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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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AU COEUR DE LA TOURMENTE

Les légers catalans, mélange de perroquets et de conquistadores Les carabiniers montés espagnols. On se salue beaucoup chez eux La brigade polonaise part à l'assaut de la colline. Nasdrowié ! Un bataillon de grenadiers espagnols en pétard

Les légers catalans, mélange de perroquets et de conquistadores
Les légers catalans, mélange de perroquets et de conquistadores 

Juste pour le plaisir des yeux. D'autres photos de la baston tarn-et-garonnaise, côté espagnol surtout.

 

LE VERGER DE L'HORREUR

Le hangar sous lequel tant de braves figurines sont tombées Les légers et les guerilleros espagnols en plein turbin Les Polonais à l'assaut d'Hamburger Hill. En face, les Anglais Le fantome d'Alonzo était aussi de la partie Dans le moulin, les KGL ont chaud aux miches

Le hangar sous lequel tant de braves figurines sont tombées
Le hangar sous lequel tant de braves figurines sont tombées 

Milliard de d'chiu ! On s'est tellement castagnés ce jour là que j'en ai oublié de prendre des photos. L'université d'été des P'tits napoléoniens réunis a tenu ses assises samedi dans le Tarn et Garonne, fief du général Michel du Cahos de Moissac.

Au menu : de l'Espagnol sentant bon la paella pas fraiche, de l'Anglais impassible, du Portos qui tire à 3O centimètres, du Polonais teigneux et du Français goguenard. Mélangez le tout. Hachez fin, fin, fin. Puis dégustez entre deux apéros.

Notre table avait été dressée sous un hangar installé entre les poiriers, les pommiers et un tas d'autres machins qui poussent dans cette région située entre Toulouse et Agen. La pampa, quoi. Mais sous le soleil, et avec une jolie ambiance.

Comme d'hab, les armées et les places ont été tirées au sort. Et, comme de plus en plus souvent, la partie a été serrée. Presque autant que le ricassou qui nous attendait sur le coup de midi. L'agriculture, vue comme ça, on en redemande.

 

ENFIN REPARE !

Porca miséria et hildepute !

Depuis quelques semaines, mon ordinateur avait un gros problème d'alimentation. Rien à voir avec une indigestion de plomb liée à une surconsommation de photos de figurines, ni avec les rasades de jurançon que l'on s'envoit allégrement derrière la glotte au sud de Pau. Le litige était tout  bêtement électrique.

Un ch'ti tour chez le réparateur, et le voilà à nouveau d'applomb.

A partir de ce soir (pasque là, tout de suite, faut que j'aille au turbin), je vous présenterai donc les photos de mon état-major espagnol en vous expliquant la subtile différence qui peut exister entre l'odeur d'ail rance exhalée par un brigadier général et celle de sardine grillées à la manzana dégagée par un brigadier.

A venir aussi les photos de mes carabiniers montés ; et d'une bataille homérique qui vient de se livrer en Tarn et Garonne au milieu des vergers où sévit l'ignoble général Michel du Cahos de Moissac.

 Un affrontement féroce au cours duquel les cavaleries  espagnole et anglaise firent  une démonstration de l'impressionnante stratégie du marteau-pilon avant, une fois parvenues à portée de charge, d'adopter l'étonnante tactique de la piqure d'épingle, puis de la retraite en loques. Que c'était beau !

Je vous dévoilerai également le décor, repeint et en relief, de la bataille d'Orthez qui sera jouée le 20 septembre à Pau sur une table de 4 mètres sur deux , lors des journées du patrimoine, dans une salle de pliage de parachutes dépendant du musée de l'Ecole des troupes aéroportées. Rien que cela !

Bref, y a de l'info qui va tomber, nom d'un Inniskilling en lambeaux ! (Tu t'es reconnu, Seb ?)

 

LES GALONNES EN PRENNENT POUR LEUR GRADE

Un lieutenant général en train de chercher une bodega Un aide de camp qui amène le "Canard enchainé" à son patron The boss : le capitaine général Jamon y Castagnettas Un brigadier erre, hagard, dans mon atelier de peinture

Un lieutenant général en train de chercher une bodega
Un lieutenant général en train de chercher une bodega 

Gouverner, c'est prévoir, a dit quelqu'un. Tandis que la cavalerie espagnole se peaufine, je commence donc à sortir mes prochaines figurines ibériques de leurs sachets. Il s'agit de l'état major.

Pour repérer les officiers espagnols, c'est fort simple : il suffit de compter les lignes de dorures qu'ils ont sur les manches : trois pour un capitaine général, deux pour un lieutenant général, une pour un brigadier.

J'ai trouvé ça sur un excellent site :

http://servicios.elcorreodigital.com/especiales/guerra-de-la-independencia-1808/uniformes-espanoles/index2.htm

Internet, c'est le pied !

 

CASSE-TETE

Avec plumet, c'est des carabiniers. Sans, c'est le régiment de Bourbon
Avec plumet, c'est des carabiniers. Sans, c'est le régiment de Bourbon 

L'uniformologie, c'est comme l'informatique. Faut jamais s'énerver.

La cavalerie lourde espagnole est en train de prendre doucettement des couleurs. Mais je me heurte à quelques ch'ti problèmes.

Sur les docs que je possède et que j'ai trouvé sur internet (voir le site jeudhistoire, forum, Empire, liens et documentation, guerre d'Espagne), les carabiniers royaux ne portent pas de plumet. Ceux qui en portent sont les cavaliers de ligne classique. Et encore ! Toutes les sources ne sont pas unanimes à ce propos.

Il va donc falloir que je choisisse : sans plumet (que je serai donc obligé de couper) , mes cavaliers seront des carabiniers royaux. Avec plumet, il s'agira du régiment de cavalerie de ligne de Bourbon (col et manches rouges, quoi que là, les cavaliers portent des gants). Sauf à dire que le plumet était porté pour les parades ou les grandes occasions (comme le faisaient beaucoup de troupes à cette époque).

Autre chose : les épaulettes. Les figs de Front Rank en portent. Mais elles n'apparaissent pas , ou peu, sur l'iconographie. Mieux que cela ! Le numéro spécial de Gloire et Empire consacré à la guerre d'Espagne présente des images d'unités de cavalerie de ligne parfois avec ,et parfois sans épaulettes. Allez vous y retrouver dans ce foutoir !

Cerise sur le gâteau :  une doc de Gloire et empire représentant les différents régiments de cavalerie de ligne montre ces mêmes régiments avec une patte d'épaule, mais bleue. C'est à dire de la même couleur de base que l'uniforme, et non de la même couleur que les "distinctives" (cols, manches).

Par contre, d'autres images trouvées sur un site espagnol internet et sur Gloire et Empire montrent cette même cavalerie SANS pattes d'épaule.

Quelqu'un aurait-il de l'aspirine ?

 

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