Il a une sonnerie spéciale pour la queue et les oreilles des Français

Ceux là, va pas falloir trop les chatouiller sur une table. Ou alors de loin, avec une batterie de 12 livres. Parce qu'ils ont le sang chaud.

Les carabiniers royaux (élite)  sont en train de passer au magasin d'habillement. Le premier qui les regarde de travers, ils l'embrochent.

Les volontaires de Catalogne en ordre serré.

Le bataillon des volontaires de Catalogne est terminé et prêt à combattre. Cette unité d'infanterie légère (figurines Front Rank) a été peinte avec sa grande tenue. Un uniforme vert taillé comme celui des hussards.

Sa tenue de campagne par contre a les couleurs inversées : veste rouge, cols et manches vertes.

C'est comme ça avec les Catalans. Plein de couleurs, mais faut pas chercher à comprendre.

La prochaine unité à compléter mon armée espagnole sera un régiment de cavalerie : les carabiniers royaux. Du lourd, et de l'élite. Ca me changera de la Ligne 2.

A la fin du mois, ils devraient être prêts à combattre sur les tables

Mon armée espagnole continue à prendre du ventre. Cette fois-ci, un bataillon d'infanterie se prépare. Il s'agit des volontaires de Catalogne dont l'uniforme tient du hussard et du biffin.

Ces figurines Front Rank, qui commencent à recevoir leurs couleurs de base, portent des sandales à lacets, typiques des Espagnols.

A nouveau, une forte odeur d'huile et de tapas envahit ma table de peinture.

Un boulet de cet engin pris dans les dents devait élargir le sourire

Ces jours derniers, je suis allé me balader à San Sebastian, au pays basque espagnol, pour visiter le château qui domine la ville, et qui a été attaqué par les Anglo-portugais et les Espagnols en 1813 afin d'en déloger les Français.

Sur les créneaux, on peut encore voir un canon de 9 livres anglais, et visiter une exposition rappelant (entre autres) le siège. La garnison française (3185 hommes) était commandée par le général de brigade Rey tandis que l'attaque anglo-portugaise (environ 10 000 hommes) était dirigée par le général John Oswald  soutenu par les 8 000 Espagnols du général Mendizabal.

A l'époque napoléonienne, z'avez déjà vu les soldats anglais prendre des risques, vous ?

Leur spécialité : le taureau... et le Français

Je les ai terminés sous la tente, au pied du glacier de la Meije. C'est dire si leurs charges vont prendre des allures d'avalanche et jeter un froid dans les rangs ennemis.

Les garrochistas  de Baïlen- ces cavaliers gardiens de taureaux - sont prêts à empaler les Français avec leurs lances dont les lames ont été trempées au préalable dans le piment et les tapas au poivre. Histoire de mettre de l'ambiance.

Les figurines sont de Front Rank. Olé !