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Des soldats de plomb, des copains ,et des batailles napoléoniennes

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LES AIGLES ROUGES

Vu d'en bas, voilà ce qu'apercevaient les Allemands encore vivants Les Sturmoviks : il y avait  un blindage sous le siège du pilote Un éclair pour frapper comme la foudre contre l'envahisseur nazi Les insignes de l'URSS sur le fuselage

Vu d'en bas, voilà ce qu'apercevaient les Allemands encore vivants
Vu d'en bas, voilà ce qu'apercevaient les Allemands encore vivants 

Quand y en a plus, y en a encore. Après l'énorme bataille 2e WW disputée dans le Pacifique entre Ricains, Rosbifs , Australopithèques et Japonais, la méga baston de Koursk (1943) se profile à l'horizon et devrait avoir lieu en octobre prochain sous l'humide ciel béarnais.

J'y alignerai une compagnie d'assaut russe, ainsi qu'une compagnie mixte d'infanterie et une escadrille de chasseurs-bombardiers Sturmoviks, ou Ilyushin II-10.

Ces derniers ne sont pas faciles à trouver en maquette. Mais un coup de chance m'a permis de tomber sur trois d'entre eux, en métal s'il vous plait. Les voilà, prêts à fondre sur l'ennemi.

Enfin, quand je dis fondre, je ne fais pas allusion aux conséquences de la chaleur des combats.

 

 

FALLAIT LE FAIRE, ILS L'ONT FAIT

Le bouquin est paru aux ed. De Fallois (461 pages, 24 €)
Le bouquin est paru aux ed. De Fallois (461 pages, 24 €) 

La réalité dépasse souvent la fiction. Je suis en train de lire une biographie du maréchal Oudinot qui a reçu, au cours de sa carrière, autant de blessures qu'une passoire peut avoir de trous. Dont deux balles dans la tête. Bonjour les migraines.

Ce militaire courageux (il fut l'un des rares à témoigner en faveur de Ney lors du procès de celui-ci) était un sacré bonhomme. Et je découvre qu'en 1799, alors qu'il servait dans les armées de la République en tant que général de division, il a participé à un fait d'armes sortant pour le moins de l'ordinaire.

Ses troupes faisaient face aux émigrés français qui défendaient Constance, et qui étaient placés sous le commandement du duc d'Enghien (celui-là même qui fut par la suite enlevé sur ordre de Napoléon, et fusillé dans les fossés de Vincennes).

Plutôt que de voir des Français des deux bords s'étriper, le duc d'Enghien a proposé à Oudinot de règler l'affaire par un combat singulier des chefs. Et c'est ce qui s'est produit !

Les deux hommes ont croisé le fer devant leurs troupes qui avaient mis l'arme au pied !

Le duc fut blessé au bras et en demeura estropié pendant les quelques années qui lui restaient à vivre.

Même si on en faisait un film, je suis sur que tout le monde trouverait ça trop "hollywoodien". Et pourtant...

 

A GRANDS COUPS DE SABRE

Quand l'Anglais bloque, c'est pas pour rigoler. Il bloque ! Des hussards ten guoguette escortent leur patron Lafumée et Jaiduruskof affutent leurs sabres. Alonzo ricane Hamburger Hill, revue et corrigée par les KGL

Quand l'Anglais bloque, c'est pas pour rigoler. Il bloque !
Quand l'Anglais bloque, c'est pas pour rigoler. Il bloque ! 

Un autre retour en photos sur les batailles napo du samedi sanglant, livrées dans le presbytère de monseigneur Lafumée. La cavalerie y a été à l'ouvrage. C'est même elle qui a le moins rigolé, nom de d'là.

 

RETOUR DE FLAMME

Anglais et Portugais attendent l'ennemi. Il ne va pas se faire prier La cavalerie polono-française sur le pied de guerre Le feu meurtrier des pièces de 8 livres élite Les lanciers polonais à nouveau, pas encore bourrés, mais ca va venir Y a pas plus retors qu'un Ecossais qui arme son Brown Bess

Anglais et Portugais attendent l'ennemi. Il ne va pas se faire prier
Anglais et Portugais attendent l'ennemi. Il ne va pas se faire prier 

1 partout, la balle au centre. Après s'être fait punir par leurs adversaires, les Français ont pris leur revanche samedi lors d'une deuxième bataille livrée vite fait, sur le pouce, en attendant l'apéro de fin de journée.

Cette fois, c'est leur cavalerie emmenée par le farouche Xavier Jaiduruskof de Chezfrontank qui a donné la fessée à son homologue anglaise, en la bousculant de telle manière que l'aile droite GB était proprement tournée.

A ses côtés, le vaillant Michel du Cahos de Quercy faisait souffrir l'infanterie anglaise au centre . Même si sa cavalerie déroutait face à une charge de dragons lourds KGL. Des Teutons dont il vaut toujours mieux se méfier.

Allez ! Quelques autres photos pour la bonne bouche.

 

 

LE COUP DE LA PINCE, CA MARCHE TOUJOURS

Les généraux prennent position. Ca va saigner dans le vignoble Le lieu du drame : le coude de la rivière est au fond à gauche Portugais et Anglais (au 1er plan) vont avancer sur le flanc français Les Français, pris dans la "pince". Leur charge sera arrêtée au tir Le verrou anglais à gauche. Et le fantôme d'Alonso qui rigole...

Les généraux prennent position. Ca va saigner dans le vignoble
Les généraux prennent position. Ca va saigner dans le vignoble 

Le canon a tonné, samedi en Gironde, du côté de Saint-Médard-en-Jalles.

 Venue à marches forcées de la frontière des Pyrénées, une armée anglo-alliée composée d'une division espagnole, de deux divisions d'infanterie anglo-portugaise et d'une division de cavalerie s'est fritée grave avec son homologue française. Et je peux vous assurer qu'il y a eu de la rumba dans le cannelé. Hi,hi,hi. 

7000 points dans chaque camp, en gros. Avec un tel budget, aucune place pour la pitié.

Les alliés avaient un inconvénient et un avantage :

- La relative faiblesse des troupes espagnoles (-1 au tir, présence de troupes Ligne 2 dans leurs rangs). Hildepute y mierda ! Yé vous azure que za rigolait pas chez les zidalgos.

- Leurs effectifs : car avec une valeur moyenne moindre, ils étaient plus nombreux que les Français .

Ce point a d'ailleurs tracassé le général en chef adverse, le pieux JP de Lafumée de la Miséricorde, évêque du Haut Médoc, qui nous accueillait ce jour là dans son splendide presbytère, et qui - bien qu'ayant conçu lui même les listes d'armée sur ordre direct de Benoit von Sechsen, son redoutable patron - va soumettre à nouveau dans les jours qui viennent le recalcul des effectifs aux ordinateurs ultra-sophistiqués du Vatican.

Les Français avaient, eux aussi, un problème à règler et un sacré  motif de se réjouir :

- Leur moindre nombre. Glup !

- Leur force d'impact (+ 2 en attaque, premières lignes des bataillons classées Vétéran). Niark, niark, niark !

Compte tenu de ces éléments, les Alliés ont posé leurs pintes de bière tiède et de sangria , et décidé de ne pas s'affoler. Cool man, it's a tango.

Ils ont aussi décidé de jouer groupés. En plaçant la division espagnole au centre de leur dispositif, pour la soutenir en cas de besoin.

En prime, la cavalerie anglaise (une brigade légère, une brigade lourde) a également été placée au centre, à côté des Espagnols. Un dispositif qui lui permettait d'intervenir, le cas échéant, aussi bien sur sa droite que sur sa gauche.

Enfin, le terrain a été utilisé un max par les alliés. Comme d'hab, il avait été édifié au hasard. Et re-comme d'hab, chaque côté avait, comme été ensuite tiré au sort.

Lâches et ignobles comme à leur habitude, les alliés ont  décidé de s'embusquer à l'aile gauche derrière un coude de rivière. Et de bétonner leur aile droite avec une division d'infanterie comprenant des bataillons anglais (+2 en défense, +1 au tir) et portugais étirés en ligne.

Les Espagnols se tenaient, eux, au sommet d'une colline avec leurs bataillons serrés au coude à coude, et une pièce de 12 tirée par des boeufs (de la Blonde d'Aquitaine dont je vous recommande la viande. Elle est excellente).

 Ils étaient commandés par le sanglant Frederico Tiragogo, spécialiste de l'artillerie, et dont un descendant combattra par la suite dans le saillant de Koursk, côté russe, cela va de soi.

Arriva alors ce que les Alliés espéraient : tandis que les Français menaient une attaque de diversion sur l'aile gauche anglaise, le gros de leurs troupes - dont un fort parti de cavalerie (dragons, lanciers polonais) - s'est avancé en biais vers le centre allié, en ignorant une partie de l'aile droite anglaise.

Malgré une habile manoeuvre tentée par des hussards et des chasseurs à cheval français , il ne restait plus pour les anglo-hispano-portugais qu'à bétonner au centre. Puis, en appliquant le traditionnel principe de la pince, à faire pivoter leur aile droite de manière à exercer une forte menace à droite sur le flanc français. Ce qui s'est produit.

Comme aurait dit Jules : veni, avanci, dérouilli.

 

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