! Pour une baston tendue, ça a été une baston tendue. Deux jours durant, une table napo a canonné au coeur du premier festival du jeu de Grisolles qui se déroulait ce week-end, dans le Grand Nord. C'est à dire de l'autre côté du canal du Midi.
Le scénario : deux batailles de type 1813 opposant de bravesSuédois, Prussiens et Russes à d'ignobles Français, des Polonais bourrés et des Bavarois hébétés.
Que pensez vous qu'il arriva ? Eh ben les Français ont mangé chaud. Du plomb surtout. Ca s'arrose : Prosit, comme on dit chez les Ostrogoths
Autre détail croustillant : les généraux des deux camps sont tombés comme des quilles au bowling sous nos jets de dés chanceux (et fort bien limés pour certains d'entre eux).
Voici les premières photos de ces atroces affrontements ayant traumatisé tous les maréchaux qui y ont participé : le malveillant cardinal JP Lafumée de la Miséricorde ; l'odieux Xavier de Jaiduruskof de Chezfrontank (à qui on offrira un tube de colle à Noel pour fixer -enfin _ ses cavaliers sur leurs chevaux) ; le vénéneux (et Landais, ce qui n'arrange rien) Didier van Blue Swede Shoes ; l'atroce Michel Ducahos de Moissac , alias, l'Attila des Centres socio-culturels ; et le plus ch'tarbé de tous : votre pustuleux serviteur, Sir Jack, le vampire du Béarn.
Demain, d'autres clichés sanglants suivront. Un peu de patience. Comme me le rappelle de temps à autre Frida-la-rousse, acorte pensionnaire du Perroquet bleu, une maison discrète mais fort bien tenue de la banlieue paloise, "un CR, c'est comme une sucette à la fraise. Ca se déguste lentement".
Commentaires textes : Écrire
TOUT EN COULEURS
Autrichiens, anglais, prussiens, russes : une mine d'infos |
Dans la vie, faut parfois avoir un peu de bol. Pour les bouquins, c'est pareil. Voilà la dernière acquisition de ma bibliothèque napoléonienne, achetée pour 15 euros à un joueur toulousain qui souhaitait s'en séparer : une encyclopédie illustrée des uniformes des guerres napoléoniennes.
250 pages toutes en couleurs consacrées aux uniformes d'un paquet d'armées de l'époque. On y trouve même les uniformes des unités indiennes qui ont combattu en Egypte aux côtés des Anglais.
C'est en anglais. Mais c'est fort intéressant. L'éditeur est "LB". Et le livre a été imprimé en Chine. Mais l'armée de l'empereur du pays des Ming et des Mong n'y figure pas. Ce n'est pas parce que Waterloo a été remporté par des buveurs de thé qu'on doit être présent partout.
L'ESPAGNE EN LIGNE DE MIRE
Le bataillon prêt à peindre |
Allez ! C'est reparti !
Un nouveau bataillon d'infanterie de ligne espagnol se prépare à recevoir mes furieux coups de pinceau. Il s'agit d'une unité de ligne classique : uniforme blanc et parements rouges.
Les figurines sont de Front Rank, comme d'hab. J'aime bien notamment les figs de commandemement, avec l'officier ventru et le joueur de fifre. Tout cela sent bon l'ail , l'huile et la sangria.
Lire les commentaires textes
Obtenir les meilleurs prix
J'adore. Encore, encore des photos.