La table sur laquelle ce drame abominable s'est déroulé

Gros décor, grosse baston et belle ambiance aujourd'hui à l'Ecole des troupes aéroportées de Pau où une salle de pliage des parachutes a servi de décor à une reconstitution de la bataille d'Orthez livrée en 1814 par l'armée de Soult face aux anglo-portugais de Wellington. Tandis que la table d'à côté était consacrée à la bataille de Normandie en 1944 (j'y reviendrai).

Toute la journée, le sanglant général Vivian de Labelleoasis m'a donné la réplique  lors de cet affrontement .

 Chacun a mangé chaud ; Mes Ecossais ont pleuré leur race au centre tandis que je lui passais ses ailes au court-bouillon. On est comme ça en Béarn. Cruel, mais toujours avec raffinement.

Je vous assure que je ne plaisante pas : mon fils vient de trouver du travail en Belgique. Et devinez où se trouve son entreprise ? Au sud de Bruxelles, entre Waterloo et Wavre !

Dès que je monte le voir, j'emmène une pelle avec moi. Pour faire des fouilles dans son jardin.

Un maréchal de camp. Ralliez vous à mon panache rouge

Simple et de bon goût. Dans l'armée espagnole de 1808-1814, les grades des généraux se repèrent grace aux lignes dorées qui figurent sur leurs manches : trois c'est un capitaine général, deux un lieutenant général, une un maréchal de camp, et zéro un gros bourrin qui n'a pas su lécher les bonnes bottes à temps.

En voici deux exemples.

Le T34/76 est au milieu. Prêt à fondre (c'est une image) sur l'ennemi

Et ca colle, et ça soude, et ça bosse... Les horaires ont été doublés dans mon usine soviéto-béarnaise où les laborieuses cellules ouvrieres du Parti travaillent d'arrache-pied à l'effort de guerre, en prévision de la mégabaston de Koursk de la fin octobre. Tout cela , sous la conduite zélée (et le knout vigilant) du commissaire politique Wladimir Ivanovitch Stakanov JJNapoleievski.

Un T 34 armé d'un canon de 76 mm vient de sortir des chaines de montage et n'attend plus que de passer dans l'atelier de peinture.

Deux T 34/85 dont les pièces viennent de m'être fournies par l'usine d'Armourfastenkov ne vont pas tarder à le rejoindre.

Hourrah, camarades ! La victoire est à notre portée.

Un uniforme à plutot 18e siècle. Mais ils sont costauds

Mes carabiniers espagnols ont déjà combattu dans la région de Montauban. Mais je ne les avais encore jamais présentés terminés sur mon blog. Les voili, les voilà.