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OLE !
Du blanc, du noir et du vert : les hidalgos s'habillent |
Cap au sud, cet été. Mon bataillon espagnol de grenadiers réunis commence à prendre des couleurs (figurines Front Rank). Celles-ci sont essentiellement vertes.
Rien à voir avec le résultat des élections européennes. Le vert était porté par le régiment de Saragosse, la première grosse ville que l'on rencontre au sud de Pau lorsqu'on a la bonne idée de passer les Pyrénées pour aller se chauffer les os au soleil, et se tapisser l'estomac à la sangria.
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ENCORE VINGT
Cinq bataillons à peindre par an d'ici 2013. Ca devrait le faire |
Pour répondre à Sébastien, ça me fait maintenant 24 bataillons français.
Pour mener à bien mon projet, je dois encore en peindre une vingtaine (garde et jeune garde comprises) au cours des quatre ans qui viennent.
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PRETS A HARCELER TOUT CE QUI SE PRESENTE
Tout bleus, et tout frais |
Le bataillon d'infanterie légère est terminé.
Le voilà, en attendant de prendre d'ici peu la route de la Gironde pour aller en découdre avec quelques affreux, dont je ne connais pas encore la nationalité : Anglais de Waterloo, Espagnols et Portugais de la guerre de péninsule comme on le dit de l'autre côté de la Manche (ou guerre d'indépendance, comme on l'appelle en Espagne), Ruskofs ou autres...
Une rentrée d'argent inattendue m'a par ailleurs fait faire un ch'tite folie : cet été, juste pour le fun et l'originalité des uniformes, je vais m'attaquer à une brigade espagnole, avec des soldats en chapeaux ronds, en tarleton, en shakos, mais aussi des lanciers gardiens de toros (garrochistas) et des dragons chargeant en bicorne. Tout cela très coloré.
Mes soirées de camping vont être bien occupées.
LES LEGERS TIENNENT LE BON BOUT
Ca se termine tranquillement. Encore un ch'ti effort |
Il me reste encore un tas de détails à terminer, dont les ombrages de l'uniforme, mais mes légers Français 1815 commencent à prendre tournure.
Pour le tambour, je suis sur de mon coup pour les bandes blanches pointillées de rouge sur les manches. C'est bien un détail d'uniforme de tambour d'infanterie de ligne 1815 (j'ai trouvé ça dans la série des "Bucquoy"). D'après le site internet sur les uniformes des 100 jours, ce détail représentait aussi les "couleurs royales" et avait été gardé par des régiments qui n'avaient pas eu le temps de modifier leur tenue.
Par contre, vérification faite, ce n'est pas un tambour de compagnie de voltigeurs. Je vais donc devoir changer de figurine. Heureusement que j'ai des réserves.
Autre chose : plutôt que de peindre les yeux sur fond blanc, je mets désormais un simple point noir sur le visage. Je trouve ça plus réaliste et moins "halluciné".
Même si, c'est bien connu dans la région de Waterloo, l'abus de Geuze Lambic peut certains soirs provoquer de facheux effets secondaires . C'est pas le ch'ti père Grouchy qui dira le contraire. Lui, ca l'a carrément rendu sourd, en l'empêchant de marcher au canon.
EN BLEU ET BLANC
La cartouchière blanche, spécifique aux légers en 1815 |
La peinture du bataillon français d'infanterie légère se poursuit doucettement. Là, je suis en train de poser les couleurs de base. Avec notamment des cartouchières blanches sur lesquels devront figurer un "N" bleu surmonté d'une couronne dorée.
Les officiers, eux, portent des bottes avec pompons argentés. Sans clochettes, Dieu merci. Ca ferait désordre.
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Magnifique, je suis aussi impressionné par la rapidité de peinture. Bravo
avec ce dernier peint, ça te fais combien de bataillons???